Bessines sur Gartempe,
Ils demandèrent une chambre, l'hôtel avait l'air très moderne, ils eurent la 501 une grande chambre de 20 m² à l'arrière du bâtiment, ils entrèrent et refermèrent la porte ; le lit avait une tête de lit et un dessus de lit taupe, des coussins violets, une armoire très fonctionnelle, une salle de bains avec douche italienne, un bureau et une table basse taupe avec un bouquet de fleurs, une télévision avec un entourage taupe foncé, des rideaux taupes et bleu, une glace en pied, et une terrasse.
Ils s'assirent sur le lit.
- Ouf fit Claire on est hors de portée maintenant !
- Oui déclara Bruno heureusement !
- Dis moi tu ne m'avais pas dit que tu étais pilote de course.
- Pas vraiment énonça Bruno mais je me débrouille quand j'étais dans les forces spéciales j'avais l'habitude de semer des voitures si besoin était et ce fut assez souvent finalement, du coup c'était devenu une routine.
- En tout cas cela nous a bien servi pour semer les agents de la DGSI ! s'écria Claire.
- Bon j'espère qu'on en est débarrassés !
Ils décidèrent d'aller faire les courses qu'ils avaient prévues de faire à Poitiers, et trouvèrent une place de parking près du marché.
Ils débutèrent par l'ordinateur, ils dénichèrent un notebook puissant et pas trop cher avec de multiple fonctionnalités.
Ils s'arrêtèrent ensuite dans un magasin de vêtements, Bruno prit deux pantalon noir et gris et deux chemises très stylée de couleur bleu & vert, quant à Claire elle trouva une robe noire très habillée pour sortir, puis deux pantalons noir et beiges et deux blouses blanche et rose, ils payèrent en liquide et revinrent à la voiture.
Une fois dans la Mazda CX-5 ils se regardèrent et s'embrassèrent profondément,
- Enfin disaient ils on a un peu de répit ! je crois qu'ils avaient parlé trop vite car quelque chose siffla et une balle vint se loger dans l'épaule de Bruno.
- Zut ils nous ont retrouvés, passe moi le volant Bruno tu est blessé,
- Oui je crois qu'on a pas le choix dépêchons nous !
Puis ils filèrent dans le vent pour s'éloigner aussi vite que possible. La DGSI continuaient à les canarder ! Les balles atteignaient la carcasse de la voiture mais pas eux heureusement.
Ils prirent la 1ère à gauche puis la 1ère encore à gauche et s'enfoncèrent dans les rues du vieux bourg, ils virent un garage ouvert et s'engouffrèrent dedans, la berline leur passa devant les yeux sans les voir à priori.
Seulement le garagiste qui était là en train de travailler leur dit :
- Foutez le camp vous n'avez rien à faire ici.
Malheureusement ils allaient sortir de leur cachette quand leur vint une question :
- Monsieur excusez nous est ce qu'il y a un médecin ou un hôpital dans le coin ? demanda Bruno.
- Oui vous prenez la 2ème à droite puis au bout à gauche.
- Maintenant partez !
Claire était rassurée ils allaient pouvoir soigner Bruno ! Ils arrivèrent devant chez un médecin dans une vielle échoppe. Pas de mafia ni de DGSI en vue cela allait pour le moment, mais il n'allait pas tarder à les retrouver s'ils s'arrêtent.
Ils entrèrent dans le cabinet, Bruno se tenait le bras gauche en appuyant sur la plaie mais cela saignait beaucoup. Le médecin les vit arriver il dit venez et dit au patient qui était là :
- Allez en salle d'attente pour l'instant c'est un cas d'urgence.
Il demanda à Bruno de se mettre sur la table allongé, il regarda la plaie, il stérilisa alors une pince avec les bouts courbés pour attraper la balle, il dit à Bruno :
- Cela va faire mal vous souhaitez mordre dans quelque chose ou cela va aller ?
- Bruno répondit cela devrait aller en serrant les dents !
Le médecin commença à extraire la balle qui étaient logée dans le poumon gauche (elle avait traversée le bras de part en part) seulement cela faisait un tel mal de chien que Bruno tomba dans les pommes ! Une fois endormi ce fut plus facile et il sortit la balle au bout de 15 mn car elle n'était pas facile à trouver, mais le médecin dit tout à coup :
- Je suis désolé j'ai enlevé la balle mais maintenant il faudrait aller à l'hôpital car je ne suis pas équipé pour le remettre sur pied sans dommages collatéraux.
