- Alouette, petite alouette, Alouette, entends ma voix. Je te plumerai la tête, Je te plumerai les yeux, Je te plumerai le cœur, Je te plumerai la queue. Et si tu me fais taire, Jamais, jamais. Tu ne verras ta belle lumière. Non, jamais plus. Tu ne verras celle que tu aimes. Je te plumerai la tête. Je te plumerai les yeux. Je te plumerai le cœur. Je te plumerais la queue. Et dans le sang de ta colère, S’éteindra ton dernier espoir. Tue le chant, et dans la nuit, Ta douce s’efface à jamais. Se mit-il à chanter si fort qu’on pouvait l’entendre depuis l’autre bout de la pièce. Il avait chanté la même chose le jour où il me l’a dit et que j’ai titubé jusqu’à la sortie tant la peur d’avoir SON sang sur les mains m’était insupportable. - Et si à la place, c'est la langue que je coup


