Épisode 6

1132 Mots
? Les yeux bleus ? Épisode 6. Une fois rentrés... - Nous sommes de retour (Albin). - Ah ! Bonne arrivée. (Alliah). Je constate que de votre côté ça a été cool aussi...? - En effet. Grâce à Clarkson. Il m'a vraiment soutenu jusqu'au bout (Albin). - De notre côté aussi ce fut grâce à Alphonsius si nous nous en sommes sortis indemnes. (Alliah). - À comprendre que ces deux là nous portent chance (Déclare Mecbour). - C'est le cas. Ils sont nos chances. (Alliah). N'es ce pas Albin ? - C'est bien le cas. J'en conviens.  - Génial ! Alors ils sont officiellement des nôtres (S'écria t'elle). Ils passèrent à table puis en suite, chacun retourna à ses affaires. Clarkson et Alphonsius se retrouvèrent pour discuter... - Comment les trouves tu ? (Clarkson, à son frère, assis sur les marchés d'escaliers tandis que lui debout dans les gazons). - Pour être franc...pas mal. Ils ont un bon fond. - Je vois. (Dit-il en regardant le ciel étoilé). - Et toi ? Comment les trouves tu ? - Eh bien, je trouve qu'ils font de leur mieux pour que nous nous sentons à l'aise. Toutefois, je sais que je ne suis encore habitué à eux. Ça viendra avec le temps...mais pour l'instant, je vis paisiblement et étant toujours sur mes gardes. Tant que quelque chose ne sera pas déclenché, je ne pourrai baisser ma garde avec eux. Pas pour le moment en tout cas. - Sais-tu que j'aurai put dire exactement ces choses que tu as dites ? (Alphonsius). - Je le sais bien. Je l'ai dit pour nous deux. - Je vois...d'accord dans ce cas. - Bien... - Mais sinon, et nos affaires laissées au motel ?  - Nous irons les chercher demain matin. Ne t'en fais pas.  - Bien. D'accord. Le lendemain matin les deux frères se réveillèrent de bonne heure puis se dirigèrent tous deux vers la sortie de la maison. Albin qui passait par là, les vit.  - Vous allez où ? - Chercher nos affaires au motel qu'on avait loué. Ne pas nous revoir rentrer éveillerait des inquiétudes. (Clarkson). - Ah. D'accord. Nous vous attendons pour le dîner. - D'accord c'est compris. Et les deux frères s'en allèrent ensemble. Une fois au motel ils se mirent à ramasser leurs affaires et à tout ranger. Ils n'avaient rien sorti d'extra alors le rangement ne prit qu'un instant. Ensuite embarquer dans leur voiture, payer le gérant du motel, puis s'en aller pour la maison qui les avait recueilli...celle Tor. En chemin... - Dis...tu crois que père aurait aimé qu'on travaille avec des gens comme eux ? - Comment ? - Je veux dire...on dort chez eux et on se lève un beau matin et puis on nous dit de les suivre et de les aider dans leurs affaires. Sais-tu ce qu'ils ont eu à échanger avec ces personnes là ? - Je croyais que tu le savais ? Vu que c'est toi qui a été avec eux...de mon côté je sais ce que nous étions allés chercher Albin et moi. - Quoi donc ? - Les yeux de son père.  - ... - Écoute, je comprends que tu sois sur tes gardes, mais essaye au moins de tr détendre car sans te mentir, tu mettrais n'importe qui mal à l'aise... - Hum... Et s'il s'agissait de dealers ? - Ton intuition serait la première informée...Al... - ... Alphonsius n'était pas à l'aise dans la maison de Tor. Il ne voulait pas le dire clairement alors il essaya de tourner autour du pot afin que son aîné remarque et comprenne mais celà ne semblait pas marcher. Pourquoi ? Pour la seule raison que Clarkson déteste qu'on tourne autour du pot.  - Dis, tu le fais exprès je suppose...(Alphonsius). - Je dirais la même chose de toi dis-donc...t'as quelque chose, tu ne le dis pas clairement et tu t'attends à ce que je devine ! T'es pas une gonzesse mon frère ! T'es mon frère ! T'es mon sang bon sang ! Si t'as quelque chose dis le clairement et qu'on règle le problème. Si t'as pas envie de rester dormir chez eux, t'as qu'à me le faire savoir clairement.  - Humph... - Et tu attends qu'on finisse de ramasser nos affaires du motel pour en parler. Maintenant on n'a pas le choix. Avec nos affaires sur le dos, on n'a nul part où aller de fiable.  - ... - Dis moi Al, qu'as tu ? - Eh bien...je ne me sens pas bien avec eux.  - Et pourquoi donc ? - Je ne sais pas trop, mais ils ne dégagent pas une bonne aura. - Sais-tu qu'on a déjà eu affaire à des gens comme ça ? - Peut-être, mais ces gens là ne savaient pas qui nous étions pour nous faire quoique ce soit. Mais là c'est différent...ils savent qui nous sommes et quels pouvoirs nous possédons. Il arrêta le véhicule. - T'es toujours vivant après avoir passé deux jours chez eux ? Si c'est le cas, alors il n'y a pas de soucis à se faire. Mais si par exemple leur aura te gêne autant, et que quelque chose selon toi cloche, vraiment, réellement, non seulement ton intuition t'aurait montré ce qui se passait en songe, et moi ma pré-vision aurait dit ce qu'il se trame derrière nous. Comprends tu ça ? - Ouais...(Calme). - Et si par malheur tu leur as déjà montré tout ce que tu savais faire, c'est mort pour toi. Et tu le sais. Alphonsius ne dis plus rien et ils continuèrent leur chemin pour se rendre chez Tor. Une fois là-bas, ce fut Alliah qui les accueille. - Salut ! Ça va ? Vous étiez sortis ? Clarkson : Nous étions allés récupérer nos affaires. - Ah je vois. Et qu'es ce qu'il a ton frère ? Alphonsius s'était dirigé tout droit dans ses locaux dès qu'ils sont rentrés. - Je crois qu'il a besoin de rester un peu seul. Ça va lui passer. Ne vous en faites pas.  - Ah...d'accord (Alliah).  Après avoir rangé leurs affaires... Alliah, dans la chambre de Clarkson : Il est toujours comme ça ? (Parlant d'Alphonsius). - Eh bien...avoir été trahis à maintes reprises par des inconnus, bah...tu comprends... - Ah...je comprends...Mais nous, nous ne sommes de ces gens là. Si nous voulions vous faire du mal il y a longtemps qu'on l'aurait fait. - D'accord, je ne refuse. Mais j'aimerais savoir pour de vrai ce qu'on fait ici et pour quoi en fait... Albin se présenta en disant : Suis-moi Clarkson... Un petit silence, il regarda droit dans les yeux Alliah puis, suivit Albin qui continua son chemin et lui, le suivant. Ils se retrouvèrent sur le toit de la maison. Une petite discussion allait s'engager.
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