- Ou y a t'il un hôpital dit elle ?
- A 3 rue d'ici un grand bâtiment gris et vert au 2 rue de la Milétrie
- Ok merci dit Claire
Pendant ce temps là Bruno revenait à lui, Claire lui expliqua qu'il avait retiré la balle mais qu'il n'avait pas le matériel nécessaire pour le soigner correctement aussi il faut aller à l'hôpital très vite nous a t'il dit.
- Si c'est nécessaire on va y aller mais j'ai bien peur qu'on se fasse repérer par la mafia ou la DGSI affirma Bruno.
- On va tenter le coup on verra bien ! répondit Claire
Puis il reprirent la voiture, cette fois-ci c'est Claire qui conduisait, Bruno avait les yeux rivés sur les rétroviseurs, pour l'instant pas de mafia à l'horizon.
Ils arrivèrent aux URGENCES du bâtiment, demandèrent un brancard et les infirmières l'installèrent dessus avec précaution une fois qu'on eu expliqué la situation.
Malgré tout Claire avait peur car elle savait bien que pour une blessure par balle les infirmières doivent avertir la police, donc il allait falloir la jouer fine !
Elles examinèrent Bruno et dirent à Claire directement :
- On l'amène au bloc dit elle car il a une petite hémorragie qu'il faut stopper !
- Bon très bien fit Claire j'attends.
Dans le même temps Claire alla au bureau des infirmières demander quand est ce qu'elles avertissaient la police pour la blessure par balle dont avait été victime Bruno, elle leur demanda de le faire le plus tard possible et leur donna une fausse identité pour éviter les ennuis, les infirmières étaient d'accord, c'était sympa de leur part ! Elle avait menti en disant qu'il s'était blessé tout seul en nettoyant son arme, mais c'était pour la bonne cause.
Au bout de 3 heures elle vit arriver des hommes en costume sombre qui posaient des questions aux infirmières, elle se cacha d'eux, puis Bruno arriva sur le brancard et fut mit dans une chambre elle se cacha sous le brancard une fois que le brancardier eut le dos tourné. Il l'accompagna dans sa chambre, arrivé dedans il brancha le monitoring et tourna les talons.
Claire sortit très vite de sa cachette, elle regarda Bruno qui était encore dans les vapes, elle le secoua un peu, elle n'avait pas le choix, et il finit par ouvrir les yeux.
- Bruno dépêche toi d'ouvrir les yeux les agents de la DGSI sont là, ils fouillent toutes les chambres, ils ne sont pas encore arrivés ici mais cela ne va sûrement pas tarder ! Peux tu m'habiller Claire articula Bruno faiblement.
- Bien sûr affirma Claire. Puis elle habilla Bruno et alla jeter un œil dans le couloir, la DGSI n'était plus qu'à 3 portes de la leur. Allons y maintenant, elle s'était déguisée en infirmière avait débranché le monitoring et roulait maintenant le brancard en allant pas trop vite pour ne pas éveiller les soupçons.
Arrivés au rez-de-chaussée elle changea le brancard pour une chaise roulante, et le poussa jusqu'à la voiture.
- Ouf dirent ils.
- Mais il faut se dépêcher exposa Claire à Bruno.
Elle démarra et fichèrent le camp en vitesse !
Elle prit le chemin de l'hôtel, arrivés à la réception elle demanda à ce qu'un groom récupère leurs bagages dans leur chambre, expliquant qu'ils ne pouvaient pas y aller qu'ils devaient absolument rester au rez-de-chaussée pour passer un coup de fil urgent, la raison et qu'ils devaient partir immédiatement car son père était mort subitement, un mensonge de plus mais évidemment ils n'étaient pas à un mensonge prêt.
Le groom se dépêcha car il arriva pas moins de 15 mn plus tard avec les bagages (argent & bijoux compris dans le coffre, il lui avait donné le code), ce qui était un exploit !
A priori personne de suspect à l'horizon, mais cela ne dura pas car une autre voiture sombre arrivait en trombe en dérapant devant l'hôtel mais Claire démarra en trombe elle aussi et les percuta si violemment que la voiture fit un tête à queue ce qui leur laissa le champ libre pour partir. Elle ne perdit pas de temps et roula instinctivement aussi vite que possible.
