VII MARCEL FAVRIN PARLE VII MARCEL FAVRIN PARLEUne heure plus tard, Croiserel pénétrait dans la cour de la gendarmerie de Viroflay. Plusieurs voitures y stationnaient. Par la porte ouverte d’une écurie, on apercevait un gendarme en train d’étriller un cheval. Le commissaire traversa rapidement cette cour, gravit les quelques marches qui donnaient accès à un long couloir, coupé de six portes sur chacune desquelles était fixé un écriteau rédigé à la main, avec un soin bureaucratique. Il rencontra un jeune homme, un journaliste sans doute, en quête d’une cabine téléphonique. Arrivé devant le bureau du capitaine, il frappa. Aucune réponse ne se fit entendre. Il frappa de nouveau. — Entrez donc, cria une voix furibonde. Un spectacle peu banal s’offrit alors à ses yeux. Le capitaine de gend


