chapitre 3 Lara

2046 Mots
Ces cons sont vraiment trop nombreux pour moi et en plus ils sont franchement bien armés. Si je sors vivante d'ici je compte bien avoir ma vengeance sur mon père ou devrais-je plutôt dire mon géniteur, l'assassin de ma petite sœur de 5 ans et de ma mère qui n'avaient rien demander. A ce souvenir douloureux, je vois rouge j'ai tous envie de les buter un par un. J'ai mémorisé la position de chacun alors je les vise un par un - Celui derrière le buisson : mort - Celui derrière l'arbre : mort - Celui caché derrière le murait : mort d'une balle dans la tête - Celui qui est simplement couché dans l'ombre : mort Je continue jusqu'à ce qu'il n'en reste plus dehors. Ils sont tombés comme des mouches. J'en rigolerais presque intérieurement si je ne devais pas restée concentré Je me promets de m'en garder un ou deux de côté afin de m'amuser un peu. Je décide de descendre de mon toit pour m'infiltrer dans la maison. Le risque : Je ne connais pas le terrain et je risque littéralement de crevée ce qui est hors de question. Arriver sur la terre ferme, je sors mes jumelles de mon sac et je constate des hommes postés à chaque fenêtre. Je compte mentalement le nombre de cadavre dans le jardin : j'en ai tué la moitié ce qui veut dire qu'ils sont environs 7 maximum 9 à l'intérieur et je peux atteindre les 3 hommes posté aux fenêtres ce qui en ferait maximum 6. Je sors mon pistolet de précision et visse le silencieux dessus, je vise un homme entre les deux yeux puis un autre et enfin le dernier. C'est vraiment satisfaisant de voir un trou se former entre leurs yeux quand la balle transperce leur boîte crânienne puis les voir tomber un à un. Pour moi tuer n'est pas simplement un métier, c'est aussi une passion, j'aime hotter la vie à des personnes qui le méritent. Après avoir vérifié que la voie était libre je me lance en courant vers la maison, je sors mes couteaux, un dans chaque mains. Je rentre par la porte arrière qui était ouverte et je tombe nez à nez avec un des hommes sans réfléchir je l'égorge avant même qu'il n'ait eu le temps de donner l'alerte et je l'allonge au sol pour éviter que son corps inerte ne face trop de bruits. Ensuite je progresse vers la cuisine qui est ouverte sur le salon. A ce moment je sors mes armes car il n'en reste que 5 et que c'est le moment où je m'amuse mais pas trop. Je rentre dans la cuisine et me planque derrière le plan de travail. J'en vise un premier qui était installer à table comme si rien n'était : une balle en plein cœur (s'il en avait un). Les autres arrivent en trombe avertis par le bruit du coup de feu. J'en tue deux et j'en blesse un qui va bientôt perdre connaissance à cause de la douleur. Le dernier ? Je l'ai finalement tué, il était trop actif. Il ne reste plus que mon blesser à l'épaule que je viens de ligoter bien sagement en attendant qu'il se réveille. Pendant mes 10 minutes de répit j'ai utilisé le sang des cadavre pour passer mon message : un énorme « L » majuscule sur le mur blanc. Je ne fais jamais cela c'est bien trop dégueulasse, mais là ce n'est pas la même chose. La lettre sanglante est un message de guerre. Ils ont voulu me la faire à l'envers ? Pas de soucis je viendrais les tuer en personne. Mon blesser se réveille en panique lorsque je lui jette de l'eau dans la gueule. C'est a ce moment que je commence mon interrogatoire. - Quel est ton nom ? - Va te faire foutre sale g***e ! - Je répète ma question. Quel est ton p****n de nom ! Lui dis-je en lui tordant le bras blessé d'une manière douloureuse. - Da... Daniel... - Bien. Je lui lâche le bras avant de poser une nouvelle question. Daniel... Pourquoi vouliez-vous me tuer ? - J'te dirait rien ! J'suis pas une balance. - Oh mince alors. Je vais devoir te forcer à parler alors... Je le laisse le temps d'aller chercher le couteau de cuisine le plus coupant que je trouve. - Eh tu vas faire quoi là ? Commence à paniquer le petit Dan. - Tu n'écoutes donc rien ? Je ne vais pas me répéter mon petit Dany. - C'est pas en me torturant avant de me tuer que je vais parler t'sais ? - Oh mais je ne vais pas te tuer. Tu vas aller faire passer un message à ton super chef et à mon connard de géniteur. - Alors dit moi ! - Oh non ce ne sera pas de vive voix que tu le diras. D'ailleurs tu croix qu'il lui faudra combien de temps avant de venir à ton secours ? Il te faudra arriver à temps à l'hôpital pour te sauver. Tiens, j'ai une idée. Si on l'appelait ? Non tien j'ai une meilleure idée... Je coupe son maillot et son gilet par balle afin qu'il soit torse nue et je marque sa peau de mon couteau « vous crèverez tous ! « L » » je trouve que c'est plutôt poétique. Maintenant je sors mes ciseaux spéciaux pour lui couper la langue comme ça il épargnera les gens de sa trop grosse gueule. Bien évidement ce mec trop fragile tombe dans l'inconscience a peine deux seconde après que j'ai terminé mon œuvre. Je sors mon téléphone et compose le numéro du plus grand connard au monde. Il décroche à la première sonnerie ; - Ok c'est moi qui parle et vous fermez votre p****n de grande gueule c'est compris ? Je préfère attaquer et mettre les points sur les « I » - Bien. - Je suis Actuellement en compagnie de mon chère Danny je suppose que vous le connaissez ? - Oui, c'est mon neveux. - Oh comme c'est parfait ! Il mourra d'ici peu si vous voulez votre neveux faites vite il est en train de s'étouffer avec son propre sang et