Le laisser s'en aller aussi facilement, hors de question. Même si ce n'est rien de bien grave, je veux le marquer. Je l'appelle et il s’arrête.
Je m’approche de lui en lui souriant de toutes mes dents. Dès qu’il est assez proche de moi, je l’embrasse sur les lèvres en les mordants très violemment avant de lui faire un sourire que je veux être pervers. En me retournant pour partir, il me donne une tape sur les fesses. Je jure sur ma vie que c’est la dernière fois qu’il pose sa main sur moi, sur mon corps qu’il a déformé avec ces viols répétés et ces coups de poings. Je connais la maison comme ma poche et je sais qu’il y a deux passages secrets pour sortir de cette maison, mais je ne sais lequel prendre pour ne pas me faire prendre par les gardes que mon mari a posté dans toute la maison
