Chapitre 1

3326 Mots
CHAPITRE 1 DAKAR Elvira Karine Bachir Être trahir par celui qu'on aime est quelque chose d'inexplicable tu vie avec cette douleur qui est enfouie dans ton cœur tu as l'impression que ta tête va exploser à force de réfléchir comme une folle, tu réfléchis jusqu'à en perdre les neurones. Tu repasses tout ce que vous avez vécus ensemble et tu te demandes où as-tu fauter si ce n'est ce qu'aimer cette personne ? Tu te dis que tu l'as offensé mais comment ? Où ? Et quand ? Parfois tu te lèves d'un bond et dis aujourd'hui c'est décidé je vais le récupérer, je vais récupérer mon homme...mais la réalité te rattrape lorsque tu franchis leur seuil de la porte tu te souviens qu'il t'as rejeté et humilié de la pire des manières. À une période de ma vie je me voyais entrain de dire à ma meilleure amie que je ne vais jamais pleurer pour un homme qui ne me veut plus dans sa vie je ne vais pas perdre mon temps à courir derrière un homme qui ne m'appartient pas car s'il m'appartenait vraiment on serait ensemble. Ça c'était quand j'avais 18 ans je n'avais pas encore connue l'amour, le vrai je me laissait pas distraite par les petites amourettes d'adolescents je n'avais pas ce temps là. Avec Karl ce n'était pas un vrai amour, non je l'aimais mais je n'étais pas amoureuse de lui donc quand il m'a quitté ça ne m'a pas trop affecté j'ai continué ma vie comme je l'entendais en m'occupant de ma grossesse. Mais au cas de Richard je vous le jure que c'est insupportable surtout quand tu imagines qu'il est avec une autre, j'ai le cœur en miettes je l'aime je suis amoureuse de lui même actuellement encore je le dis haut et fort JE SUIS AMOUREUSE de lui. Mais ce chien ma brisé le coeur après m'avoir utilisé, volé mon argent, battu et v***é [snif] je sais que je ne suis pas parfaite mais je ne mérite pas ce qu'il m'a fait sortir avec moi me ruiner pour ensuite te marier avec ma collègue et vivre dans une maison que tu as construit avec MON argent. Nous sommes rentrées hier à 2h du matin après avoir brûlé cette mais je peux vous dire que je suis fière de moi je n'ai commis aucun délit car c'est avec mes sous qu'il a construit cette maison donc on en parle plus. Joyce: (se déshabillant) tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureuse enfin tu te prends en main. Moi: (me déshabillant) Elle: (couché sur le lit) ahh j'imagine déjà la tête qu'il fera lorsqu'il verra sa maison enfin son ex maison. (elle éclate de rire) Moi: Elle:tu dors Karine ? Moi: Elle: Kar.../ Moi: bonne nuit JoJo. Elle:hum bonne nuit. Je n'ai pas envie de parler tout ce que je veux c'est de me changer les idées je ferme les yeux essayant de trouver le sommeil, et il vient quelques minutes plus tard. 16h Je viens de prendre une douche apparemment je viens de me réveiller Liya joue avec la fille de la voisine Joyce est allé au boulot moi je suis toujours en congé de rétablissement. Je vais à la cuisine je trouve une assiette bien garnie je mange sans vraiment avaler je repense à la soirée d'hier je me demande si j'ai bien agit j'ai quand même brûlé sa maison. Une maison qu'il a construit avec TON argent donc ce n'est pas grave me dit ma conscience. Je regarde dans son frigo pour voir quoi cuisiner je ne suis pas bien guéri mais je ne vais non-plus pas m'asseoir pour l'attendre jusqu'à 19h. Je fais une repas rapide car mon poignet me fait déjà mal. Je mets la table Liya vient je lui donne sa douche et j'en fais de même Joyce ne tarde pas à rentrer aussi. Joyce: (s'asseyant à table) je t'avais dit de te reposer Karine. Moi: non t'inquiètes pas c'est juste du riz et de la sauce. Elle: oui mais quand-même. Moi: aller mange. On mange Liya elle mangeait avec appétit c'est sa deuxième nourriture préférée, elle adore d'abord le jollof ensuite cette nourriture là. Après le repas on prend notre dessert c'est du yaourt