Puis soudain je le revis, cet homme qui se cachait derrière cet arbre il y a un instant, cette fois s'il n’était pas cachée mais face à moi, il me regardais droit dans les yeux, il est grand et beau, les yeux bleue et typée oriental, ces cheveux bouclée qui retombais sur ces yeux lui donnais énormément de charme, mais ce n’était pas là le plus gros, je devais me concentrer sur le seul fait qu’il n’as pas à m’observer en cachette, il continue tout de même à me regarder,
Moi : tu veux ma photo
Lui : non merci tu n’es pas un miracle de dieu pour que je puise te demander ta photo
Moi : eh pourquoi alors tu me fixe maintenant depuis plus d’une heure que t’es la derrière l’arbre à me regarder
Lui : je suis désolée de te décevoir mais je fuis juste les condés (la police)
Moi : eh ba désoler de te décevoir aussi je vais tout de suite les prévenir
Je me retourne et les voit effectivement regarder partout et chercher quelque chose ou plutôt quelqu’un le quelqu’un qui se trouve à mes côté, je me retourne et me met à hurler, mais le garçon en question posa sa main sur ma bouche et me colla à lui et me tira vers le mini parc qui se situe à côté de la morgue, mais je me met à pleurer, je fond en larme, je me dégoute, je suis là en train de discuter alors que ma grand-mère elle ne verras plus jamais la lumière du jour, je sens la main de monsieur le fugueur ce retirer de ma bouche et de sa grosse main il me secoue,
Lui : je t’ai fait mal excuse moi je ne voulais pas
Moi : non ne t’inquiète pas mais je dois m’en aller, je ne suis pas ici par plaisir,
Lui : je suis désolée moi aussi ils sont partis je vais m’en allez
Il se lève du gazon ou il m’avait moi aussi éjecter et s’en va sans ce retourner, puis moi, je suis là seule, et je pense, debout face à cet immeuble sombre, noir, répugnant, et triste, plein de tristesse, je pense à ma grand-mère qui hier ce trouvais chez elle et aujourd’hui ce trouve loin de moi, seule son enveloppe corporel est resté encore à nos côté, son esprit et son âme eux ont été emporter, volé loin de nous, loin de moi, loin de mon père, pourquoi, pourquoi elle, ahhh j’ai mal, je ressent mon cœur ce nouer, mon cœur ce tordre et les larmes, les larmes chaudes qui coulent à flot sur mes joue, et le froid, le froid qui me secoue et qui me gifle, je suis là debout sans ne vraiment être là,
Sami : tu fais quoi, Léana il t’arrive quoi, lève-toi du sol, il fait froid,
Je n’écoute pas, je m’étais effondre sans même le remarquer, je repense à son sourire, à elle, et à moi la qui était en train de discuter avec un inconnu aux cheveux bouclée, pardonne moi grand-mère, je t’aime mamie, cette femme au cœur en or, plus jamais je ne la reverrais
Moi : Sami, plus jamais je ne la reverrais
Sami : arrête Léana qu’est ce qui t’arrive
Moi : je prends conscience Sami que plus jamais je ne la reverrais, Sami elle est parti, Sami rien rien, son regard, son sourire, Sami tout à disparu, il ne reste plus rien d’’elle, ils ne nous restent plus rien, et je ne l’ai pas vu,
Sami : arrête Léana c’est la vie, des gens naissent, d’autres meurs
Moi : mais pourquoi elle, pourquoi Sami, elle était ma deuxième mère Sami, tu sais très bien à quel point je l’aimais
Sami : je sais je sais mais on n'y peut rien, ma sœur, je veux que tu te reposes, on va rentrer à la maison de toute façon papa m’as appelé, ils vont rester encore longtemps, tata as du mal
Moi : je veux la voir Sami
Sami : non, tu auras juste encore plus mal, allez viens on y va
Je l’écoute, je sais qu’en la voyant je n’oublierais jamais son visage blanc et froid qui pourrais s’afficher face à moi, je ne veux pas souffrir, je sais que c’est égoïste de ma part, mais j’ai peur, peur de ce que je pourrais garder en souvenir, une image qui resterais graver à vie dans ma tête, je n’ai pas la force de souffrir, je suis égoïste je le sais, mais la douleur de l’avoir perdu est déjà assez insupportable à contenir alors voir son visage pale, et triste alors que je l’ai toujours vu joyeux,
Moi : d’accord on y va
A SUIVRE