chapitre 4

1948 Mots
Marieme mint Ismaël Bintou vient de m'inviter chez elle mais j'avais un peu la frousse. La dernière fois ça ne s'est pas bien passé avec mountaga. Un coup de pied entre les jambes ça s'oublie pas si vite. - ton frère est la ? - non il n'a pas passé la journée ici. Tu ne s'entend toujours pas avec lui ? - ton frère il se sent trop - pourtant c'est un homme bien. - avec toi oui mais pas avec les filles. - il n'amène jamais de filles à la maison. - sérieux ? - je te le jure. - mais c'est un con quand-même. - tu es toujours la même toujours directe et franche. J'ai toujours aimé cela en toi. Tu parlais rarement en classe mais quand tu t'y mets tu ne dis que la vérité. - ça me coûtait des - 5 en classe. - mais ça t'a pas empêché de réussir macha'allah. Alors on fait quoi? - on se rappelle du bon vieux temps . elle savait que je ne pouvais pas blairer son frère et cela depuis longtemps. En tout cas il devrait faire attention aux filles. Elles sont si motivés pour le faire tomber. Je me demande pourquoi elles sont si déterminés. Je crois qu'elles se sont joués de mountaga et il s'est joué d'elle ça devrai finir. Mais elles en font trop et on sait qu'une fille déterminé peut tout faire. Pitié de lui dal. En tout cas dou yomb wait and see. Avec bintou on a pas vu le temps passé. C'est qu'elle sait si bien tenir une discussion. J'étais entrain de rire aux éclats quand surgit son frère. - depuis quand on a des chèvres dans la maison ? Demande-t-il avec un air qu'il veut sérieux. - depuis que les cochons portent des cravates. Il baisse automatiquement son regard sur sa cravate. Et là j'ai pas pu me retenir de rire. - tu n'as aucune grâce quand tu ris. - comme ça tu vas pas te sentir seul au monde vieux macaque. - ha-ha ça suffit comme ça... Dît Bintou. - si tu étais ma soeur j'allais te bastonner chaque jour. - si tu étais mon frère j'allais te tuer dans ton sommeil pour ne pas avoir à voir ta tronche d'hippopotame. - je vais t'eduquer. - yarou wo bay yaré( tu n'es pas bien éduqué pour vouloir éduquer.). Bon bintou je rentre l'atmosphère sent mauvais et je ne veux pas que ma sinusite revienne. - d'accord je t'accompagne à la porte. - hey apporte de l'eau... Dit-il à sa soeur en me fixant. - bintou c'est pas grâve. - d'accord à plus tard. - bye bouki l'hyène au faite l'entre jambe cava? - tu veux vérifier ? - haram Trop bête chip. La sonnerie de son téléphone me sort de cet embarras. - allô sala... Ha elle parle avec sala ? Ok . bintou est revenu au moment où je voulais partir. Elle m'a raccompagné. Mountaga Sall Mission du moment c'est de les rendre folle de moi. Déjà que sala ne peut plus vivre sans moi. Elle appelle tout le temps. Elle veut me voir à chaque fois. Zeina elle est plus posé plus mature. Elle se contente de petit texte le matin et la nuit. Ce qui m'intrigue c'est pourquoi toutes les deux elles ont acceptés de sortir avec moi en sachant que d'emblée leur plan c'était juste de m'avoir. peut-être qu'elles sont tombés amoureuse de moi ? Où ? Je me perds là je ne sais plus quoi penser mais je vais quand-même en profiter. Me taper Zeina est le plus grand des défis. Elle a l'air bonne et moi avec les seins c'est une longue histoire. Comme tout parfait gentleman je vais jouer mon rôle à la perfection. Le parfait petit copain quoi. Je viens de dire à sala que je vais l'emmener à son boulot. (...) J'ai appelé sala pour lui dire de sortir m'attendre devant sa porte. Au moment où je m'arrête devant chez elle je vois la fille sauvage. Elle me lance même pas un regard. Un instant après sala