Bruno lui dit de prendre les petites routes en allant toujours vers le sud, la voiture les avait presque rattrapés ce qui donna des ailes à Claire qui accéléra à fond en roulant à 110 km/h sur les petites routes qui fort heureusement étaient presque droites ce qui leur facilitait grandement la vie, et elle réussit enfin à les semer.
Bruno mit le GPS en route pour qu'ils puissent se retrouver sur la bonne route pour aller en direction de Bordeaux pour aller à l'hôtel, ils roulèrent pendant 2h passant par St Jean d'Angély, Saintes, Pons, Mirambeau, Marcillac, Pugnac, Peujard, St André de Cubzac, St Vincent de Paul, Ambarès, Ste Eulalie, Lormont, Bordeaux.
Avant d'arriver sur l'hôtel ils allèrent chez HERTZ changer de véhicule, puis ils cherchèrent le Boutique Hôtel de Bordeaux car il y avait également un bar à vin ce qui enchantait notre couple.
Arrivés à la réception de l'hôtel après s'être garés sur le parking avec leur nouvelle voiture (une Mercedes classe A), ils demandèrent une chambre romantique pour un couple d'amoureux.
Ils montèrent par l'ascenseur à cage transparente directement à leur chambre n° 617 et ouvrèrent la porte avec leur carte magnétique, fermèrent la porte et s'affalèrent aussitôt sur le lit, surtout Bruno qui s'était fait opérer quelques heures avant finalement.
Ils étaient tellement épuisés qu'ils finirent par s'endormir pour faire une mini sieste.
Une fois réveillés ils prirent l'ordinateur pour chercher un appartement ou une maison à St André de Cubzac, ils trouvèrent une maison contemporaine de 125 m² composée de :
- entrée, salon/séjour avec une belle hauteur sous plafond, un poêle à granulés, d'une cuisine ouverte, d'une suite parentale avec dressing et salle d'eau de 30m², 2 chambres, 1 salle de bains, d'1 mezzanine, d'1 cellier/buanderie. Elle dispose également d'un garage attenant d'une superficie de 31 m² pouvant être transformé en chambre avec salle d'eau. Le tout sur un terrain d'environ 1558 m² avec salon d'été, proche des commodités et accès A10. A 2mn de St André.
Parfait pour eux, ils appelèrent tout de suite l'agence qui l'avait mise en vente soit Century 21 à St André de Cubzac, au téléphone l'agent immobilier leur demanda s'ils souhaitait visiter tout de suite, ce qui enchanta Bruno et Claire.
Ils visitèrent aussitôt toute la maison et on sentait que celle-ci avait une âme, ils décidèrent de l'acheter et firent une proposition a 255 000 € pour 258 000 € demandés.
Ils attendirent patiemment dans leur chambre le résultat de la proposition dont la réponse arriva 2 h plus tard, la réponse était positive. Ils téléphonèrent à l'agent immobilier pour savoir quand serait la signature du compromis de vente.
L'agent immobilier leur répondit par un rendez vous 1 semaine plus tard.
Ils repartirent à l'hôtel, pour l'instant ni la DGSI ni la mafia ne les avaient retrouvés.
Enfin dans leur chambre ils décidèrent de téléphoner aux voisins avec le téléphone portable, là ils firent une erreur monumentale mais ils ne le savaient pas, car la personne qui leur avaient vendus les téléphones portables s'était trompé et ne leur avait pas donné de téléphone prépayé simplement des téléphones portables classiques ils étaient donc traçables, ils eurent David et Rebecca donc pour leur annoncer la nouvelle concernant la maison et leur dire qu'ils ne reviendrait que pour venir chercher leurs affaires quant les problèmes seront finis. Bruno et Claire ne savaient pas que David et Rebecca avaient été mis sur écoute par la DGSI.
- David et Rebecca leurs demandèrent ou ils étaient.
Bruno dit a David qu'ils ne valaient mieux pas qu'ils sachent pour ne pas avoir de problèmes, il leur dit qu'ils étaient dans le sud ouest.
David demanda quand ils allaient revenir chercher leurs affaires, et Bruno lui répondit que pour l'instant ils ne le savaient pas, ils devaient attendre que cela se tasse avant de remettre les pieds dans leur maison. Puis ils raccrochèrent.
Bruno et claire avaient demandés un room service pour le repas du midi, ils avaient commandés 2 steaks avec des pommes de terre sautées et 2 fondants au chocolat.
