Critique touchant le cas de l’Hébreu JosephQuand je lis ce passage de l’ÉcritureQui raconte le cas de l’Hébreu Joseph,Lequel ne voulut pas, même du bout du doigt,Toucher la nature à cette femme ;Qu’il n’eût pas de cas, j’en ai peur,Car il ne se peut faire que ce JuifFut assez coïon, assez stupidePour ne pas l’enfiler à l’instant tout droit.Mais l’Écriture, qu’elle me le pardonneSi je n’en crois rien, encore bien qu’il y aitGens qui sur ces grosses foutaises se règlent.À une femme qui vous en prie et qu’on ne paie pas,Non seulement par où elle pisse,Mais par où elle chie, moi, je le lui mets.


