Chapitre 9

2529 Mots
Mountaga Sall Pour gérer deux femmes il faut être astucieux. Je leur dis à toutes les deux la même chose et les connes elle me croient. Ça m'épargnera plusieurs problèmes. Je ne sais pas comment je vais faire quand il arrivera l'heure de me séparer d'elles. Je me suis tellement habitué à elles. Maintenant je ne peux plus rien faire sans que l'une d'entre elles m'assiste. On ne vit vraiment que quand on est marié. WALAHI célibataire wourani( célibataire ne vit pas). Sala était entrain de me préparer du thé dans la chambre. Moi j'étais couché au calme entrain de suivre la télé. Je suis traité comme un roi et ça ce n'est rien. - bébé tu dors ? - non non je dors pas. - faut pas dormir. Je te réserve beaucoup de choses cette nuit. - guanima! (Tu dis) - walahi yaw boul nelaw d Lima nam tay bâ fadiar RK( je te jure. Ne t'endors pas. Ce que je vais faire avec toi aujourd'hui c'est jusqu'à l'aube. - a Ya Ya! - shi affaire you neh you saf. ( De très bon trucs) - a Ya Ya. - tamit commencé guougnou Guay sitiou.( aussi on a pas commencé et tu gémis.) - je vais m'échauffer alors. Elle me donne une tasse que je bu puis je me suis changé pour me mettre au lit. Je la vois faire des vas et viens. - amour lève toi je dois changer le drap. Je fais comme dis et elle change le drap. Ce n'est pas un drap ça On avait dessiner dessus des images de moins de 30 ans. Un couple faisait l'amour et en légende la fille disait : fait de moi ta guitare espagnol et sur un autre côté " borom djong bou rafet bi kay Kate ma". On dirait qu'aujourd'hui sala est décidé hein p****n. - installe toi...dit-elle après avoir parfumer le drap. J'excute comme un enfant qui attend d'être gâté. Elle ferme la porte puis éteint la lampe et alluma la veilleuse avant de disparaître dans la salle de bain. J'impatientais quand elle est sortie habillé d'une pagne blanche qui contenait des trous. Elle me poussa sur le lit puis se posa sur moi. - aujourd'hui c'est à moi de m'occuper de toi. - ne te gène pas. Fais ce que tu veux de moi. Elle se mets à se frotter sur moi en gémissant alors que je ne la touchais même pas. Elle enlève le sous vêtement et se met à déposer des bisous sur mon torse en me mordant dès fois. Elle me faisait des suçons tout en laissant échapper de petits cris. Elle se leva complément et pris quelque chose sur la coiffeuse qu'elle mit dans sa bouche et revint vers moi. - tu porte beaucoup d'habits à mon goût mon amour. - hum je peux enlever. - je vais m'en occuper. De façons il ne me restait que mon pantalon. Elle dèssera au niveau de la taille et enleva le tout. Elle prend le petit mountaga dans ses bras. Elle se met à le masser puis le mit dans sa bouche. Je ressentais une sensation de pétillement puis de fraîcheur. C'était de la menthe. Lentement elle se met à me s***r. Sa langue allait de haut en bas en accentuant sur le g***d. - p****n tu as pris des cours depuis la dernière fois ou quoi. - tu aime. - j'adore oui prends tout dans ta bouche. Elle essaya mais le volume avait triplé. La menthe me donnait une de ses sensations oh god. Elle recommença cette fois elle y allait avec une façon qu'elle voulait rude. Après avoir sorti ce que j'avais à l'intérieur je prend le dessus en la faisant allonger. J'enlève sa pagne pour découvrir des ceintures de perles. Je me mets à son niveau pour l'embrasser et en profiter pour la faire des suçons comme elle avait fait pour moi. J'enfonce un doigt en elle et je m'attarde sur sa réaction. - ouvre