Chapitre 1

1661 Mots
Bigué était sur la route depuis un moment pour avoir un taxi. Mais la plupart des taxis ne voulaient pas aller dans son zone sûrement à cause des embouteillages. Elle a essayé de faire de l'auto-stop mais personne ne s'arrêtait. Elle était entrain de perdre espoir quand une voiture s'est arrêté. Elle n'y croyait pas , elle s'est avancé vers lui pour lui parler et par chance le gars passait par son quartier - merci de m'avoir pris. Sinon j'allais acheter un pyjama et passer la nuit ici. - c'est un plaisir d'emmener une si jolie fille. Ça me dérange pas de te déposer jusqu'à chez-toi. Tu t'appelles comment ? - bigué. - tu es jolie mais ton prénom est trop moche...dit le gars avec un sourire charmeur. - tu peux me rebaptiser et me donner un prénom qui te plaît...dit-elle en suçant son doigt. - je vais y penser pour le moment je vais juste t'appeler belle inconnue. - le mot belle y est alors ça me va. Et toi tu t'appelles comment? - appelles moi bel inconnu. Suis un bel inconnu. - je dirais que vous êtes un Dieu. - houla elle blasphéme déjà. Elle va faire quoi quand je lui aurais montré mes talents? - elle tombera raide dingue je crois. Tout en parlant, elle faisait tout pour montrer ses jolies jambes qui ne sont pas passé inaperçu au bel inconnu qui n'arrêtait pas de la regarder. Et le fait qu'elle suçait son doigt augmentait son désir et c'était un ouf de soulagement quand il s'est garé devant l'immeuble de la jeune fille. - dis moi tu es célibataire ? Demande bigué. - je suis tout ce que tu veux que je sois. - hum alors tu veux entrer ? - pourquoi pas? Il a alors souri et quand bigué est sorti il l'a rejoint. Quand ils sont entrés dans l'appartement bigué n'a pas attendu trop de temps pour se jeter dans ses bras. - alors tu me montre tes talents de Dieu ? Demande-t-elle en enlevant son soutif. Le bel inconnu s'est levé et s'est approché d'elle. Il l'a tenu par la taille et a capturé sa bouche. C'était tellement intense qu'ils se sont retrouvé par terre et ont renversé tout ce qui se trouvait sur leur passage.Ils s'embrassaient comme des bêtes assoiffés. Il a abandonné sa bouche pour se concentrer sur sa poitrine généreuse. il suçait ses seins puis mordait légèrement comme pour augmenter son désir. Bigué gémissait en lui disant de continuer. Il l'a laissé sur sa faim puis avec sa jambe il a écarté ses jambes puis a introduit sa main dans son entrejambe. - je vois que tu brûles de désirs ici...dit-il. - sautons les préliminaires s'il te plaît. - ce ne sera plus fun alors. Il a alors juste mis deux doigts pour lui arracher des gémissements mais apparemment ça ne lui suffisait pas. Il voulait faire monter son désir. Il a encore ajouté un autre doigt et bigué roulait des yeux et son envie de le recevoir était sûrement au summum. Elle a reçu la torture pendant un moment avant de recevoir son membre au plus profond d'elle. Elle gémissait jusqu'à l'hoquetement puis verbalisait son désir sans honte. Elle avait l'air d'aimer le sexe sauvage et c'est ce qu'elle a reçu jusqu'à l'épuisement. - ouah tu m'as démolis...dit-elle en dessinant des traits imaginaires sur son corps - tu as eu ton Dieu. Tu es satisfaite ? - tu ne peux même pas savoir comment. Je sens toujours des picotements au plus profond de moi. J'en redemanderai encore et encore et encore - mais bon il faut que je rentre. - tu ne restes pas? Tu es attendu quelque part? - oui. Il s'est levé et s'est habillé. Bigué qui était toujours couché sur le sol nue, se touchait les seins en simulant des cris puis elle a dirigé sa main vers son entrejambe et elle criait de plus forts. - tu es sûr que tu veux rentrer. Elle gémissait de plus belle en se mordillant les lèvres. - tu es une.. - g***e oui je sais. Et j'en veux encore. Elle a écarté ses jambes pour laisser voir son sexe gonflé de désirs. C'était trop pour lui alors il a enlevé son pantalon de nouveau et l'a rejoint. - OH MON DIEU..CRIT-ELLE - c'est juste moi ma belle. Tu l'as réclamé alors assumé. À chaque coup de reins il lui faisait sortir un cri qui pouvait réveiller tout l'immeuble. Cette fois ci il l'a laissé complètement lasse ne pouvant plus bouger. Il a reporté ses habits et a pris ses affaires. - Moi c'est mountaga Sall adios petite g***e. - hey on va se revoir? - non ma belle. Sur ce il est parti laissant bigué reprendre ses esprits. Elle avait l'impression d'avoir vécu un rêve hérotique. Tout ce qui lui rappelait la visite de ce cher inconnu c'est juste son entrejambe en feu et son salon désordonné. Arrivé