sa propre langue... Oups... Je raccroche avant qu'il ne parle. Il n'y a rien à ajouter tout est écrit sur le torse sanglant de son chère neveux. Je remballe mes armes et je sors par la porte avant afin de rejoindre ma voiture. **** Arrivée chez moi, je fais le tour de mon appartement pour vérifier que personne ne s'est inviter. J'eu la peur de ma vie quand j'ai vu un homme : environs cinquante ans, barbus, cheveux gris et un corps en assez bonne forme. Je sors directement mon pistolet de ma ceinture et la pointe sur lui. - Qu'est-ce que vous fouttez chez moi bordel ? Lui dis-je agacée de sa présence. - Je viens en paix, baissez votre arme s'il vous plait. - De quel gang êtes-vous et je veux une preuve ! - Je suis le président des Hell's Angels regardez mon cuire est sur la chaise. Dit-il en pointant la chaise du doigt. - D'accord, Vous voulez quoi ? - Je vous ai demandé de baisser votre arme, je veux que nous fassions alliance. - D'accord, je range mon arme. Ça vous dérange que je prenne une douche ? Je suis couverte de sang et de morceau de cervelle. - Non. Allez-y j'ai tout mon temps. Et puis... excusez-moi mais vous puez vraiment c'est dégueulasse. J'éclate d'un rire franc. J'aime quand les gens sont honnêtes avec moi. - Merci. Faites comme chez vous. Si vous essayez quelque chose de stupide sachez que mes armes sont cachées partout dans cette appart'. - J'en attendait pas moins de vous. Sans lui répondre je partis me laver Quand j'ai fini de laver cette crasse je rejoins l'intrus vêtus d'un simple peignoir en soie. Après tout je suis chez moi. - Bien je vois que vous n'avez pas fouiné je vous en remercie. Dis-je en arrivant. - Je me suis déjà servi une bière et me suis introduit chez vous, je ne vais pas exagérer. - Bien je vais me chercher une bière et je vous écoute. Je pars chercher deux bières et reviens en m'installant dans le fauteuil face à lui. - Commençons et s'il vous plait, on va se tutoyer c'est plus simple si cela vous va. Demande l'étranger. - Ça me va mais avant tu vas te présenter. - Je suis Samuel le président du gang des Hell's Angels. - Je pense que tu le sais déjà mais moi c'est Lara tueuse à gage professionnelle. - Oui j'ai entendu parler de toi c'est pour ça que je suis là. Je te propose de t'allier à nous ou plutôt de travailler pour nous. - Pourquoi ? Vous tuez des gens souvent à mon avis quel est le problème ? - Nous sommes en guerre de gang et nous manquons de « soldat » ... - En guerre contre quel gang ? Je veux tout savoir. - Contre les Demons.. Ils marchent sur nos plates-b****s et on déclarer la guerre. - Comme c'est amusant ! Je viens à l'instant d'en liquider une quinzaine ! Ces enfoirés ont cru pouvoir me tendre un pièger pour me supprimer. J'éclate d'un rire jaune. - Eh bien je pense que nous avons des ennemis en commun ma chère Lara. - J'accepte votre alliance et gratuitement à une seule condition. - La quelle ? - Je veux Dave vivant. - Puis-je savoir pour quel raison ? - Une vengeance personnel à accomplir. - Marcher conclut Lara. Oh et ... Je serais présent lors de ton combat mon vice-président ne croit pas encore en toi. - Dis-lui que s'il reste jusqu'à la fin je lui garde un combat amical entre lui et moi. Il rit et s'en va en fermant la porte derrière lui. **** Aujourd'hui c'est le jour du combat. Je fais des combats clandestin dans le gymnase de Benoît. Grâce aux paris que l'on partage on peut facilement se faire de l'argent. La règle des combats ? Pas d'armes, seulement les poing et tous les coups sont permis. Une fois que l'adversaire est inconscient le combat s'achève. Je dois combattre vers 21heures. Il est 20 heures et je suis déjà prête je porte une brassière et un short comme à mon habitude. Mon corps leur fait perdre une demi seconde en début de combat ce qui m'est précieux pour pouvoir attaquer sans qu'ils ne se défendent. Les mecs sont tous les mêmes ils pensent avec leur queue. Alors que je m'échauffe avec Benoît sur le ring, 5 hommes entrent. Je reconnais Samuel et le salue d'un mouvement de tête qu'il me renvoie. Il est entouré de ses hommes. L'un est brun aux yeux vert, l'autre blond aux yeux bleu, un autre cheveux noirs et les yeux presque noir et le dernier un roux au yeux marrons. Ils sont canons et me déconcentre alors je décide de parler la première. - Désolée Samuel mais je dois rester concentrée on discutera après les combats. - Pas de soucis ma belle on va se contenter de se faire petits et de ne pas déranger. - Merci ! Benoît on y retourne ? - Toujours ! Me répond-t-il en souriant. Nous reprenons notre combat comme à notre habitude avec nos règles. J'encaisse les coups et les rends durant Une heure. Ensuite je me dirige vers mon vestiaire pour faire le vide et me concentrer en attendant mon tour. J'entends la foule applaudir et je sais que c'est mon tour alors je sors de mon vestiaire pile au moment où mon ami me présente au public qui me connaît déjà et qui m'encourage en hurlant. Une fois sur le ring je salue la foule d'un levé de poing ce qui les fait hurler de plus belle (j'adore faire ça). Ensuite je me tourne vers mon adversaire que j'avais jusque-là ignorer et je me rends compte que c'est un énorme molosse. Plus d'un mettre 80 bien musclé et assez épais son regard est féroce mais il ne m'impressionne pas du tout. Comme je me le répète souvent... Je suis le chat pas la souris
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