les yeux et savoure mon coeur. Elle ouvrît les yeux et mon doigt se met à travailler en elle. J'en rajoute un autre puis un autre. Enfin je descendis et je pose ma langue dans son sexe chaud et mouillé. - Hô c'est trop bon mon coeur. - c'est juste ma langue qui te donne cet effet. - ho oui oui . Elle haletait jusqu'à en suer alors que suis sûr qu'il neige à Bamako. J'aurais voulu la torturer encore plus mais faut pas être méchant. Je m'allonge sur elle et je la pénètre tout doucement. Je sentis une douleur de morsure sur mon dos mais j'y fais pas attention. Je continuais de la chevaucher avec un tel entrain. J'étais sur que dehors elles avaient entendu les cris de Sala. Elle qui disait que ça sera jusqu'à l'aube elle s'est vite endormis après son deuxième orgasmes. (..) Ce qu'il y'a aussi d'emmerdants quand on a deux femmes c'est qu'on peut pas rester tranquillement dans une chambre. Tous les deux jours il faut changer de chambres. J'étais fatigué par la nuit d'hier. Heureusement que y avait pas boulot aujourd'hui sinon je risquais de ne rien foutre. Je décide de m'allonger dans la chambre de Zeina vu que j'étais de tour chez elle. - Tu dors depuis tout à l'heure. Qu'a-t-il ? Me questionna Zeina. - j'ai juste sommeil. - hana tu dors pas la nuit ? Tu veux que je fasse un dessin ? Comment dormir? - juste fatigué bébé avec mon boulot. - tu vas pouvoir te détendre amour. Tu vas faire une sieste extraordinaire. - ha oui ? - ouais attend moi. Elle apporta une petite bouteille marron qu'elle posa sur le lit. - débarrasse toi de tes habits. -hein. - déshabille toi. Non attend je m'en occupe. Je me laisse faire et bientôt je me retrouve nu devant elle. Elle versa le contenu de la bouteille sur mon sexe. La couleur me fait penser que c'est du miel. Elle se met à lécher le miel. Je frissonnai à chaque fois qu'elle posait sa langue sur mon g***d. Elle n'y allait pas de mains mortes. Elle remonta et m'embrasse. - c'est quoi cette marque sur ton dos? - quoi ? Ha je sais plus on a dû me mordre. - ha. je l'ai baissé sauvagement et comme si la morsure sur mon dos ne suffisait pas elle me griffa plusieurs fois. Quand on avait fini il était déjà le crépuscule. Je suis allé dans ma chambre à moi pour me reposer. Je ne suis ressorti qu'à l'heure du dîner. Zeina n'arrêtait pas de mettre à ma place du poulet contenant du rofff. Le poivre risque de me tuer dans la nuit. J'ai bu plusieurs l****s d'eaux pour que cela passe. De retour dans la chambre je la vois entrain de préparer je ne sais quoi. Pourquoi les femmes ne sont jamais rassasié quand il s'agit de sexe ? Encore une fois j'ai dû m'y mettre. (..) Dès que je la voiqy poser des bines bines sur le lit j'ai fermé les yeux. Franchement je ne peux pas faire l'amour 4 jours d'affilés je ne suis qu'un mortel moi. - amour tu dors ? Je ne la répond même pas. Elle monte sur moi et se met à m'embrasser. Tu peux faire tout ce que tu veux mais aujourd'hui mom pas de jeux de grands. Mon coeur ne le supporterait pas. Je risque de mourir très jeune. - wa bébé tu dors ni ? Après avoir insister un long moment elle se leva sur moi et je ne sais plus ce qu'elle a fait. C'est mon réveil qui m'a réveillé à 06h. J'avais des courbatures partout. Il me fallait un massage. Je sens que je ne vais pas travailler cette journée. C'est moi qui voulait maintenant j'en veux plus. Je ne risque même pas d'attendre que le chalenge finisse. Je les répudie toutes les deux et c'est tout. Je risque de finir toutes mes