Devon
Je n’ai jamais eu à me contenir autant de toute ma vie. Les dernières heures, j’ai fourni un effort surhumain, Serena a contribué à me calmer hier soir, la discussion avec Gabriel ce matin m’a fait gamberger comme jamais, mais j’ai décrété qu’il avait en partie raison et qu’il fallait qu’on agisse avec subtilité.
Je me suis suffisamment défoulé à la salle pour être certain de pouvoir me contenir face à ma diablesse de femme et finalement nous avions réussi à discuter. J’ai bien cru qu’elle allait s’évanouir dans mes bras deux ou trois fois mais elle a su se ressaisir.
Je l’ai déjà vu aussi tétanisée face à moi, quand je l’ai kidnappée, quand je l’avais frappée avec la badine, quand je l’avais enfermée totalement écartelée et noyée dans l’extase dans le bunker sur l’île, quand je
