– Voyons, qu’en penses-tu ? Mais celle-ci ne disait plus rien, fermait lentement les paupières, éteignant l’éclat de ses yeux. – C’est vrai, reprit la mère, souriante à son tour, j’oublie que tu veux me laisser maîtresse absolue… Mais je sais combien tu es brave et tout ce que tu espères… Et, s’adressant à Saccard : – Ah ! monsieur, on parle de vous avec tant d’éloges !… Nous ne pouvons aller nulle part, sans qu’on nous raconte des choses très belles, très touchantes. Ce n’est pas seulement la princesse d’Orviedo, ce sont toutes mes amies qui sont enthousiastes de votre œuvre. Beaucoup me jalousent d’être de vos premières actionnaires, et si on les écoutait, on vendrait jusqu’à ses matelas, pour prendre de vos actions. Elle plaisantait doucement. – Je les trouve même un peu folles, o


