Épisode 1

1247 Mots
? Les yeux bleus ? Épisode 1. Alphonsius : Crois-tu que ce mec soit digne de confiance ? Clarkson : Je ne le connais peut-être pas mais je n'ai pas senti d'hostilité en lui, ni de négativité malgré que sa paire d'yeux soit de couleur rouge. En d'autres termes, mon contraire...et de surcroît j'ai l'impression qu'il a besoin d'aide. Alphonsius : Et il t'a dit où le trouver ? Clarkson : Il m'avait dit hier nuit qu'il me ferait signe d'une quelconque manière et que lorsque je verrai le signe je saurai que ça vient de lui. Alphonsius : Tu crois que ça soit normal de prendre autant de précaution ? Il fait ça pour quoi à ton avis ? Clarkson : Je n'en sais rien. Et je ne veux pas le savoir. Mais ce que je sais c'est que ça doit être pour une bonne raison. Et en plus, si je devais me poser des questions comme ça à chaque fois que quelque chose d'anormal ou d'extraordinaire m'arrive je sens que je serai tout simplement devenu un pur peureux. Alphonsius : Ça s'appelle de la prudence. Clarkson : De la méfiance oui.   L'autre : Humfff (Soupire). Clarkson : Écoute, je ne t'ai pas demandé de me suivre et tu n'es pas obligé de toutes les façons. Alors sache que tout ce que je te demande c'est d'arrêter d'être si septique car celà est contre l'aura des Al. Merci. La peur, ça ne fait parti de notre être. Alphonsius soupire une seconde fois puis dit : Hummff...je suppose que je n'ai pas le choix...je te suivrai quoiqu'il arrive et ne pense pas que ce soit une négociation. Clarkson : Bon, d'accord. Mais n'imagine pas que ce soit un voyage de vacances.  Alphonsius : J'suis pas c*n. Merci. Clarkson : Hum hum hum. On y va.  Alors ils se mirent en route. En chemin... Alphonsius : Dis, comment sais tu où l'on doit on aller ? Clarkson : Je crois qu'il m'a communiqué l'adresse de chez lui par la pensée. Le fait de s'être regardé dans les yeux hier aide à ça facilement. Alphonsius : Ça fou la trouille ton histoire. Mais pour que quelqu'un use de la télépathie pour communiquer avec toi à distance c'est qu'il possède une très grande puissance et une forte maîtrise de son aura psychique.  Clarkson : En effet...je me demande bien à qui l'on a affaire... Ils roulaient d'une ville à une autre. Clarkson était orphelin, tout comme Alphonsius mais ils arrivaient à se débrouiller et à s'en sortir. Étant tous les deux majeurs, ils avaient le droit de faire et d'aller où ils le voulaient. Ce n'était que dans l'orphelinat où ils avaient été envoyés qu'ils devinrent amis. Ils s'enfuirent ensemble, vécurent ensemble, puis se firent une place ensemble dans la société en faisant différents jobs afin de leur rapporter assez pour se construire deux maisons voisines, côte à côte. Ils étaient frères, mais de famille différente. Toutefois, comme ils n'avaient pas de famille propre, ils décidèrent de prendre un nom commun qu'ils connaissaient, celui de *Al*. Mais en vérité, Clarkson savait qu'il était issu d'une famille spéciale que la société avait fini par rejeter car ils étaient trop puissants, trop imposant et réussissaient dans tous les domaines et commençaient par prendre le dessus des autorités et faillit même prendre le dessus sur l'État. Ce que bien entendu le gouvernement ne permit pas. Ce fut donc une question d'exile et de destruction de la famille Al, où seul Clarkson resta en vie dans la lignée de la nouvelle génération de ces héros aux grands pouvoirs. Se cachant tout le temps pour échapper à la vue de l'État, Clarkson avait été retrouvé dans une brousse par une bonne sœur dont le cœur fut épris du petit garçon aux yeux bleus qu'elle avait ainsi découvert à moitié mort. L'ayant pris avec