Autre émoi : au gémissement de sa mère, Rouletabille sort de ce cadre funèbre où il nous est apparu avec une figure de bandit et il vient à nous et il redevient Rouletabille. Nous en tremblons encore. Mrs. Edith, qui n’a jamais vu Larsan, ne peut pas comprendre. Elle me demande : « Que s’est-il passé ? » Rouletabille est là, devant nous, avec son eau chaude dans sa casserole, une serviette et son crâne. Et il nettoie son crâne. C’est vite fait. La peinture a disparu. Il nous le fait constater. Alors, se plaçant devant le bureau, il reste en muette contemplation devant son propre lavis. Cela avait bien pris dix minutes, pendant lesquelles il nous avait ordonné, d’un signe, de garder le silence… dix minutes fort impressionnantes… Qu’attend-il donc ? Soudain, il saisit le crâne de la main d