Au bout de 45 mn on frappa à la porte de leur chambre, c'est Claire qui ouvrit la porte, malheureusement c'était la mafia l'homme lui mis un révolver sous le nez, Claire cria Bruno ! simplement c'était trop tard l'homme lui tomba dessus très vite et ils engagèrent une bagarre, Bruno ne se laissait pas faire et tantôt il avait le dessus, tantôt c'était l'homme de la mafia, Claire ne savait pas quoi faire elle était tétanisée. L'homme de la mafia fit une clé de bras à Bruno qui du coup n'a pas pu se dégager, l'homme lui mit un coup sur la tête avec un vase qu'il y avait dans l'entrée et Bruno tomba. Il chloroforma Claire qui était debout sans bouger et qui se laissa faire sans problèmes.
L'homme appela un de ses complices par téléphone pour enlever Bruno et Claire et les emmener dans un endroit sûr, mais tout ne se passa pas comme prévu.
Au bout de 10 mn les agents de la DGSI débarquèrent et immobilisèrent l'homme de la mafia, détachèrent Bruno et Claire.
Un des agents dit à Bruno.
- Vous allez bien ?
- Oui répondit il.
- Et votre compagne Claire ?
- Il l'a chloroformé elle va bientôt se réveiller ! Mais pourquoi vous nous suivez comme cela ?
- L'homme du DGSI lui dit que c'était pour les joyaux, il lui expliqua qu'ils étaient recherchés car faisaient partie de la collection d'un homme richissime.
Claire se réveilla. Bruno lui expliqua la situation car du coup elle ne comprenait plus rien.
L'homme de la DGSI était seul, il attendait des renforts, Bruno qui n'avait aucune confiance lui rentra dedans et lui mit un coup de boule, l'homme s'écroula.
Bruno et Claire s'enfuirent avec leurs bagages et l'argent, ils prirent les escaliers au lieu de l'ascenseur, et ne passaient pas par la case paiement à la réception, ils passèrent par la porte de derrière et revinrent à leur voiture en catimini mais la mafia leur retomba à nouveau dessus et cette fois ci il les attacha très solidement et l'homme les fit s'engouffrer dans un camion et ils partirent.
L'homme passa un coup de fil à David et Rebecca qui étaient très influents, et de ce fait, les instigateurs de cette course poursuite pour leur dire que c'était fait. Bruno et Claire ne savaient pas qui ils appelaient et n'entendirent pas totalement la conversation, ils ne connaissaient donc pas l'identité de leurs geôliers.
Ils les amenèrent dans un entrepôt désaffecté, Bruno avait vu qu'ils mettaient leurs portables dans leur poche, il entreprit de s'approcher et fit mine de le bousculer pour les lui subtiliser, ce qu'il réussit à faire, mais l'homme recula et leur dit :
- Allez avancez !
Ils avaient des liens en grosse corde et les attacha à une poutre les bras en l'air.
Puis ils les laissèrent et allèrent dans une salle au fond de l'entrepôt. Ils étaient seuls.
Ils n'avaient pas de baillons, aussi pouvaient ils parler sans problèmes pour échafauder un plan de fuite.
Bruno dit à Claire :
- Je vais me balancer comme j'ai des abdos et des muscles je vais faire en sorte de mettre mes jambes au dessus de ma tête pour essayer de nous libérer.
Claire dit :
- Tu n'y arriveras jamais !
- Mais si rétorqua Bruno.
Il commença à se balancer et il mit une bonne demi heure à mettre les jambes au dessus de sa tête, seulement les liens étaient très bien attachés et il mit 15 bonnes minutes à défaire ses liens, puis il y avait un tabouret haut dans le hangar qu'il alla chercher et monta dessus pour libérer Claire, ils devaient se dépêcher avant que la mafia ne leur tombe dessus à nouveau.
Maintenant comment allaient ils faire pour ouvrir la porte qui avait été fermée à clefs ?
- Tu as une épingle à cheveux demanda Bruno à Claire ?
- Oui dit elle voilà !
Bruno inséra l'épingle à cheveux et ça marcha il réussit à ouvrir la porte, mais il fallait faire vite, ils ouvrirent la porte du hangar très lentement pour ne pas se faire repérer et partirent à pied.
Comme ils avaient récupérés leur portable une fois planqué derrière un immeuble ils décidèrent d'appeler un taxi.