fait maison je le fais moi-même mais celui-là c'est Joyce qui l'a fait. Liya: maman j'en veux encore. Moi:non ça suffit trop de sucre le soir c'est pas bon pour la santé. Elle: maman s'il-te-plaît.../ Moi: (haussant le ton) j'ai dit Liya aller viens te brosser les dents demain il y'a école. Elle: (triste) d'accord maman. Joyce: t'es trop dur avec ma filleule. Moi: il le faut. Elle: hum mais doucement quand-même t'es son seul parent. Moi: (m'asseyant près d'elle) hum et puis tu es là aussi hein donc ça fait deux. Elle: (me regardant) t'inquiètes... alors comment te sens-tu ? Moi: (regardant mon poignet) ça va j'ai déjà changé la b***e. Elle: je sais que ton poignet va bien mais je parle de toi qu'est-ce que tu ressens actuellement ? Moi: (souffle bruyamment) Elle: je sais que ce n'est pas facile mais essaie de te concentrer sur ta vie et celle de ta fille car il a vidé ton compte et tu as brûlé le fruit de ce vol donc tu dois te reconstruire. Moi: je sais mais c'est dur. Elle: je sais que c'est dur Karine c'est pourquoi je suis là je vais t'aider à aller de l'avant. Moi: (reniflant) je sais...je sais que tu seras toujours là pour moi mais tu sais je l'aime...je ne veux peux malheureusement pas l'oublier du jour au lendemain... c'est impossible. Elle: (essayant de me calmer) aller c'est bon ne pleure pas ma chérie. Moi: (reniflant) je ne sais pas ce que je lui ai fait pour qu'il me fasse ça...je l'aimais je m'occupais de lui comme si c'était déjà mon mari mais....lui il m'a utilisé pour parvenir à ses fins...tout ça pour se rapprocher de cette pute...il m'a ruiné pour l'épouser elle, il lui a construit une maison même. Joyce: (me frottant le dos) une maison sur laquelle tu t'es défoulé et j'en suis vraiment fière. Moi: (souriant tristement) mais ça n'efface pas la douleur que je ressens. Elle:oui mais ça diminue jusqu'à t'as pû mangé sans que je ne te force. Moi:en plus c'est vrai...peut-être que ce n'est pas l'homme de ma vie. Elle: exactement...enfin tu comprends les choses. Moi: t'es folle toi. Elle: (riant) mais c'est vrai avant quand je te disais de le quitter tu ne m'écoutais pas maintenant voilà. Moi:hum. Elle: (sourire diabolique) j'imagine sa tête quand il verra sa maison. Moi: (pouffant) ça lui apprendra à ne pas jouer avec moi. Elle: (riant) peut-être qu'il va aller amadouer une autre encore. Moi: ça sera vraiment dommage pour elle. Elle: vraiment... On a parlé jusqu'à tard dans la nuit avant de dormir ce soir là j'ai vite dormir car j'étais fatiguée aussi. Le lendemain matin Après le départ de Joyce j'ai déposé Liya à l'école et je suis allé au marché acheter des ingrédients pour un bon jollof. À mon retour j'ai trouvé Richard et sa femme devant la porte il avait les yeux rouges et sa femme avait les cheveux en bataille je rire dans mon fond intérieur mais j'ai le visage serré comme anus de mouton. Lizzie: (se levant) espèce de sorcière c'est toi qui est allé brûlé notre maison. Moi: (les dépassant) Elle: (me suivant) espèce de voleuse de mari comment oses tu brûler notre maison tu vas nous la rembourser s****e. Moi: (ouvrant la porte) dit celle qui s'est mariée avec le copain de sa collègue et de surcroît de marie avec son argent...pff pathétique. Richard: je peux savoir pourquoi t'as brûlé ma maison ? Moi: (faussement étonné) ta maison ? Tu as une maison toi ? Tu l'as construit avec l'argent de qui ? C'est plutôt ça la vraie question Richard. Lui: Lizzie: je...on va porter plainte contre toi sale p**e. Moi: allez-y portez plainte mais j'espère que vous allez vous défendre quand je vais aussi porter plainte pour vol contre ton mari car il quand-même vidé mon compte. Lui: (énervé) tu n'as aucune preuve Elvira. Moi: c'est ce que tu penses Richard mais si tu veux en être sûr vas porter plainte. Lui: Lizzie: (pleurant de rage) mais chéri fais quelque chose...nous