Après mon o*****e sur la table de réunion, nous rentrons, ma copine et mon mari allaient mieux, la copine est rentrée, car elle avait des corvées à faire, mon mari était crevé de son samedi, alors nous nous sommes promenés, le soir, j'ai câliné dans le lit avec le client qui m'a excitée en me tripotant, et c'est prêt à consommer que j'ai été rejoindre mon mari qui m'a baisée, quand nous nous retrouvons, il est des fois où on croirait que c'est la première fois.
Le client est parti le lendemain matin, un soir la copine est venue manger, je lui ai rappelé qu'elle ne devait surtout, ne pas en parler à Marie et Henri, en expliquant les raisons, à ce moment-là, autant, j'étais très proche de ma copine, que je n'y étais pas encore comme à présent, eux-mêmes, me cachaient le degré de complaisance avec leur client, je ne voulais pas être celle plus que l'autre, je sais que j'ai été bête, mais on ne refait pas le passé, mon mari, étant libre, mes horaires, depuis que je ne pointais plus, étaient plus large qu'avant.
Quand je pointais, je faisais mes huit heures, depuis que je ne pointais plus, j'avais peur d'abuser et j'en faisais presque dix, mon mari faisaient des heures aussi, alors cela ne nous dérangeait pas, mon patron en était conscient et jamais, il ne m'a fait de remarque quand je prenais une demi-journée ou partais plus tôt.
Mon mari était embêté de ne pouvoir venir, car piloter le bimoteur, était-ce qu'il ne pouvait pas se permettre à loisir, alors que la copine, il avait juste à me dire que je devrais lui dire de venir manger, ça voulait tout dire, la copine, elle, était à son affaire quand elle n'avait pas de c*****d (comme elle les appelait) avec elle.
Cette très bonne copine, était trop indépendante, les mecs ne restaient pas, elle voulait un dominateur obéissant, virant les types ou se faisant larguée, au bout de deux semaines, en manque, elle était capable de se taper une statue de Rodin, on s'était plu de suite, mon mari aussi, et comme je préférais qu'elle se tape mon mari, plutôt qu'un pied nickelé, mon mari lui servait de bouche-trou, il appréciait ce rôle, mon mari la baisait sans c****e, alors que ses types de rencontre, c'était avec.
De plus, je préférais qu'ils b*****t ensemble, car elle s'occupait de lui, de la cuisine, même si ce n'était pas son point fort, mon mari disait, "du moment qu'au pieu, ça ronronne", pendant ces quatre jours, je savais qu'ils baisaient à couilles rabattues comme il dit, toujours poète, ça me faisait plaisir, et à mon retour, pour mon mari, je redevais comme une nouvelle conquête, et j'y avais droit autant.
Elle me met un coup de ceinture sur les fesses, qui n'effraierait même pas une mouche, le deuxième est un peu plus fort, mais il faut attendre le cinquième, pour que je commence à faire la grimace, ayant trouvé le bon dosage, elle me dit, "j'ai envie de continuer, tu veux" comme vous voulez madame, elle m'en remet cinq autres de même puissance, c'est bien dit elle, vient là maintenant, elle m'attrape la tête, retrousse sa jupe pour que je la s**e.
La position n'était pas des mieux, mais j'ai réussi à la faire jouir avant qu'on arrive, elle a juste eu le temps de se remettre, elle était rouge, je me suis rhabillée ensuite et j'ai fouillé dans les rayons, je me suis pris deux nuisettes très sexy que je compte laisser chez lui, ça m'évitera d'avoir à en amener, si au début, j'étais gêné de dépenser un argent qui n'était pas le mien, a force, je trouvais cela normale, sans en exagérer non plus.
Comme il m'avait déjà dit, "ce qui est bien avec vous, c'est que même si je vous gâtais dix fois plus, vous m'enverriez autant balader s'il le fallait, il avait entièrement raison, bien sûr que j'aime ses cadeaux, qui est celle qui n'aimerait pas, mais si demain, il changeait de mentalité, je serais autant capable de lui redonner tout en bloc, et de partir sans rien qui lui appartienne, entre chaque cliente, nous discutons pour passer le temps, discussions cliente/commerçante, elle me demande si samedi après midi ou dimanche, je suis disponible, j'indique que je lui téléphonerais.
