Que la lumière soit ! Le soir de ce même jour, Patrice faisait les cent pas sur le quai de Passy. Il était près de six heures. De temps à autre, un tramway passait, ou quelque camion. Très peu de promeneurs, Patrice se trouvait à peu près seul. Il n’avait pas revu don Luis Perenna depuis le matin. Il avait simplement reçu un mot par lequel don Luis le priait de faire transporter Ya-Bon à l’hôtel Essarès et de se rendre ensuite au-dessus du chantier Berthou. L’heure du rendez-vous approchait, et Patrice se réjouissait de cette entrevue, où toute la vérité allait enfin lui être révélée. Cette vérité, il la devinait en partie, mais que de ténèbres encore ! Que de problèmes insolubles ! Le drame était fini. Le rideau tombait sur la mort du bandit. Tout allait bien. Il n’y avait plus rien à