balles quand j'épouserai la femme de ma vie. Je décide de prendre ma journée. Elles n'ont qu'à prendre un taxi. Je m'enferme dans ma chambre pour mieux dormir. À mon réveil il était 12h. Alors c'est ça ce que vive les polygames ? Bene diabar dara dakouko( rien n'égale une seule femme). Après un bain rapidos je descends pour voir ce qu'il y'avait comme nourriture. La maison était vide. J'allais respirer l'air pur. Je me suis préparé un petit déjeuner avant de m'installer. J'appuie sur le bouton mp3 du radio et il me sort du James blunt " good-bye my lover". Bientôt je dirais " good-bye wifes". Si je les répudie comme ça leurs familles vont me demander le motif alors il me faut créer quelques choses. Mais bof je m'en fou d'eux je les répudie c'est tout mais pour quand ? Est-ce que aussi je ne fais pas attendre la fin de cette période. Il fait froid d et moi seul dans un lit je vais congeler. Rien n'est pressant j'y penserai au mois de mars. je n'ai pas vu l'heure passé. Bientôt je vois ma soeur. - mountaga tu n'es pas au travail ? - bonsoir ma chère sœur comment tu vas ? - désolé. Bonsoir. - voilà c'est ça qu'on t'a enseigné. Suis pas partie au bureau aujourd'hui. - tu as mangé ? - non tu me prépare quelque chose à manger ? - bien-sûr je vais me changer je reviens. Des qu'elle monte j'entendis des pas qui venaient vers moi et cette fois-ci c'est sala. - bonsoir mon amour. Tu vas mieux ? Pour pouvoir échapper à leurs questions ce matin je les ai dis que j'étais malade. - je vais mieux oui. - tu t'es bien reposé ? - oui très bien oui. - viens dans la chambre. - j'attends ma soeur elle doit me préparer à manger. - non mais je vais le faire. - t'inquiète pas repose toi tu viens de descendre repose toi. - hum d'accord. Je te prépare le thé alors. - d'accord. Ma sœur est venu après et m'a préparé à manger. Et je me rends compte que cela faisait un moment qu'on a pas discuté. - ton boulot cava? Elle leva ses yeux pour voir s'il y avait une autre personne. - je parle avec toi. - oui oui cava. - hum tu as toujours pas un petit ami ? - mountaga. - quoi? C'est une question. Elle se leva sûrement pour ne pas répondre. Après avoir manger je remonte dans ma chambre. Marieme mint Ismaël Personne ne sait où on peut louer un mari jusqu'à ce que passe le froid? Même cent couvertures n'y peuvent rien. Ma mère a préparé du karité avec du citron. Je m'en enduis le corps la nuit comme ça j'aurai pas la peau sèche avec tout ce vent froid et sec. Ces temps ci il y'a un homme qui n'arrête pas de me draguer. Il a commencé à être lourd du coup j'ai accepté de dîner avec lui. Au lieu d'une tenue de dîner j'ai porté un Jean noire avec une blouse blanche et une veste noire avec des van's noirs et j'ai mis un chapeau on verra par où le froid va passer. Il m'appelle pour me dire de sortir. - tu es magnifique. Heu mec ce que je porte c'est tout sauf magnifique. Mais bon allons-y. - merci. On va où ? - chez moi. - chez toi? - bon je voulais qu'on dîne dehors mais avec ce froid je me suis dis quoi de mieux que de se mettre à chaud et à discuter. - OK - tu compte aller où comme ça ? Je me tourne et je vois mountaga. - tu compte aller où avec cet homme? Il n'attendit pas ma réponse et se tourna vers le mec. - cette fille c'est ma fiancée. - je savais pas elle m'a rien dit. - OK OK moi je te le dis maintenant c'est ma future épouse alors vous pouvez partir. J'étais bouche-bée face à ce con. Il vient de me sortir d'affaire. - heu tu m'expliques? Dis-je à mountaga