elle, elle le recueilli en l'emmena au monastère où il fit la rencontre d'Alphonsius. Les deux enfants étant des enfants spéciaux, finirent par s'entendre et devenir très proches. Mais l'État finit par apprendre par des sources que deux enfants spéciaux vivaient dans le monastère et par conséquent, envoya des hommes les chercher pour en faire des armes. Celà ne devant pas être, la sœur cacha les enfants, et avec l'aide du prêtre de l'église, renvoya les enfants dans la société avec quelques provisions et de quoi s'acheter de la nourriture. Ils durent donc quitter le monastère et débuter une vie de m***e, seuls, sans toit sur leur tête. Toutefois, ils réussirent à s'en sortir et désormais, pouvaient se défendre contre l'État ou même l'armée entière s'il le fallait. Ils étaient invisibles.  Ils étaient donc en route pour l'autre bout du pays où se trouvait le signal psychique que lui envoyait Albin Tor. Celui-ci usait de ses ondes pour communiquer sa position exacte à Clarkson sans avoir besoin d'utiliser son téléphone pour le lui indiquer clairement. Après avoir pénétré la nouvelle ville, nos deux jeunes se demandaient où s'installer pour le séjour lorsqu'ils pensèrent à un motel. Ils prirent donc une chambre et s'y installèrent.  Il fit nuit à nouveau et la lampe de leur salon failli s'éteindre et fit quelque clignotement mais revint à la normale.  C'est alors qu'ils comprirent que leur invité se trouvait dehors. Alors ils descendirent de leur appartement, fermèrent derrière eux et une fois sorti, du balcon, virent celui-ci de loin dans la cour juste en face de leur porte, regardant leur porte du bas.  Une fois descendus,... - Salut Albin. (Clarkson, saluant Albin en lui tendant la main). Lui c'est Alphonsius. C'est mon frère. - Vous avez la même odeur (Dit Albin en serrant la main de l'autre, puis il dit). Bien. Veuillez me suivre. Nous allons nous rendre chez moi pour mieux discuter. - D'accord. Ils s'en allèrent donc ensemble à trois puis entrèrent dans une grosse voiture noire qui les emmenèrent en ville, mais dans une cité portant le nom "Tor".  Albin même répondu lorsque les deux frères remarquèrent son nom de famille sur la plaque indiquant la région où ils venaient d'arriver : Oui je sais à quoi vous pensez. Ma famille possède toute une cité. Ne vous en faites pas. C'est la normale chez nous. Posséder des terres de grandes valeurs... Ils garèrent puis descendirent du véhicule et voilà des chiens qui, reconnaissant leur maître devinrent agités puis fonçèrent sur lui pour le saluer. Une fois fini, ils se mirent à regarder Clarkson d'une manière étonnée et plutôt surprise. Ils ne regardèrent pendant un moment, vinrent renifler sa chaussure et firent de même pour Alphonsius qui resta très calme malgré son envie personnel de les chasser mais, une fois l'inspection des chiens achevés, ceux ci se mirent à secouer la queue afin de jouer.  Mais Albin leur dit : Ne vous inquiétez pas mes jolis. Papa viendra jouer avec vous une fois quelques affaires réglés.  Alors les chiens se calmèrent, les serviteurs vinrent les chercher et les conduire à leur cour puis Albin et ses invités qui s'en allèrent se retrouver dans le premier salon de la maison ou plutôt, du château des Tor. La famille d'Albin y était et... Dans sa tête, à sa vue, Alphonsius ne pût s'empêcher de penser "Seigneur bon Dieu, non mais c'est quoi cette beauté !!?". Albin le regarda d'une manière subtile et assez méfiant mais, il s'agissait d'un véritable regard d'admiration qu'il ne pût empêcher qu'il répondit : En effet, c'est mon œuvre. Le cristal d'albâtre. 
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