devant sa porte mountaga a inspecté ses habits pour voir si tout était impeccable avant d'ouvrir la porte. Ses deux fils ahmadou et oumar étaient entrain de jouer. Il a trouvé la bonne dans la cuisine et a deviné que sa femme était dans la chambre et au moment où il entrait sa femme sortait de la salle de bain juste avec une petite serviette. - salut mon bébé...dit-il en s'avançant vers lui. Il lui a donné un bisou sur le cou. - je suis en retard je sais. - c'est toi qui le dis. Elle s'est décalé pour s'assoir devant la coiffeuse. - tu es très belle. - mountaga qu'est-ce qu'il y'a? - quoi je n'ai pas le droit de te dire que tu es belle? A chaque fois qu'il trompait sa femme quand il revenait à la maison il regrettait. Sa femme était toujours celle qu'il avait épousé, belle et fraîche mais ça lui plaisait de se taper des inconnues . C'était juste pour le sexe, il était toujours amoureux de sa femme. Il s'est déshabillé et est entré dans la salle de bain. Depuis qu'il avait des plans culs il n'avait jamais couché aussi facilement et cette fille était fugueuse et sauvage et ça lui plaisait. Il avait presque envie de la revoir. Mais il ne couchait jamais deux fois avec la même fille. Après sa douche il est allé rejoindre ses enfants en bas. Marieme après avoir fini de s'habiller a ramassé les habits de son mari qui était posé sur le lit. Un parfum lui titillait les narines et c'était pas le même que celui qu'elle avait senti il y'a une semaine. elle avait des soupçons sur l'infidélité de son mari mais elle ne disait rien voulant d'abord avoir des preuves qu'il ne pourrait pas nier. Elle l'a retrouvé entrain de parler avec les garçons. Elle est entré dans la cuisine pour vérifier le dîner. Apres ça elle s'est installé devant la télé et son fils est venu la retrouver. - cava mon amour? Dit-elle en le posant sur ses jambes. Son fils venait d'avoir 3 ans ce qui lui rappelait 3 ans auprès de mountaga. Dans l'ensemble il était un mari merveilleux, il était là pour ses enfants pour sa femme. Personne ne manquait de rien mais récemment il avait commencé à avoir des écarts et marieme l'avait rremarqué. Elle était une femme que rêverait tout homme, elle est jolie , élégante, elle assurait au lit et s'occupait même de son fils qu'il avait d'un autre mariage. Mais vu le passé de mountaga elle devait savoir que c'était un coureur de jupon. Mountaga fixait sa femme et il regrettait encore plus de l'avoir trompé. Pour se rassurer et atténuer sa bêtise il se disait que c'était juste le sexe. Apres un diner en famille ils ont regardé la télé ensemble jusqu'à ce que les enfants s'endorment. Marieme s'est alors levé pour les emmener se coucher mais oumar était trop lourd pour elle. - je vais le prendre...dit Mountaga en se levant . Marieme l'a laissé faire et a pris son fils. Elle est allé en première et a fait coucher Ahmadou sur son lit. Juste après mountaga est entré pour déposer aussi son fils sur son lit. Marieme est allé directement dans la chambre tandis que mountaga est retourné auprès de la télé. Mais il n'a pas duré, il a rejoint marieme. Cette dernière était déjà au lit téléphone à la main. Quand il l'a rejoint, il tentait quelque chose mais marieme n'a pas répondu, elle était concentré sur son téléphone. - marieme cava? Depuis que je suis rentré tu as l'air bizarre. - tout va bien. - j'en suis pas sûre. Tu es moins bavarde. C'est parce que je suis resté tard? Tu sais les embouteillages .. - parce que je suis bavarde ? - je voulais dire que, arrête tu as compris. Quelque chose ne va pas visiblement alors dis moi? Elle s'est retourné pour se mettre en face de lui avec un sourire forcé. - tout va bien mon amour je suis juste fatigué avec le boulot et les enfants. - tu veux que j'emmène oumar à sala? - non oumar vit avec nous s'il doit aller chez sa mère ce n'est pas pour toujours. - demain je vais appeler sala et si elle est ok je lui emmène son fils pour quelques jours et moi je m'occuperais de ahmadou, tu vas te reposer durant le week-end et le lundi tu seras en forme. - d'accord bonne nuit. - bonne nuit. Je t'aime. Il espérait un bisou ou plus mais marieme s'est tourné de l'autre côté et a déposé son téléphone. Mountaga a alors éteint la lampe de chevet. Dès qu'il a fermé les yeux, il revoyait cette bigué. Cette fille prenait plus de place qu'il l'avait cru alors qu'il venait juste de la rencontrer. Il s'est couché avec le souvenir de cet b***e intense. Qu'il avait envie de refaire encore et encore.
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