Tuer ou sauver

2410 Mots
Ça n'a pas été bien difficile pour Erkan d'avoir l'adresse des Yildiz Il resta en retrait pour observer de loin le manoir qui se trouvait devant lui. L'envie d'y aller, de sonné et de demander après beste lui a vaguement effleuré l'esprit, mais il se retient et attend. Puis il la vue, beste qui sortait de la maison, l'aire bien contrarié par il ne sais quelle raison. Elle était debout dans le jardin près de la grande grille, puis elle tourna le regarde de l'autre côté de la grille, et reconnu aussitôt l'homme assis derrière le volant de la voiture garée à quelques mètres de chez eux * Beste avait quitté l'appartement aussitôt que la voiture d'Erkan s'était éloignés de l'immeuble. Elle avait pris un taxi et voulait trouvé refuge chez l'une de seule personne en qu'il avait confiance, son oncle ! Bien qu'elle entretenait une relation assez compliqué avec ses cousins ainsi que sa tante, son oncle lui, était le seul qui encore la considérer comme un membre de la famille. Mais ça c'est ce qu'elle pensait Le gardien l'ouvrit la grille aussitôt qu'elle apparue de l'autre côté. Elle alla ensuite sonné à la porte du manoir ou l'une de femme de ménage et vieille amie l'ouvrit la porte - mademoiselle beste, quel agréable surprise de vous revoir Beste: bonjour zeynep! Je suis aussi ravie de te revoir. Tout le monde est là ? - oui mademoiselle ! Ils viennent de passer à table Beste: d'accord ! Et ma chambre est libre ? - oui! Laissez moi porté votre valise Beste: non laisse ! Je vais déposé mes affaires puis je descend rejoindre les autres en bas. Elle vas dans ce qui était il y a cinq ans, sa chambre. Elle n'était pas revenu là depuis si longtemps. Elle balaya la pièce du regard, la chambre avait été bien entretenu comme si on s'attendait à ce qu'elle revienne un jour. Elle déposa sa valise sur le lit et pris juste le tend d'enlever ses chaussures pour le remplacer par des babouches. Elle alla ensuite rejoindre les autres en bas On ne peut qu'imaginer la surprise quand ils la vue là, descendre les escaliers qui conduisait au salon et à la salle à manger Beste : bonsoir tout le monde L'étonnement était au rendez-vous. Il y avait son oncle Eugen, le petit frère de son père, sa tante Ece, sa cousine Deniz, son cousin Ibrahim et sa femme Elif. Il y avait aussi sa grand mère kejal Ece: beste ? Ils la regardèrent, comme s'ils venaient de voir un revenant Beste : bon appétit Ece : que ce que tu fais ici? Demande-t-elle en se levant Beste: c'est chez moi autant que je me souviens Ece : dois-je te rappeler que tu as quitté la maison sans te retourné Eugen : Ece calme toi ! Cette dernière se rasseoit Eugen : que nous vaux l'honneur de te compter parmi nous beste ? Beste: j'étais en ville alors j'ai pensé revoir ma famille Deniz : ta famille bien-sûr ( dit-il ironiquement) Beste: quelque chose à me dire Deniz ? Deniz: t'as rien à faire là ! Beste : oh que si! Je suis chez moi et j'ai décidé d'y resté pendant un petit moment ! Ne t'inquiètes pas tu ne me verra pas dans les parages trop longtemps. Sur ceux je vous souhaite bonne soirée Elle remonte Ibrahim : pour qui elle se prend celle là ? Elle revient comme si de rien n'était, après ce qui s'est passé la dernière fois qu'elle a mis les pieds dans cette maison Ece : vous lui avez entendu, elle n'est pas là pour longtemps Deniz : espérons qu'elle s'en aille très vite Kejal : mais que ce qui vous prend enfin ? C'est votre cousine pourtant et c'est comme ça que vous la traitez quand elle revient à la maison ? Elle regarde Eugen Kejal : et tu ne vas rien dire Eugen ? Eugen : écoutez ! Essayez de bien vous entendre le temps qu'elle est ici Beste avait quitté la maison après la mort de sa mère il y a cinq ans. Elle était partie et n'a plus repris contact avec personne, jusqu'à il y a un an, à la mort de son père. Elle entretenait une relation compliqué pour ne pas dire tendu avec son père, ils ne discutaient jamais si ce n'est des disputes et cela avait empiré à la mort de sa mère, c'est justement pour cette raison qu'elle avait décidé de quitter la maison. Pour son père il n'y avait rien de plus important à ses yeux que son travail, et c'est bien ce que beste haïssait le plus. Un jour après l'enterrement de son père, une grosse dispute éclate entre elle et les membres de sa famille, notamment sa tante et ses cousins. Dans cette dispute elles