allons tout de même pas dormir dehors. Lui: non ne t'inquiètes pas comme elle a brûlé notre maison bah on va aller vivre dans sa maison à elle. De toutes façons cette maison est au nom de son amie donc il n'y a pas de problème. Moi: (éclatant de rire) à bon ? Tu veux aller vivre là-bas ? Et tu penses que cette maison ne m'appartient pas ? Laissez moi rire j'ai les papiers qui prouvent que Lorène m'a offert cette maison donc si j'étais vous j'allais me chercher où dormir ce soir car j'ai mis MA maison en location. Lui: (en colère) j'espère que tu blagues. Moi: penses ce que tu veux Richard mais je te dis la vérité sur ceux je dois aller faire la cuisine pour un être très cher maintenant sortez d'ici. Je vais ouvrir le portail pour eux afin qu'ils sortent il marchent nonchalamment pour sortir dès qu'ils mettent les pieds dehors Richard se retourne pour parler mais je lui ferme la porte au nez qu'ils aillent se faire foutre. J'arrive au salon après avoir déposé les sachets je me jette dans le canapé pour pleurer d'une part ça me fait mal de le voir comme ça sans abri mais de l'autre côté je suis heureuse de voir cette s****e de Lizzie dans le mal elle est perdue déboussolé pfff. Bref après quelques heures de larmes je me rince le visage et commence à cuisiner le repas comme d'habitude je part chercher ma fille à son école elle me raconte sa journée en route c'est pas loin donc on voulait marché un peu on est passé devant notre maison que Joyce s'est chargé de mettre en location. C'est le jour où j'ai failli me suicider elle ne voulait plus me laisser seule donc je suis allé chez elle avec toutes mes affaires qu'elle a rangé elle-même et comme j'avais besoin d'argent c'était du gaspillage de laisser la maison vide elle a donc cherché des locataires. On rentre pour saluer les nouveaux habitants et on reprend la route arrivé à la maison elle prend son goûté avant que je lui donne son bain. Joyce: coucou ici. Liya:( sautant sur elle) tata JoJo. Joyce:( la portant) oui mama ça va ? Elle:oui et toi ? Joyce: ça va tu t'es lavé ? Liya: oui tata maman m'a donné mon bain. Joyce: excuses nous Mlle Françoise. Liya: c'est qui fanchoi ? Moi et Joyce on éclate de rire elle est sérieuse cette petite ? Je pleure de rire et elle a posé la question avec tellement de sérieux que tu répondre. Joyce:on dit Françoise Liya. Liya:mais euh maman j'ai dit fanchoi non ? On éclate encore de rire et on passe à table après que Joyce ait pris sa douche. J'ai couché Liya et j'ai raconté ce qui s'est passé avec Richard et sa femme elle était trop contente. Joyce:si je pouvais être là j'allais voir leur tête (dit-elle en éclatant de rire) Moi: Richard était tout rouge. Elle:bien fait pour leurs gueules. Moi:mais après j'ai pleuré. Elle: pourquoi ? Moi: (souffle bruyamment) j'avais mal de le voir comme ça mais de l'autre côté j'étais un peu heureuse car ça lui servira de leçon c'est pas tout le monde qu'on berne. Elle: (souriant)c'est comme ça je veux te voir ma sœur. Moi:hum. Elle: (me regarde sérieusement) et si...il essaie de se remettre avec toi qu'est-ce que tu vas faire ? Moi: je vais le renvoyer voir ailleurs même si j'aurai mal je le ferai je ne suis pas un jouet ni une banque il m'a dit qu'il ne m'a jamais aimé alors qu'est-ce qu'il veut d'autre à part m'escroquer ? Elle: (les larmes aux yeux) je suis tellement fière de toi (m'ouvre ses bras) aller viens par là. Je me blottis dans ses bras c'est l'un de mes remèdes ses bras pour me sentir mieux on se détache après quelques minutes pour continuer notre conversation. Aujourd'hui je vais avec Liya chez la coiffeuse elle n'a pas cours aujourd'hui après on ira se balader au parc elle adore ça. Je n'ai plus vu Richard avec sa femme ça fait des jours mais aux dernières nouvelles ils vivent chez les parents de Lizzie c'est chaud là-bas actuellement. Chez