Des balles et des balles. Au milieu de cette cohue, des cris atroces et stridents. Un cri très aiguë en particulier attire mon attention. C’est la petite!! p****n mais tout se mélange trop vite actuellement. Tout va beaucoup trop vite!! La respiration saccadée d’Antonio. Des bruits écœurants et renversants d’articulations humaines qui se déboîtent. Et je tourne la tête pour constater que ça vient de l’homme que Lino tenait depuis en joug. Maintenant au bruit sourd qui s’écrase au sol, je sais que son corps est à présent inerte et mort. Lino vient certainement de lui briser le cou. À mains nues. J’ai le souffle coupé et ça me tétanise. J’ai d’abord un mouvement de recule lorsque je sens que mon bras est empoigné par quelqu’un, mon sang commence à pomper anormalement trop vite. Je n’ai aucun
