Le calme fut revenu dès le lendemain au bureau. Après avoir transmis les différentes études demandées par Mr Corzier, se fut un long silence. Nous avons onc tous repris notre travail comme si rien n’avait changé. Jusqu’à ce que je reçois cet email de notre PDG. Je fus plus qu’heureuse de cette nouvelle mais rapidement un gout amer me vint. J’avais la méchante impression de me faire éloigner du projet.
Mr Corzier,
Je suis heureuse de cette bonne nouvelle. J’espère de tous cœur que vous penserez à conserver l’esprit particulier de ce lieu. Je suis impatiente de pouvoir annoncer la nouvelle à toutes les équipes de Dorion. J’attendrais votre accord pour transmettre l’information. Je vous remercie pour votre écoute et également pour l’attention que vous portez à notre maison.
La réponse ne se fit pas attendre. Moins d’un quart d’heure plus tard, je fus contacté par le principal concerné.
-Mlle Lyne, je suis navré de vous déranger dans votre travail.
-Vous êtes mon patron, si vous me contacté au bureau c’est très certainement pour le travail. Je me trompe ?
-Non effectivement. C’est suite à votre email. Vous ne souhaitez pas continuer à travailler sur le projet ?
-Comment ça ? Bien sûr que si.
-C’est l’impression que vous m’avez donné à travers cet email.
-Et vous alors ? J’ai eu la désagréable impression d’être poussé du projet. C’est pour cette raison que je vous ai répondu de cette manière.
-Vous avez vraiment cru que je vous retirais du projet ? bien au contraire … vous … vous êtes une très bonne cheffe d’équipe mais aussi d’entreprise. Vous méritez de porter ce projet jusqu’à son terme.
-Vous attendiez quel genre de réponse alors ?
-Je n’attendais pas de réponse particulière en vérité. Je souhaitais simplement vous tenir informé de l’avancée du projet pour que vous ne soyez par surprise quand je demanderais votre avis sur les plan qui nous serons bientôt proposé.
-Oh, simplement … je me suis donc méprise … je vous présente mes excuses. Vous avez cette réputation du patron qui prend et qui fais comme il le décide sans l’avis des autres.
-Ah …
Il eue un long silence. Je me rends compte de ce que je viens de dire mais trop tard …
-J’ignorais que les gens me pensais aussi égoïste. Je savais qu’on disait de moi que je ressemblais à un rapace dans les affaires …
-C’est simplement ce que moi j’ai ressenti en voyant votre carrière et en écoutant bruit de couloir. Je suis désolé de la manière dont je me suis exprimé.
-C’était spontané, je ne peux vous en vouloir. En tous cas, je vous recontacte lorsque j’aurais les retours de l’architecte.
-Très bien, par contre, je suis en congés pour 10 jours.
-Oui, pas à partir de cette semaine mais jeudi de la suivante. Je serais également absent pour quelques jours ne vous inquiétez pas, c’est bien noté. Je ne vous retard pas plus. Bonne journée à vous Lila.
-Vous aussi Mr Corzier.
Je n’aurais jamais pensée pouvoir discuter avec lui aussi librement. J’ai donné tellement d’énergie dans mon travail, dans cette maison d’édition, qu’aujourd’hui, mon travail semble enfin payer. Je suis fière de ce que je fais et avec Mr Corzier, j’ai l’impression et je peux faire encore plus et encore mieux.
Durant tous le reste de la semaines, je n’ai pas pus m’empécher d’être de bonne humeur. Ma fille va bien, mon travail se passe bien, il fait beau et en plus je vais revoir bientôt mais parents. Cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti autant de positif dans ma vie.
***
Comme convenu le lundi matin, Mr Corzier m’informa que son architecte avait bien travaillé que des premiers plans étaient disponibles. Je le soupçonne d’avoir réclamé de premier résultat avant son absence fin de semaine. En outre, il me proposa de passer voir les plans sur place dans la semaine. Nous nous sommes mis d’accord pour le jeudi après-midi, 14h sur place.
A ma plus grande surprise, Mr Corzier arriva avec un peu de retard.
-désolé de mon retard une réunion qui s’est éternisé. Alex, j’espère que tu es près parce qu’en moi et Mlle Lyne, tu vas avoir du travail.
-Tu es déjà dificile à satisfaire …
-Ne vous inquiétez pas pour moi, je ne suis la que pour donner mon avis.
-Si vous etes ici, c’est qu’Amant veux votre avis et en tenir compte.