les a balancé des choses horribles à la figure, le maudissant d'être de sa famille, et encore une fois elle s'en alla en claquant la porte. Elle n'a plus repris contact avec personne, jusqu'à aujourd'hui Le lendemain une autre dispute éclate entre elle et sa cousine Deniz alors qu'elle s'apprêtait à allé faire son footing Deniz: tu t'es mis à ton aise beste, tu fais comme si rien ne s'était passé Beste : je ne suis pas d'humeur pour une dispute avec toi Deniz Deniz : va-t-en tu n'as pas ta place ici Beste : comme je l'ai dit et comme vous le savez sans doute, ici c'est ma maison Deniz : tu n'as jamais aimé resté ici alors pourquoi tu dis fièrement que cette maison t'appartient. Mon oncle a commis l'erreur de sa vie en te léguant toute sa fortune Beste : crois moi je le regrette autant que toi, mais ce qui est fait est fait. De toute façon je ne compte pas resté ici très longtemps, tu vas pouvoir continuer ta vie tranquille, maintenant excuse moi Deniz : tu peux faire semblant devant qui tu veux mais ici tout le monde connaissent qui tu es vraiment Beste : l'opinion que vous avez de moi m'importe peu Deniz : crois-moi, moi aussi je maudit le fait que toi et moi soyons de la même famille Beste :.... Deniz : et sache que chaque jour je te souhaite le pire malheur possible, parce-que tu le mérite " Beste: que ce que je t'ai fait Deniz ? Que vous ai-je bien fait, pour que vous ma haïssait à ce point ? " Deniz s'en vas en lui toisant du regard. Puis beste sortie de la maison, elle s'arrêta devant la grille repensant à tous ce qui s'était passé la dernière fois qu'elle était ici. À ses cousins, à son père, pour elle ne sais qu'elle raison, cela lui contrariait énormément. Qu'avait-elle fait pour mériter une vie pareille ? une vie d'ailleurs qui allait bientôt s'arrêter. En faisant les cent pas, son regard se dirigea vers une voiture se trouvant de l'autre côté de la grille, elle reconnu bien-sûr, la noirceur de l'homme assis au volant. Son sang se figea, comment l'a-t-il retrouvé ? Se demandait-elle. Son regard était posé sur elle, et elle sur lui. Erkan l'observa un instant, observa l'inquiétude sur son visage, avant finalement de démarré sa voiture et de s'en aller. Durant le trajet, il reçu un appel de sem, il se rendit alors à la salle de gym. Dans le bureau de ce dernier Erkan : que ce qu'il y a ? Sem: j'ai un autre travail pour toi Erkan : dit moi Sem: c'est une femme, elle aimerai que tu te débarrasse de son mari qui la bat Erkan : je vois Sem: mais il se trouve en ce moment dans sa ferme, au nord près des montagne, et d'un petie village. Ça sera plutôt facile, la ferme est assez isolé d'autres habitation Erkan : indique moi l'endroit et je m'en occupe demain matin Sem: okey! Et aussi, à propos de la fille dont tu as sauvé la vie Erkan : je n'ai sauvé la vie de personne Sem: et pourtant.... Tu devais la tué tu ne l'a pas fait, quelqu'un d'autre a voulue le faire et tu l'as sauvé la vie. Que ce qu'elle a de différente celle-là? Erkan : absolument rien ! Qu'elle vive ou qu'elle meurt celà ne m'intéresse pas. De toute façon l'idiote est allé se réfugier chez l'homme qui veux se débarrasser d'elle Sem: quoi? Chez son oncle ? Erkan : oui! Ce n'est plus qu'une question de temps avant qu'il ne lui fasse passer l'arme a gauche Sem: donc ça ne te fais rien Erkan : rien du tout Sem: je te connais Erkan, si ce que tu dis était vrai, tu ne l'aurais pas sauvé. Tu n'es pas du genre à agir pour protégé quelqu'un ce n'est pas ton genre Erkan : exactement ce n'est pas mon genre, donc arrête de te faire des films. Cette fille est condamnée ce n'est plus qu'une question de temps. Maintenant indique moi l'endroit qu'on en finisse Sem: d'accord Dans l'après midi Dans sa chambre, beste était au téléphone avec une ancienne amie à elle Beste : oui je suis actuellement en Istanbul.... Je suis désolé, je sais que j'aurai dû vous prévenir, d'accord !...... Quoi tu te marie sérieux ? Oh mes félicitations - oui et tu seras là n'est-ce pas ? Beste : bien-sûr ! Y'a qu'à me donner la date et le lieu - demain Beste: demain ? - oui! Y'a un problème ? Beste: c'est juste que tu me prend un peux au dépourvu - ne me dit pas que tu as quelque chose de prévu ? Oh non beste ça me ferait trop plaisir que tu viennes Beste: heu.... Bon d'accord ! Envoie moi l'adresse...... Quoi un mariage à la campagne ? Super..... D'accord à