Quand il revient, plus d'une heure après, mon paquet est prêt, elle lui sourit chaleureusement, contrairement a son sourire commercial d'avant, elle lui demande s'il veut voir, il dit non, en tendant sa carte, elle le fait payer et de dessous sa caisse, donne dix boites de bas sous forme de remise, même s'il n'est pas à ça prêt, il apprécie le geste commercial, il met ça dans son coffre et nous continuons.
Comme je m'en doutais, on entre dans un magasin de vêtements, il ne s'est rien passé de particulier, la vendeuse, habillée sexy dans une jupe, qui était à la limite de craquer de partout, ne devait pas être payé au chiffre d'affaires, a son air, elle avait la tête de quelqu'un qui serait mieux à un guichet de l'administration, la patronne au contraire a fait une petite remise de 5 %, pour trois tailleurs, deux robes du soir et deux chemisiers, elle pouvait.
Une fois dehors, je dis, pour plaisanter, c'est tout, plus de boutiques à faire, il ne dit rien et me demande de le suivre, et bien sûr, en passant devant un magasin de chaussures, ironiquement, je dis, "ha, on ne s'arrête pas là", je suis étonnée qu'il ne réponde pas, on rejoint la voiture, on fait une bonne quinzaine de kilomètres, et on arrive dans un village, quelques commerces qui vivotent, on passe devant une petite rue, ou il y avait une boutique qui ne payait pas de mine, perpendiculaire à celle commerçante, avant de rentrer, il me dit, "soit impudique et allumeuse".
Nous rentrons, et là, un type prés de la retraite, à l'allure de cordonnier, peu causant, bourru, ressemblant un peu à geppetto, (créateur de Pinocchio), il fait principalement les hommes, mais aussi les femmes pour le standard et sinon sur commande, le client avait déjà choisit pour moi sur catalogue, je ne le savais pas, ce que je ne savais pas non plus, c'est que quand j'étais venu m'amuser avec celle qui tient la boutique de lingerie, c'est lui qu'il était venu voir avec une de mes paires de chaussures.
Toutes les étagères sont en vrai bois, pas de placage, le magasin à l'âge de son propriétaire, qui le tient de son père surement, d'un coté, les machines de cordonnerie, de l'autre les étagères avec les modèles et les tailles, un petit banc en bois à chaque bout des deux allées d'étagères, mon client m'accompagne vers ce banc, je m'assois, je suis habillée avec les mêmes vêtements que la veille, puisque je n'ai rien emporté, (sauf un string de rechange toujours dans mon sac ainsi que des bas).
Geppetto amène trois cartons, mon client lui demande ou se trouve je ne sais plus quoi comme chaussures, et va là ou il lui a indiqué, en partant, dans son dos, il me fait signe en écartant ses deux mains pour me dire de le laisser me mater, je comprends qu'il veut que je l'allume, professionnellement, il me montre une paire, jusqu'à là, le commerçant exemplaire dans son rôle.
Je me suis déjà fait chausser par des hommes, soit des types efféminés qui attrape la jambe comme un bout de bois tout en parlant, soit des hommes qui nous l'attrape avec des pincettes, de peur qu'on les prenne pour des pervers, en matant quand même discrètement, lui, il m'attrape le mollet et m'enfile la chaussure et ne me lâche pas tant qu'elle n'est pas bien en place.
Ce n'est pas le geste d'avoir sa main sur mon mollet qui est excitant, c'est de savoir comment il me le tient, je me laisse faire et je comprends ensuite ce que je fais là, le geppetto regarde plus au-dessus de ses lunettes que la chaussure sur mon pied.
Je me dis, allons-y, si je suis là, ce n'est pas sans raison, en posant mon pied-à-terre, je ne peux pas le mettre en face sur Geppetto, je le pose bien à ma droite, écartant ainsi les cuisses, si je regarde à midi, je vois bien entre dix heures et quatorze heures sans bouger mes yeux, je regarde mon pied chaussé, le laissant lui, voir ma culotte, une fois les deux chaussures misent et bouclées, je marche avec, il connaît son boulot, elles me vont parfaitement.