quand l'autre est parti. - ce n'est pas une bonne personne ce gars. Tu devrais pas le fréquenter. - parce-que toi tu es une bonne personne ? - Marieme je le connais très bien et je te dis qu'il n'est pas fréquentable - hum tu me protége ndeyssane. - prend pas trop la confiance c'est juste pour mansour que je fais ça. - bien-sûr mon amour. - et c'est quoi cet accoutrement? - il fait froid. - viens je te réchauffe. Je t'épouse jusqu'au mois de mars. - chip pousse toi de là OK. Bon merci beaucoup je retourne chez moi. - pas de quoi ma tite. Il reçut un chip magistral qu'il répondit par un sourire avant de me tourner le dos pour partir. Je suis presque touché par ce qu'il a fait. Et en même temps je ne voulais pas partir avec ce froid de canard. - wa hana démato( tu ne parts plus ?) ... Me demande ma mère. - magui ni dematouma. Dama seed maa( suis là je ne parts plus. J'ai froid maman). - hum trouve toi un mari. - à croire que les hommes sont à vendre. - ton père vient d'appeler. Il te dit de le rappeler. - oui demain inch'allah. Suis dans ma chambre je ne dîne pas. - mais pourquoi ? - pour rien. Je ne compte ressortir que demain. Bonne nuit. - bonne nuit Une fois dans la chambre je me suis changé pour porter mon jogging puis je mets un peu d'encens avant de prendre le commande de la télé pour me mettre au lit. Il faisait bon dans la chambre. Mon lit était douillet et bientôt mes paupières ont commencés à s'alourdir. Trois mois plus tard Narrateur externe Le challenge était fini et il était temps pour mountaga de se séparer de l'une d'elles. C'est ce qu'il les a fait croire tout ce temps. Chacune d'elles était confiante car elle se disait que ce sera elle l'heureuse gagnante. Il décide de commencer avec Sala. - sala tu peux t'asseoir je veux te parler. - oui dis-moi. - heu voilà je voulais te dire que je te répudie. Sala le fixa un long moment sans comprendre. Elle essaya d'assimiler les informations qu'elle venait de recevoir. - quoi. C'est une blague ? Elle souffla et s'approcha de lui. - ton poisson d'avril est pourri. On était le 1 avril alors elle a crû que c'était une blague. - sala je ne blague pas. Tu es libéré tu n'es plus ma femme. - tu crois que je vais accepter. Je ne vais pas te laisser vivre avec Zeina. Lolou dou am dedet. Je ne vais pas accepter cela. - je ne sais pas si tu vas l'accepter ou pas mais tu es dorénavant libre. - mountaga écoute moi. Sans faire attention à elle, il sortit de la chambre pour rejoindre celle de Zeina. - Zeina je te répudie. Quel con il n'a même pas tourné autour du pot. Contrairement à sala , Zeina se met à rire. - haha oui c'est ça. - tu rigole hum bahna. Tu peux prendre tes clics et tes clacs et me dire ciao. - mountaga. - quoi? - c'est sala que tu as choisi. Qu'est-ce qu'elle a plus de moi? - rien c'est pourquoi je vous répudie toutes les deux. - quoi? - quoi ? Arrête de me regarder avec tes gros yeux là je risque de succomber. Elle lui lance la bouteille de thiouray qu'elle avait dans sa main. - connard. - ce n'est pas une nouvelle chérie. Le lendemain il était sur la terrasse quand ses deux ex femmes sont venus. - on restera ici pour un long moment....Dit Zeina - quoi? - on est pas pretes de partir de cette p****n de maison. - Zeina je te permets pas de m'insulter . - et alors quoi tu vas me frapper ? Essaye et je porterai plainte contre toi sale bâtard. - et je suis enceinte... Dis sala. - moi de même.. Rajouta Zeina.
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