Chapitre 4-1

770 Mots
4 Yulia L’esprit tourmenté je m’assieds au bord du lit et je regarde Lucas se déshabiller. Il enlève d’abord son pull, révélant un tee-shirt qui moule sa poitrine musclée. Ensuite, il enlève ses chaussures et fait descendre son jean et son slip noir. Ses jambes sont aussi puissantes qu’elles semblaient à travers ses vêtements, très musclées et aussi bronzées que son visage. Sa verge qui est de nouveau en érection jaillit d’un nid de poils blond foncé à l’entrejambe et quand il enlève son tee-shirt je vois les abdominaux bien définis de son buste athlétique. Lucas Kent a un corps de sportif, un beau corps d’une force implacable. En le regardant, je m’aperçois que j’ai bizarrement envie de le toucher. Pas pour lui faire plaisir ni parce qu’il s’y attend, mais parce que j’en ai le désir. Je veux savoir quelle sensation me donneront ses muscles quand le bout de mes doigts se posera sur eux, si sa peau bronzée est douce ou pas. Je veux lui lécher le cou, passer ma langue dans le creux qui se trouve au-dessus de sa clavicule, et découvrir le goût de sa peau brûlante. C’est absurde, mais j’ai envie de lui. J’ai envie de lui bien qu’il m’ait fait mal en me baisant sans ménagement, bien qu’il ne soit qu’un contrat et rien de plus. Il enlève son jean et son slip et les écarte puis il vient vers moi. Je ne bouge pas à son approche. Je retiens même mon souffle. Quand il est près de moi, il s’arrête et s’accroupit. ― Couche-toi ! murmure-t-il tout en m’attrapant par les mollets. Et avant même de me donner le temps de comprendre ce qu’il fait, il m’attire vers lui et ne s’arrête que quand mon derrière est en partie en dehors du matelas. ― Qu’est-ce que tu… je commence à dire, mais il fait comme s’il n'entendait rien, et il me rabat d’une main sur le matelas. Je retombe sur le dos, le cœur battant à se rompre, et alors je le sens. Son souffle chaud sur mon sexe quand il m’ouvre les cuisses. Ma respiration s’accélère encore, la température de mon corps monte quand il embrasse mes plis fermés, ses lèvres sont délicates. Il appuie à peine sur mon c******s, mais les orgasmes de tout à l’heure l’ont rendu si sensible que même en m’effleurant il fait vibrer mes nerfs. J’en perds le souffle, je me cambre vers lui et il a un petit rire dont les vibrations graves et masculines me pénètrent la chair, intensifiant encore le désir douloureux que je ressens. ― Lucas, attends ! Ma voix est haletante, le désir qu’il provoque me donne la panique. Le plafond devient flou sous mes yeux. Attends, ne fais pas… Une fois de plus, il ne m’écoute pas, sa langue caresse ma fente et se glisse dans mon ouverture. Quand il commence à me b****r avec, j’oublie ce que j’allais lui dire. J’oublie tout. Mes yeux se ferment et tout autour de moi le monde s’évanouit, il n’y a plus que l’obscurité et sa langue qui va et vient dans mon intimité trempée. Mon ardeur est incandescente, ma chair si gonflée et si sensible que sa langue me semble aussi grosse que sa verge. Mais elle est plus douce, plus souple et quand il remonte plus haut vers mon c******s, je me raidis, j’ai l’impression d’être une corde qui se tend de plus en plus. ― Lucas, je t’en prie… Ces paroles m’échappent, c’est une prière et un gémissement. Je ne sais ce que je lui demande, mais lui, il a l’air de le comprendre parce qu’il ferme les lèvres autour de mon c******s et commence à le s***r. Légèrement, doucement, avec les lèvres tandis que sa langue me caresse par en dessous. Et ça suffit. Mieux que ça, mes doigts de pied se recroquevillent, la tension s’accumule dans mon sexe en vibrant, je me cambre de plus belle et je jouis en étouffant un cri, l’o*****e me foudroie avec une violence inouïe. Chaque fibre de mon corps est atteinte par la vibration du plaisir que je viens d’atteindre et mon cœur s’emballe dans ma poitrine. Avant même de me donner le temps de me remettre, il me retourne sur le ventre et m'installe au bord du lit. Alors j’entends s’ouvrir un autre sachet d’aluminium et une seconde plus tard il plonge en moi, sa grosse verge me pénètre et m’étire une fois de plus. J’ai le souffle coupé, mes mains s’agrippent aux draps tandis qu’il me pilonne violemment sur un rythme rapide, me martelant si fort que cela devrait me faire mal, mais mon corps est désormais au-delà de la souffrance. Je ne sens que mon désir. Il m’a submergé et je me grise des sensations qu’il me donne. Tandis qu’il va et vient, il coince mon sexe au bord du matelas et me caresse le c******s sur un tel rythme que j’explose une fois de plus en criant son nom. Mais il ne s’arrête toujours pas. Il continue à me b****r, ses doigts s’enfonçant dans mes hanches, il continue à aller, et venir, sans s’arrêter.
Lecture gratuite pour les nouveaux utilisateurs
Scanner pour télécharger l’application
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Écrivain
  • chap_listCatalogue
  • likeAJOUTER