Mon client vient nous voir, et me demande si ça va, nous parlons en langage codé, au lieu de dire impeccable, je dis, "oui, ça va, elles ne me serrent pas", le premier mot étant la réponse, à ce à quoi on pense, geppetto me regarde marcher, mon client me dit, "je dois m'absenter, je reviens dans une demi-heure", qu'il a une course avant que ça ferme, il est gentil, mais moi, je ne sais pas ce que je dois faire, ce qui a été décidé.
Je me rassois en remontant un peu ma jupe, sans que ça se remarque, je vais pour me baisser pour déboucler, laissez dit-il en ayant entendu la porte se refermer, il est évidant qu'avec ma tenue, si je m'assoie devant quelqu'un, c'est que je ne suis pas farouche, il me lève le pied, en me faisant plier le genou, il mate mon string à moins de cinquante centimètres, il ne verra pas le moindre poil, depuis ce matin, c'est glabre.
Il fait pareil avec l'autre pied, en se rinçant l'œil plus longtemps, c'est à ce moment, que ma machine s'est mis sur "on", son regard vicieux commence à me faire effet, prenant les chaussures, il me les pose sur les cuisses, ou plutôt il pose ses revers de main sur mes cuisses et les chaussures au-dessus, puis il me fait l'article du genre, "regardez-vous avez les coutures reprisant derrière, l'épaisseur du cuir.....", je n'y connais rien, je l'écoute, je dis oui à tout.
Je ne l'encourage pas, et il n'ose peut-être pas, c'est là que je me suis dit, qu'il n'y a pas de préméditation, le client a entendu dire que, et il m'envoie en éclaireuse, je ne l'ai pas encouragé, mais je ne l'ai pas repoussé non plus, on passe à l'autre paire, de bonne facture également, là, il me prend derrière le genou d'une main et le pied de l'autre, qu'il me met sur sa cuisse protégée par son tablier de cuir, faisant cela, il regarde mon expression, je garde le sourire.
Il me met la chaussure délicatement, me tenant le mollet, depuis que mon client est parti, geppetto est moins bourru, plus causant, il me complimente, "la chaussure se marie très bien, on croirait le prolongement de votre jambe, etc.", je fais celle qui apprécie ses compliments et contrôle ses dires, je regarde la chaussure, lui, il regarde mon string, ma jupe est serrée, je tire ma jambe afin d'écarter plus, mais je suis limité, je regarde ma jambe tant qu'il me regarde.
Ne pouvant pas s'éterniser, il m'attrape l'autre cuisse d'une main, plus fermement que l'autre, et plus haut aussi, le pied de son autre main et il me met la chaussure, me levant le pied et la jupe par la même occasion, ses regards sont moins camouflés, marchez dit-il, là aussi, elles sont à ma taille, elles sont belles également, je me rassois pour essayer les troisièmes.
En m'asseyant, je remonte encore ma jupe de façon discrète, il a vu qu'elle est plus remontée, mais il ne m'a pas vu, la remonter, le jeu m'amuse, il me refait l'article, et cette fois-ci, il caresse ma jambe en partant de la chaussure, la finesse de ma jambe en harmonie, etc., les trois premiers passages sont furtif et léger, les suivants plus appuyés, je l'écoute avec le sourire en disant soit oui, soit réfléchissant.
Et là, il rajoute, "en plus, vous avez des belles cuisses, si je puis me permettre", souriante, je dis, "vous êtes gentil, mais vous dites cela pour que je les prenne", pas du tout se défend t'il, en me touchant la cuisse avec ma jambe toujours tendue, me prenant bien le milieu du derrière de la cuisse, et de son autre main, le mollet, il me vante "la beauté de mes jambes", comme s'il voulait me les vendre.
Je joue le jeu, il me caresse complètement la cuisse et le mollet, mon regard est sur la chaussure, comme si j'étais étrangère à ce qu'il me fait, je tourne le pied d'un coté, puis de l'autre, je suis excitée, mais j'aime retarder le moment, à chaque passage, sa main fait le tour de ma cuisse, elle est maintenant presque au-dessus.