apparaît. - bon moi j'y vais sala on se retrouve à la descente...dis marieme. - mais non il va te déposer n'est-ce-pas mon amour ? Mon amour ? - bien-sûr aucun soucis. Elle me lance un regard si noir avant de suivre sala. Cette dernière est monté devant et l'autre folle derrière. Elle avait mis des écouteurs mais j'entendais ce qu'elle écoutait. C'était boulé de fally ipupa. Elle à l'air branché mais c'est juste l'apparence. Sauvage comme elle tu meurs. Sala est descendu et j'étais obligé de conduire l'autre. - hey tu descend où ? Elle ne répond même pas. Sans un mot de plus je redémarre. - tu peux t'arrêter je descend la. Je ne l'ai même pas répondu. J'ai continué de rouler direction le lieu où je travaille. - je te parle là toi arrête toi. Toujours pas de réponse. Je vais te montrer comment on s'occupe des impolies. - mountaga merde tu peux arrêter cet p****n de voiture. - merde? Tu parle avec qui ? - arrête cette voiture j'ai dit. - j'arrête rien c'est maintenant que tu décide de répondre? - quoi ? - je t'ai demandé où tu voulais descendre tu n'as pas répondu - j'ai pas entendu. J'avais mes écouteurs. - tu écoutais du fally depuis que tu es dans cette voiture. - c'est pas ma faute s'il chante bien. - ce sera de ta faute si tu es en retard. - OK fais demi-tour - non - mountaga - non - s'il te plaît. - hé bien ça change tout. J'ai fait demi-tour et j'ai entendu des soupirs de soulagement derrière. Gnaw. - ici c'est bon. - bonne journée travaille bien Marieme - va te faire foutre. Elle claqua la porte tellement fort que j'ai eu peur que la voiture soit sans porte . quelle brute folle... Heu mais un jolie cul qui est parfaitement moulé par sa jupe. Mais ça l'empêche pas d'être une sauvage. Cette histoire va me coûter tout mon temps. Je dois aussi déjeuner avec Zeina. Deux amies qui sortent avec un seul homme c'est qu'elles ne sont vraiment pas amies. J'ai fais mon possible pour terminer les dossiers avant l'heure de la pause. Je connaissais la boutique de Zeina mais suis jamais entré. Tout ce que je sais c'est que c'était une boutique de dames. Je pousse la porte et ce que je vois me rends bouche-bée. C'est officiel Zeina je te veux comme épouse. p****n de merde. Ça fait b****r même les euniques. - monsieur je peux faire une chose pour chose pour vous ? - beaucoup de choses.. Heu je voudrai voir Zeina. - vous êtes mountaga ? - oui - elle est dans son bureau. Au fond. - merci. Je passe devant des trucs trucs tellement... J'ai même pas les mots. Au moment où je passais devant une petite porte je me cogne sur quelqu'un. - mais tu me suis ou quoi ? Demande Marieme qui était entrain de se masser l'épaule. - c'est plutôt toi qui me suis. - que fais-tu ici ? Ce matin tu déposes sala et maintenant tu es ici pour voir Zeina. Tu es entrain de faire quoi là ? - ce ne sont pas tes oignons pousse toi de la. Elle me regarde avec un œil rempli d'haine avant de me laisser passer. Je la vois prendre son sac et sortir. Zeina était un peu surpris mais je me suis baissé pour lui donner un b****r. - pourquoi elle est partie ? - je ne sais pas moi. Tu vas bien? - oui et toi ? - à part que tu me manques. J'ai pris place à côté d'elle. Je me suis mise à l'embrasser. Je l'ai tourné vers moi et j'ai commencé par son oreille, son cou puis je reprend sa bouche avant d'atterrir sur ses lolos. Cette femme rien que ses seins me rend fou. Mon bras se met à la caresser. Je tombe sur des ceintures de perles. À ce moment je la couche sur le canapé et je mets ma jambe entre les siennes. - on est à mon lieu de travail c'est pas convenable. Elle se