Le taxi arriva 15 mn après ils roulèrent et Bruno demanda au taxi de s'arrêter devant un magasin de portable, ils jetèrent les leurs car Bruno avait vite compris qu'ils étaient traçables ! Ils ressortirent avec des portables prépayés cette fois-ci comme cela ils ne risquaient rien.
Ils reprirent le taxi pour aller à l'hôtel récupérer leurs affaires, mais ils firent très attention car les agents de la DGSI surveillaient les allées et les venues. Bruno lança un caillou en l'envoyant à l'opposé de leur cachette, l'homme qui surveilla tourna les talons derrière un mur, ils en profitèrent pour rentrer dans l'hôtel, puis arrivés à l'étage supérieur, neutralisèrent le gardien qui surveillait la chambre par un uppercut, tant et si bien que l'homme de la DGSI fut mit hors d'état de nuire, ils allèrent tout droit dans leur chambre, prirent leurs bagages et sortirent. Ils partirent et remontèrent dans le taxi, ils décidèrent de laisser la voiture qui maintenant était trop reconnaissable.
Ils demandèrent au taxi de s'arrêter dans un bureau de location HERTZ, ils le payèrent et entrèrent pour commander une autre voiture et dire ou ils pouvaient trouver l'autre, en disant qu'ils avaient dû l'abandonner car avaient omis de mettre de l'essence.
Ils leur donnèrent une BMW série 1 comme la voiture de Bruno couleur grise foncée, la prirent et déguerpirent en vitesse.
Ils regardaient s'ils n'avaient pas été suivis, et a priori ce n'était pas le cas, il fallait absolument qu'ils continuent en attendant d'avoir leur maison, ils regardèrent sur les petites annonces les appartements à louer dans Bordeaux. Ils téléphonèrent pour en visiter plusieurs mais c'est le 1er (à la limite du Bouscat à Bordeaux Nord) qui les attira le plus, les murs étaient blancs, il y avait une cuisine moderne blanche et grise, un canapé noir dans le salon, une table moderne grise avec des chaises transparentes dans la salle à manger, et 2 chambres, dont une suite parentale avec salle d'eau et douche à l'italienne, 1 salle de bain, 1 bureau blanc avec un canapé clic clac, un balcon assez grand et surtout il y avait un coffre fort pour y mettre les joyaux pensèrent ils.
- Parfait on le prend dit Claire.
- Je suis d'accord fit Bruno.
Ils déposèrent les papiers nécessaires à l'agence puis demandèrent les clefs pour emménager de suite.
Ils rentrèrent dans leur appartement très contents d'en avoir trouvé un aussi vite, comme cela ils pourraient attendre d'avoir la maison qu'ils avaient achetée.
La semaine avait finalement passée comme un éclair, il fallait aller signer le compromis de vente à St André de Cubzac demain matin. Il était tard mais ils décidèrent d'aller faire 3 courses pour aller chercher de quoi manger et de quoi déjeuner le lendemain matin.
Ils prirent plaisir à chercher à manger pour plusieurs jours, prirent poisson, viande blanche, viande rouge, jambon, œufs, croissants, céréales, lait d'amande, beurre, confiture, et du pain.
Ils retournèrent à l'appartement et entreprirent de ranger leurs courses dans les placards du meuble de la cuisine.
Quelqu'un sonna à la porte de l'appartement, c'était le voisin du dessus, il faisait un dîner Pizzas avec la voisine du dessous et il voulait nous inviter, Claire dit :
- Nous n'avons pas dîné, c'est ok nous arrivons.
- Bruno dit à Claire c'est parfait je ne savais pas quoi faire à manger !
Ils débarquèrent chez Sébastien le voisin du dessus, il y avait déjà Elodie la voisine du dessous, et firent les présentations.
Mettons nous à table maintenant dit Sébastien. Ils mangèrent leur pizzas tout en discutant de leur boulot, de leur hobbies. Bruno et Claire dirent qu'ils étaient au chômage et qu'ils recherchaient du boulot. En somme ils passèrent une bonne soirée, dirent au revoir et sûrement à une prochaine fois, et rentrèrent.
- C'était bien affirma Claire.
- Oui parfait, c'était une bonne soirée raconta Bruno.
- Il est temps de nous coucher dit Bruno ! Allons nous laver les dents et hop au lit !
- Ok je suis d'accord fit Claire tout en bâillant et en se mettant au lit.