XXIV-2

2369 Mots

Ce furent là les seules consolations qu’Horace reçut du président des bousingots, et il fallut bien les accepter. Il était trop tard pour en nier la logique et l’opportunité ; car avant la fuite de Marthe, avant ce grand désespoir qu’il en ressentait, il s’était engagé, soit par amour-propre, soit par ennui, soit par ambition, à prendre part à la première affaire. Au dire de Jean, cette occasion ne tarderait pas à se présenter. Horace l’appela hautement de ses vœux ; et Jean, dont le faible était de tout pardonner, à la condition qu’on prendrait un fusil pour moyen d’expiation, lui rendit promptement son estime, sa confiance et son dévouement, il consentit pendant plusieurs jours à le soigner, à le promener, à l’exciter par les préparatifs de cette grande journée que chaque jour il lui pro

Lecture gratuite pour les nouveaux utilisateurs
Scanner pour télécharger l’application
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Écrivain
  • chap_listCatalogue
  • likeAJOUTER