§ 19. — L’ÂME SUPRÊME Quoique la cause première invisible, et saisissable seulement dans ses effets visibles, soit, au récit 28e, l’objet d’une mention claire et précise, mais incidente, introduite dans une comparaison, dans une simple phrase, et qui même peut-être pourrait faire soupçonner une influence m*******e nullement certaine d’ailleurs, c’est seulement dans le dernier récit, le 32e, que la question est traitée ex professo, dans un sens tout indien ; il y est, en effet, parlé de l’âme suprême, et très longuement, sous forme de discussion, ce qui ajoute peut-être un nouveau charme à l’exposé et lui donne plus de saveur, mais lui prête en même temps un caractère spécial. Ce récit nous fait assister à un débat entre un Yogi incrédule et le roi Vikramâditya croyant : nous voyons la rel