Je remarche avec, lui dis-je, afin de ne pas éterniser une situation injustifiable, je marche un peu et me regarde dans le miroir incliné, pour voir les chaussures aux pieds, je dis qu'en effet, elles me vont bien, à genoux toujours, il me tient le mollet d'une main et de l'autre, me file la jambe en me faisant l'article, sa main derrière remonte à chaque geste de sa main visible dans le miroir, il est à mi-cuisse, je me tourne en disant et de derrière, je me contorsionne.
Je me regarde, il revient vers moi, mettant sa main sur mon mollet et l'autre sur ma cuisse, au-dessus du genou en me faisant l'article toujours, sa main est plus qu'équivoque, je me pousse en disant à voix basse suffisamment audible, "mais que faites vous, avec votre main, imaginez qu'il rentre au même moment, et qu'il vous voit, il n'est pas jaloux, mais quand même, d'ailleurs, surtout ne lui dites pas, j'en entendrais parler pendant des semaines.
Vous avez raison, excusez-moi, venez dit-il, il m'emmène dans le milieu de l'allée ou les boites sont dans des casiers en vieux bois, il me dit d'attendre là, il me laisse, je me dis, "il ne va pas fermer la porte quand même, non, il fait le tour de l'allée", j'entends un bruit de boite à chaussure, il revient, retire une boite à un niveau plus bas que la hauteur de mes yeux.
Regardez dit-il, que voyez-vous, je me baisse à peine, je ne sais pas quoi voir, vous voyez la porte dit-il encore, je regarde et je dis oui, et là, en me tenant la taille, il me passe son autre main dessous ma jupe, directement au sexe, je fais un haaa de surprise, en disant, mais vous êtes fou, tout en me contorsionnant, regardez la porte crit-il, pensant à un client qui rentre ou à mon client, je regarde, relâchant mes débattements.
Personne à la porte, il me dit, "vous voyez, si quelqu'un rentre, on le verra de suite, ça nous laissera le temps de se mettre bien", je veux protester, mais il me dit, "vous me laissez voir votre culotte, vous me laissez vous tripoter les jambes, et vous ne voudriez pas plus, alors pourquoi vous êtes trempée là".
Imparable, de plus, je n'avais pas du tout envie qu'il me lâche, il m'enfonce un doigt, je ne me débats plus, là, voilà dit-il en me tutoyant, pas besoin de te débattre, tu n'attendais que ça, il me branle avec son doigt, son autre main qui me tenait, pour ne pas que je me débatte de trop, me lâche, je gémis, dans mon plaisir, je ne me rends pas compte qu'il met son tablier cuir dans son dos, déboutonne son pantalon et sort son sexe.
Il me lâche la chatte et me dit, tient, c'est pour toi, en me retournant, je ne crois pas ce que je vois, une bite droite comme un I, je dirais 4.5 x 23, et belle en plus, pas de veines ni de nœuds, il m'appuie pour que je me mette accroupie, le petit goût d'urine au départ me fait grimacer, mais l'excitation est telle, que cela ne compte pas, à ma façon de s***r, il voit que je fais cela avec plaisir, avec envie.
Il m'encourage en disant, "tu ne t'attendais pas à ça petite s****e, en me montrant ton c*l, humm, tu s***s bien, une vraie pro, une vraie p****n", je redouble de vigueur au paf, il me dit, "doucement, tend-moi ton c*l, que je te récompense, je me remets debout, regardant la porte d'où je suis, il enfile une c****e et va pour m'enfiler.
Pas de chance, la porte s'ouvre, un client arrive avec mon client à moi qui le suis, il se remet, moi aussi, il va dans la deuxième allée, tout en me parlant, disant pour faire croire qu'il travaillait, qu'il croyait les avoir rangées ici, mais qu'il ne les trouve plus, je dis, tant pis, mon client vient me voir, je marchais avec les chaussures.
Geppetto va voir le client, celui-ci venait juste lui dire qu'il allait lui amener des chaussures à réparer, souriant, il le reconduit, disant, oui d'accord, excuse moi, je suis avec des clients, je fais signe à mon client qu'il n'a fait que me mater dés qu'il est parti, je lui fais signe qu'il aille voir les chaussures de l'autre coté, je me mets sur le banc de la deuxième allée, le plus éloigné.