- non. Mais pour qui tu te prends ? je ne t’ai rien demander de tel, tu m’as vue à peine trois fois, et déjà, tu crois me connaître, n’ose pas prétendre savoir mieux que moi ce qui est bien ou pas pour moi. Je suis venue, car je pensais que tu méritais une explication, mais on dirait que je me suis trompé, je n’aurais pas dû, tu ne le connais pas, mais tu le présentes comme quelqu’un qui pourrait me faire subir les pires atrocités qui soit - je ne le connais pas, toi si ? Tu crois le connaître - je le connais mieux que toi. Et au risque de me répéter, tu ne me connais pas, garde ton coté justicier pour ceux qui en ont besoin, car ce n’est pas mon cas, je n’ai pas besoin de toi. Alors écoute-moi très bien cher monsieur le défenseur de la veuve et de l’orphelin qui veut me libérer du joug