demain matin alors Elle raccroche Beste: un mariage à la campagne.... Voilà qui promet d'être intéressant Dans le bureau d'Eugen Ce dernier était entrain de discuter avec son fils Ibrahim Ibrahim : pourquoi est-ce qu'elle n'est pas encore morte ? Et elle ose se permettre de revenir ici Eugen : calme toi. Je me charge de ça ne t'inquiètes pas Ibrahim : et le tueur que tu avais engagé, il n'a pas fait son travail Eugen : c'est un incompétent, mais j'ai mis un prix sur sa tête, quelqu'un finira par se débarrasser d'elle Ibrahim : laisse moi m'en charger, je peux la faire disparaitre ici même Eugen : tu es fou ? Et tu pense que personne ne vas s'en rendre compte ? Non! Laissons l'un de ces hommes en finir avec elle.... Y'en a justement un qui est très prometteur, je suis sûr qu'il le fera d'une pierre de coup Ibrahim : d'accord ! Faisons confiance à tes hommes, mais s'ils n'y arrivent pas, je m'en charge Eugen se contente de regarder son fils. Le soleil se coucha, puis se leva à nouveau. Ce jour promettait d'être pas comme les autres pour beste Beste pris sa voiture en direction de l'adresse que son amie lui avait indiqué. Elle était arrivé près de montagne et d'un petit village, à quelque mettre une ferme, dans laquelle se trouvait un malheureux qu'Erkan devait éliminer La voiture de beste tomba en panne en cour de route, ce qui la força à sortir de la voiture, se demandant comment serait la journée si la malchance lui frappait déjà de si bon matin. Elle alluma son téléphone essayant de se référer grâce au GPS, mais le réseau n'était pas stable Beste : allé ! Mon Dieu où est-ce que je suis ? Elle se mit à marché, cherchant du réseau Erkan était arrivé à la ferme le matin. Le travail était facile vue que l'endroit était isolé. Il rencontra l'homme alors qu'il sortait du poulailler, il l'emmèna jusque dans les bois et le mit à genoux. Ce dernier était entrain de le supplié - par pitié ne faite pas ça. Que ce que.... Que ce que je vous ai fait ? Erkan : rien du tout Beste cherchait toujours du réseau, mais du bruit venant de bois attira son attention. Elle entendue un homme entrain de supplié un autre, en pleurant. Curieuse, elle s'approcha du lieu où venait ces supplications, mais alors qu'elle arriva sur le lieu, ce qu'elle vue lui fut ressenti une peur et un effroi comme jamais au paravent. Mais alors que l'homme lui supplié de lui laisser la vie sauve, Erkan n'en avais que faire. Sans hésiter il lui metta une balle à dans la tête. Mais il entendu ensuite un énorme crie d'épouvante. Il se retourna et c'est alors qu'il la vue, elle, tétanisé les yeux écarquillés remplie de frayeur et d'effroi Encore elle, s'était-il dit. Encore une fois elle se trouvait sur sa route, mais cette fois-ci c'était différent, elle venait d'être témoin de quelque chose qu'elle n'aurait jamais dû voir Beste, prise de peur, se retourna et se mit à courir, essayant d'échapper à cet homme, à ce criminel, à ce chasseur.... Non à cette bête, qui venait d'exécuter de sang froid un pauvre homme Elle courrait en essayant de crié mais pour une raison qu'elle ignore, aucun son ne sortait de sa bouche. Elle ne voulais pas se retourner, de peur que par malheure, son regard croise le sien Mais alors qu'elle était sur le point de sortir des bois, une main l'attrapa violemment le bras et la fut tiré en arrière, ce qui la fut perdre l'équilibre et la fut tombé par terre. Beste : non! Non pas moi, non! Se mit elle à pleuré, de peur d'être la prochaine à mourir dans ces bois Beste: ne me tuez pas, pas moi, par pitié Il l'attrapa de nouveau le bras et le fut levé, puis il se mit à la tiré, l'eloignant peut à peut du grand air Beste: que ce que vous faites ? Non arrêté Un moment il s'arrête et lui lâcha le bras. Beste était tout effrayé, jamais de sa vie, elle avait eu cette immense impression qu'elle allait mourir " Beste: cet homme vas me tué, il vas le faire. Que quelqu'un vienne me sauvé, mais qui pourrait le faire ? puisqu'il est à la fois mon assassin et mon sauveur " Erkan lui avait épargné une fois, mais il avait pour coutume de ne jamais laisser de témoin lorsqu'il faisait un travail..... Beste était un témoin, un danger, elle devait mourir.
Lecture gratuite pour les nouveaux utilisateurs
Scanner pour télécharger l’application
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Écrivain
  • chap_listCatalogue
  • likeAJOUTER