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1715 Mots
Souvenirs ! Durant toute la journée au bureau elle avait fait mine de m’ignorer. Le directeur France était arrivé ce jour pour le bilan annuel avec les collaborateurs des autres bureaux régionaux. Etait-ce en partie à cause de ça ou bien instaurait elle un jeu…. Malgré son apparent désintéressement, et sûrement que cela ajoutait à son charme, je la dévisageais chaque fois qu’elle passait devant ma porte. Elle portait un tailleur bleu marine et une chemise blanche qui éclairait son teint. Sa jupe au-dessus des genoux laissait libre court à tous mes fantasmes. La varie business women. Ses petites lunettes noires rajoutaient une touche sexy à un ensemble qui n’en manquait déjà pas. Je passai toute la journée à me faire des films sur la soirée et sur sa phrase de l’autre soir « Peut-être que l’on trouvera une occupation tous les trois… » Avais-je bien compris, était-ce vraiment ce qu’elle avait prononcé, était-elle encore plus lubrique que ce qu’elle avait déjà montré…..En tous cas, au bureau, rien ne laissait présager son tempérament de braise. Elle était si professionnelle et parfois si sèche avec ses collaborateurs. Je fixai à longueur de temps l’horloge installé face à mon bureau, impatient comme jamais. Je ne la vis pas partir ce soir-là. Lorsque je quittai le bureau pour descendre au parking je reçu un message. « Le portail est ouvert, ne sonne pas quand tu arrives » Après avoir perdu quelques minutes précieuses dans les bouchons habituels du soir, j’arrivai enfin devant la bâtisse. Une place était libre juste en face. Une fois devant la porte de la maison je constatai qu’elle était entrouverte. Je rentrai donc en faisant le moins de bruit possible. Emilie avait dû entendre, elle se présenta devant moi avec un large sourire et m’embrassa sur la joue. Elle portait une robe légère, fleurie, avec des bretelles fines. Cela tranchait avec sa tenue de travail strict. Je m’étais mis en tenue décontracté, jean et polo. — Tu n’as pas trop galéré pour arriver ? — Non, écoute, finalement ce fut rapide — Très bien ajoute-t-elle, suit moi Je m’exécutai et nous arrivâmes dans la cuisine. Cette pièce était immense, blanche et ultra moderne. Un ilot central immense trônait là. Tout était rangé et à sa place. — Tu veux boire quelques choses, j’ai du champagne ? — Ça me va très bien, merci Nous nous posâmes autour de l’ilot et sirotâmes notre coupe. — Ta journée avec le directeur, ça a été ? demandai-je — Ecoutes, plutôt bien oui, mais on s’en fiche, tu n’es pas là pour débriefer le boulot retorqua-t-elle en souriant Je fus gêné, elle le savait et ça l’amusait. Une fois terminé sa dernière gorgée elle m’attrapa le bras et m’invita à la suivre. Nous nous retrouvâmes dans le salon, l’endroit de nos premiers ébats… Elle me proposa de m’asseoir, ce que je fis pendant qu’elle se baissa, me laissant entrevoir ses fesses et la ficelle qui tranchait son sexe. Elle se releva sans rien dans les mains, je la soupçonnai de l’avoir fait exprès pour attirer mon regard et m’exciter. En tous cas, cela avait fonctionné. Elle vint alors s’asseoir à côté de moi, une de ses jambes sur mes cuisses. Elle écarta alors l’autre jambe et je pu voir la face avant de son magnifique string rouge. Je pouvais voir ses lèvres, son sexe parfaitement épilé. Je salivais de plaisir. Elle porta ses doigts à la bouche et vint les poser sur son string, tout en commençant à se toucher en me fixant. Après s’être caressé, elle passa la main sous sa dentelle et enfila un puis deux doigts dans sa chatte bien humide. J’étais raide et à l’étroit dans mon jean. Elle ne pouvait que le remarqué vu la bosse qui pointait. Elle continua pendant quelques minutes et moi subjugué, je la regardai avec une seule envie, écarter ce bout de tissu et approcher ma langue pour la lécher encore et encore. Elle porta sa main à ma bouche afin que je me délecte de son jus, ce que je fis sans rechigner. Elle replongea alors dans son intimité en gémissant de plus en plus. Lorsque je voulu bouger elle m’arrêta et m’ordonna de rester assis et de contempler ce qui s’offrait à moi. Bien obliger, je m’exécutai, sans broncher. Tout d’un coup je senti deux mains sur mes épaules. Me retournant instinctivement je vu une jeune fille, la vingtaine me faire un signe afin que je me taise avec son index sur la bouche. Elle contourna le canapé et là je pu voir face à moi, une très belle fille blonde, queue de cheval, vêtue d’un mini short et d’un top noir à fines brides, moulant une poitrine généreuse. Elle se mit à genou devant moi, pris la jambe d’Emilie et commença à lui lécher le mollet puis la cuisse. Ahuri par cela, je fus comme prostré et ne put rien faire pendant un instant. Elle mit alors les deux jambes d’Emilie par-dessus ses épaules et engagea un c*********s qui la fit gémir de plus belle. Je restai là, bouche bée, assistant à ce magnifique échange, quand soudain elles s’embrassèrent langoureusement