ÉPILOGUELes quatre voyageurs prirent place dans un canot et Halifax, qui les accompagnait, leur montra dans le brouillard un rivage où luisaient quelques maisons peintes à la chaux. — Voici, dit-il, un poste européen : des Portugais, je crois. Vous trouverez là une hospitalité suffisante et tous les renseignements nécessaires pour votre route. Le canot aborda au pied de rochers que longeait un banc de sable. Halifax descendit à terre ; puis, clignant de son œil unique, comme s’il s’agissait d’une excellente plaisanterie : — Bon voyage ! cria-t-il à ses anciens passagers. Et il sauta dans la barque, qui s’éloigna à force de rames. Inquiets, Helven et Leminhac prirent les devants et s’en furent frapper à une des maisons. L’aspect crasseux et débonnaire d’un douanier portugais les rassur
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