- Oui, beaucoup referme la porte derrière toi. Je ne trouvai rien de drôle à sa réplique, mais Lorcan lui se marra faisant glousser sa poulette. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne pouvais pas laisser passer ça, rien ne me donnais les droits sur lui, mais déjà que je ne voulais pas qu’il touche une autre en mon absence vous vous imaginez bien qu’en ma présence c’était pire. Je m’avançai dans la pièce déposant mon sac sur la table. Je pense qu’il était temps pour moi de montrer à Lorcan que moi, c’est la rue qui m’a élevé. Je pouvais supporter beaucoup de lui, mais il n’avait pas le droit de m’imposer la présence d’une autre. Je marchai vers eux le pas sûr et de ma main droite, j'empoignai les cheveux de la conasse plaçant ma main gauche à la base de son coup positionnant mon pouce et