et chuchotant tour à tour à l’oreille l’une de l’autre. La jolie blonde vint devant moi, commença à caresser mon torse et mes bras. Elle descendit ensuite sur mon bas ventre puis déboutonna ma braguette pour en faire jaillir mon sexe au bord de l’é*********n. Elle commença à me branler avec une main tout en continuant à lécher Emilie qui avait baissé ses bretelles pour se caresser les seins. La jeune fille, je l’appris plus tard, qui s’appelait Camille, s’arrêta brusquement, enleva son haut laissant apparaitre sa magnifique poitrine avec ses tétons qui pointaient. Elle réajusta sa queue de cheval et entrepris de me rebranler de plus belle. Elle approcha sa tête de mon sexe et après avoir lécher mon g***d le goba goulument. Elle me suça généreusement. Adossé au fauteuil, je me laissai dominer par cette fille qui avait un talent indéniable. Soudain elle stoppa et Emilie qui s’était levée vint à son tour me s***r, jalouse de cette petite goulue. Elles se partagèrent mon sexe et mes bourses dans un plaisir incommensurable. J’allai jouir en elle tellement je n’en pouvais plus. Camille se releva alors, monta sur le fauteuil me présentant on bas ventre au niveau de ma bouche. Je lui descendis brusquement son mini short laissant apparaitre un pubis brillant et rasé. Elle attrapa ma tête et dirigea sa vulve sur ma bouche. Je me délectai alors de se sexe dégoulinant de plaisir. Ses deux mains maintenant ma tête contre elle. Je cru étouffer parfois mais elle relâchait la pression régulièrement. Elle avait l’habitude de ces choses, sans aucun doute. Emilie continuai à me s***r, elle commença même à me titiller l’anus avec sa langue tout en me branlant de ses deux mains. J’ajustai alors ma position pour qu’elle ait un accès plus aisée a cette partie de moi-même. Je léchai Camille tout en lui palpant les seins de mes deux mains. Elle relâcha alors totalement ma tête et se mit à quatre pattes sur le sofa. Emilie vint alors positionner son bas ventre au niveau de sa tête. Camille compris de suite et commença à la lécher. Elle était vraiment douée même pour s’occuper d’une femme. Sa langue, ses doigts procuraient à Emilie des spasmes réguliers. De ma place j’observais la scène tout en regardant la croupe de Camille et son anus devant moi. Je commençai à lui lécher les fesses puis introduit un doigt dans son rectum. Elle eut un soubresaut puis continua son c*********s sur Emilie. Je me mis à lui faire une feuille de rose tout en caressant sa chatte bien ouverte. Je bandais tellement que j’en avais mal. J’entrepris alors de prendre Camille. Je fus bestial et rentrai d’un seul coup dans sa vulve. Elle sursauta et cria même. J’attrapai alors ses hanches et la burinai de plus en plus fort. Elle se releva, stoppant son œuvre sur Emilie. Cette dernière vint à cote de moi et posant sa main sur mon bas ventre me fis signe de me retirer. Elle s’inclina et me pris en bouche quelques instants. Elle dirigea ensuite mon sexe sur l’anus de Camille, non s’en avoir lécher son trou auparavant. Je fus surpris par la facilité avec laquelle je m’introduis en elle. Camille gémissait de plus en plus fort et n’avait même pas tiqué quand elle fut prise par derrière. Emilie se posa sur la table basse et sorti un énorme vibromasseur d’un tiroir. Elle ne tarda pas à se l’enfiler tout en nous regardant. Quand elle comprit que j’allais jouir elle se releva et vint me s***r pour que je me finisse dans sa bouche. Camille vint à son tour se délecter de ma semence. Elles finirent en échangeant les restes de mon jus dans une embrassade langoureuse allant même jusqu’à se lécher les seins sur lesquels du jus avait coulé. J’étais affalé sur le fauteuil et assista à la scène, vidé, au sens propre comme figuré. — Je te présente ma baby Sitter s’exclama Emilie ! elle est très douée dans ce qu’elle fait ajouta t’elle…. Je ne pus qu’acquiescer tout en souriant. Après quelques minutes, encore tout excité, je m’approchai d’Emilie, qui était encore agenouille devant moi. Lui tirant les cheveux en arrière, je l’embrassai en l’allongeant sur le sol. De nouveau raide, je la pénétrai en lui léchant les seins. Ses jambes m’enserrant le bas du dos, elle m’indiquait d’accélérer le mouvement, elle jouit alors en criant comme jamais je ne l’avais entendu. Camille se rapprocha alors d’elle et vint lui lécher la vulve, gobant tout ce qui en dégoulinait. Elle n’oublia pas de me s***r également afin de nettoyer mon sexe encore raide. — Quel moment déclarai-je tout haut ! — Tu as été bon, très bon firent elle en duo — Vous êtes de vraies coquines très douées ! sacré baby Sitter fis-je en rigolant. — Exact, comme au travail, il faut savoir bien s’entourer à la maison aussi lâcha Emilie en souriant La nuit étant bien avancé, elle me proposa de rester, ce que j’acceptai volontiers. Camille aussi fut des nôtres pour le reste de la nuit. D’ailleurs, nous n’avons pas beaucoup dormir ce jour-là…..
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