Mr Corzier ne nous pas attendu pour rentrer et commencer à examiner le travail de l’architecte. Au cours de l’après-midi, je compris qu’ils étaient également amis tous les deux mais se n’est pas pour autant que Mr les faisait de cadeau. Et effectivement nous avons eue quelques dificulté a nous m’etre d’accord sur certains points. Mais on peut dire que les différents plan étaient tous très interresant.
Lorsqu’il fut temps que je recupère ma fille nous n’avions pas terminé mais étant donné que je repasser ici, je me suis donc permise de m’éclipser pour y aller. Laurianne semblait contente de faire une petite alte avant de rentrer à la maison. Et encore une fois nous avons finis cette visite tard. Laurianne c’était une nouvelle fois endormie sur mon patron.
Mr Corzier me proposa une nouvelle fois de me racompagner se qu’il fit.
-Ça ne va pas être trop dur pour elle demain ?
-Non, elle n’y va pas demain. Nous partons dans l’après-midi.
-Sans indiscrétion, vous aller où ?
-Chez mes parents, près de Bourge. Mon ancienne école fait ses porte ouvert et faites ses …
-Ses 30 ans ! Vous étiez élèves à l’institut Saint Louis ?
-Oui, j’y étais du primaire au lycée.
-Nous avons dû nous croisé alors. J’ai fais le même parcourt. Si je me souvient bien, nous avons 2 ans d’écart vous et moi.
-Peut-être, j’ignore qu’elle âge vous avez.
-Je vais bientôt avoir 30 ans.
-Effectivement. Je suppose que c’est aussi pour cette raison que vous etes absent jusqu’à mardi.
-Oui c’est bien cela. Je pars demain dans la soirée. Vous allez vous y rendre comment ?
-En taxi, pourquoi ?
-Je pourrais vous emmener. Attention, je ne vous oblige à rien, je ne compte pas en profiter mais se serait plus économique pour vous et moins long pour moi.
-Je ne veux pas profiter de vous de cette manière et puis avec un enfant, faire une longue route comme celle-ci, ce n’est pas si drole.
-Je ne vous oblige à rien mais, je suis près à faire le taxi pour charmante petite princesse comme elle sent problèmes.
Chuchote-t-il, en la déposant sur mon canapé. Je lui prépara rapidement quelques choses à manger avant de la réveiller. Et pas même une demi-heure plus tard, elle c‘était rendormi. Je la déposai dans son lit et retourna dans mon salon où attendais patiement mon patron.
-Vous n’êtes pas sensé etre la chez moi. Vous ne devriez pas être aussi doux et attentionné auprès de ma fille et aussi décontracté avec moi. Vous êtes réputé pour être dur et stict avec vos employés … ce n’est pas bon pour notre travail à chacun.
-Ce n’est pas moi qui vais vous contre dire. Mais j’apprecie ce lien qu’il y a entre nous de façon professionnel mais aussi votre facette en privée. Je ne peux pas le nier mais ce n’est pas cela qui me pousse se soir à vous proposer de faire la route ensemble demain. Pas de question personnel ou professionnel, seul les besoin de Laurianne durant la route et de la musique. Rien d’autre. Ce n’est de cette manière que mon père m’a appris à flirter avec une femme.
-Parce que vous l’avez attendu pour essayer ?
-Pour draguer une fille non mais il m’a toujours dis que la manière dont on obtient quelques choses défini son importance. Et c’est de cette manière qu’on différencie une fille et une femme.
- Quel belle parole. Qu’est-ce que vous attendez de moi alors ? Que je me laisse conquérir comme un trophée ?
-Quel idée … Non je n’attends rien de vous. Je ne sais pas moi-même où je vais.
-Je pense simplement que l’on devrait garder cette entente professionnelle et en reparler dans plusieurs mois par exemple.
-Et vous ?
Je relevai mon regard pour croiser le sien ne comprenant pas sa question.
-Vos sentiments.
-Et bien j’apprécie la personne que vous êtes. Vous êtes une personne de pragmatique, rationnel, patient en fonction de la situation. Et malgré l’absence d’expérience avec les enfants, vous êtes à l’aise avec ma fille. Mais je ne sais pas vraiment ce que cela signifie pour moi de plus vous êtes mon supérieur.
Il me fit un petit sourire avant de rapprocher de l’entrée de l’appartement.
-Alors faisons comme cela. Demain, je vous emmène toute les deux. Pour ce qui est du reste, n’insistons pas. Continuons de vivre comme nous l’avons fait durant ces dernières semaines. Si vous ressentez l’envie d’aller plus loin, dites le moi et nous verrons. Qu’en pensez-vous ?
-Demain, il me semble que vous travaillez …
-Le matin. Ce qui signifie que je peux vous prendre demain après-midi.
-Il est vrai que ce serait beaucoup plus simple pour moi …