lève et se met à ajuster ses vêtements. - mais tu es la patronne. - à plus forte raison. Mes employées ne doivent pas me voir entrain de fricoter avec mon petit ami. Hé bien ça ne sera pas facile avec elle mais j'ai le temps. Narrateur externe Ce qui au début étais juste un pari c'est transformé en autre chose. À l'espace de cinq mois beaucoup de choses ont changés. Mountaga s'est perdu dans ses sentiments. Zeina l'attirait comme un aimant. Elle était douce et elle s'occupait bien de lui. Sala elle le rendait fou un peu collante mais adorable Chez les filles aussi c'était pareil. Sans s'en rendre elle sont tombés amoureuses de mountaga. Et maintenant elles passent leur temps à mentir. Leur amitié risque de partir en poussière car toutes les deux veulent avoir l'exclusivité et pour ce elles sont capable de tout. Sala a eu une petite idée et elle est allé chez Zeina pour l'en parler. - Zeina cela fait des mois qu'on joue à ça je croîs qu'il est temps de tout arrêter et de retrouver la cour normale de notre vie. - oui tu as raison. c'est mieux. Alors on romp avec lui. - OK elles se regardent en souriant. Sourire hypocrite. " si tu penses que je vais rompre avec lui c'est que tu ne sais rien ma petite. " pensa Zeina tout en téléchargeant son plus beau sourire. " aller romps avec lui très chère. Mountaga sera à moi " dit sala entre ses dents. - bon je rentre à demain. - bonne nuit Dès que la porte se ferme Zeina se met à rire aux éclats. Enfin elle aura mountaga pour elle toute seule. De son côté sala se tapait un fou rire. Zeina a accepté de rompre. Après tout elle n'avait pas de raison de ne pas rompre avec lui après tout ce n'était qu'un défi qu'elles ont relevés avec succès. Elles ont voulu jouer mais ça retombe sur elles. Elles se promettaient d'etre discrètes pour ne pas éveiller des soupçons. Ce qu'elles ne savent pas c'est que mountaga savait déjà qu'elles avaient lancés un pari sur lui. Même s'il a des sentiments qu'il ne peut pas décrire il compte bien se foutre de leur gueule à toutes les deux et il était entrain de chercher la méthode parfaite pour se venger. Il ne compte pas les louper. Mountaga Sall À ma sortie du bureau suis allé prendre Zeina. Elle m'attendait déjà et entre dès que j'ai stoppé la voiture. - bonsoir Bb ..dit-elle en me faisant la bise - bonsoir amour. Tu vas bien ? - oui oui et toi ? - pas mal. Je voudrais te parler. Et si on dînait ensemble ? - d'accord. Où si on achetait le dîner et qu'on aille chez moi ? - c'est bien aussi. On passe acheter le dîner avant d'aller chez elle. Après le dîner on s'est installé sur le canapé. - Zeina cela fait plusieurs mois qu'on est ensemble et je veux vraiment le faire bien avec toi. Je voudrai que tu sois ma femme. Elle se leva face à ma déclaration. - quoi ? Tu es sérieux ? - plus que jamais. Tu en dis quoi ? Je sors une bague et je me mets à genoux. - veux-tu m'épouser seynabou Konaté. Je ferais de toi la femme la plus heureuse. - oui oui oui bien-sûr que je veux. Je la prend dans mes bras et on se pose sur le canapé. - je t'aime mon cœur. - je t'aime aussi madame Sall. (...) On était en face de la mer entrain de manger nos glaces. Tout à coup je me mets en face d'elle à genoux. - salamata Sy veux tu être ma compagne pour la vie ? La mère de mes futurs enfants. Veux-tu être madame Sall ? - oui oui oui mon amour oui. Je me lève automatiquement pour la prendre dans mes bras. - tu sera la femme la plus heureuse sur terre amour. Je te le promets. Oui je vous le promets. Il prépare quoi Mountaga ?
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