DEUXIÈME PARTIE - À combien l’amour revient aux vieillards-13

3071 Mots

– Je n’ai pas besoin, dit le médecin de la Mairie, de ces messieurs pour faire mon métier… – Ah ! bon, pensa Corentin. – Ne nous heurtons pas, monsieur, reprit Corentin. En deux mots, voici mon opinion. Ceux qui viennent de tuer le père ont aussi déshonoré la fille. Au jour, Lydie avait fini par succomber à sa fatigue ; elle dormait quand l’illustre chirurgien et le jeune médecin arrivèrent. Le médecin chargé de constater les décès avait alors ouvert Peyrade et cherchait les causes de la mort. – En attendant que l’on éveille la malade, dit Corentin aux deux célèbres docteurs, voudriez-vous aider un de vos confrères dans une constatation qui certainement aura de l’intérêt pour vous, et votre avis ne sera pas de trop au procès-verbal. – Votre parent est mort d’apoplexie, dit le médecin,

Lecture gratuite pour les nouveaux utilisateurs
Scanner pour télécharger l’application
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Écrivain
  • chap_listCatalogue
  • likeAJOUTER