Henry disparait de mon champ de vision pour laisser place à ses hôtes qui viennent m’entourer. On m’asperge d’une huile collante, des mains se mettent à parcourir mon corps, me toucher, beaucoup trop de mains pour que je veuille les compter. Mon corps est à leur disposition pleine et entière totalement exposé, des doigts s’enfoncent dans ma bouche, dans mon sexe, dans mes fesses encore douloureuses de ce qu’Henry m’a fait dans la voiture. Je m’ouvre à toutes ces incursions, les larmes montant aux yeux tout en sachant que c’est la seule solution. Je suis lubrifiée de tous côtés et l’un d’eux me tire les cheveux en arrière pour m’obliger à le regarder. - Ouvre la bouche, m’ordonne-t-il en plantant son regard vicieux dans mes yeux, si tu me mors je t’arrache tes jolies dents. Il plaque un