la coiffeuse Liya choisi sa coiffure de grande personne même et elle est sérieuse dans ce qu'elle choisi sa tata Domi lui fait la coiffure mais en petite fille Mlle Bachir était satisfaite nous avons payé et nous sommes partis direction le parc. Elle jouait pendant que je parlais avec une connaissance qui était elle aussi venue avec ses enfants on a tellement parlé qu'on a pas vu l'heure nous devons sortir dîner ce soir avec Joyce qui veut nous présenter son petit ami. Donc on rentre pour se doucher et s'apprêter dès qu'on fini Joyce rentre enfin prendre une douche aussi et hop nous voilà dans le taxi direction le restaurant *******. Joyce:bon Karine voici mon petit ami Léo, chéri je te présente ma sœur Elvira et sa fille qui est ma filleule Liya. Moi: (le saluant) enchanté Léo. Lui: comment vas-tu belle-sœur ? Moi: ça va merci. Liya: bonjour tonton. Lui: salut princesse mais on dit bonsoir à cette heure. Elle:oui. On commande à manger tout en continuant notre conversation il est gentil simple et aimable surtout sociable. Après le dîner Joyce voulais passer la nuit avec lui donc on les a laissé pour partir sur la route on ne trouve pas de taxi. Liya: maman je veux faire pipi. Moi:eeh Lili comment on va faire comment le restaurant est déjà loin. Elle: s'il-te-plaît maman. Moi: bon d'accord (regardant autour de nous) allons par là-bas il y a un parking. On part dans ce parking là il y'a plus de voiture que d'habitude ou c'est moi qui louche. Liya fini son besoin je remonte sa culotte je voulais qu'on prenne un raccourci donc au fur et à mesure qu'on avançait j'entendais des voix. Congossa que je suis je demande à Liya de se taire arrivé vers pleins de voitures je vois un homme habillé en noir tenant une...une arme dans sa main gauche. Je n'entends pas ce qu'ils disent mais celui qui est à genoux supplit celui qui tient son arme de l'épargner. Liya ne voit pas car j'ai mis ma main sur ses yeux... Pam Pam... Liya et moi: AAHH !!! Ils se retournent tous vers nous pendant que le corps sans vie du jeune homme tombe par terre. L'assassin: (à la fille) débarrasses moi d'elles. Elle: (nous regardant) ok BOSS. Elle commence à venir vers nous je prends Liya sur mon dos j'enlève mes talons et commence à courir de toutes mes forces on sort du parking je cherche un taxi mais rien je me cache entre les magasins mon cœur bat à vive allure je ne sais pas quoi faire j'ai peur. J'ai peur pour moi et ma fille cette fille est là pour nous tuer si l'autre à pû tuer quelqu'un de sang froid devant elle sans qu'elle ne doit étonné c'est qu'elle peut faire de même donc vaut mieux sauver ma vie et celle de mon enfant. Je sors de ma cachette pour essayer de fuir croyant qu'elle est partie car ça fait presque 2h je suis caché avec Liya qui dort dans mes bras. Je sors mets Liya bien sur mon dos dès que je veux faire un pas j'entends un "un pas de plus tu meurs toi et ta fille". Je suis resté bloqué le pied suspendu en l'air elle se place devant moi je la regarde les larmes aux yeux. Moi: (pleurant) s'il-vous-plaît Mlle ne nous tuez pas...je vais faire tout ce que vous voulez mais ne m'ôtez pas la vie. Ma fille n'a que moi seule s'il-vous-plaît ne la rendez pas orpheline comme moi... Elle ne réponds pas pointe son arme contre mon front j'éclate en sanglots je crois que là c'est fini je vais mourir comme ça si jeune à 27 ans devant ma fille de 3 ans. Moi: (m'agenouillant) s'il-vous-plaît Mlle ne faites pas ça...je vous promets que je ne dirai à personne ce que j'ai vu et puis à qui vais-je parler puisque je n'ai pas de familles à pas ma fille et ma...je vous en supplie. Elle: (baissant son arme) tu me mets dans une situation vraiment compliqué si il apprend que je l'ai désobéis il va me butter...bon ok suis moi. Moi:non je...je vais rentrer.../ Elle: je te laisses la vie sauve donc fais ce que je te dis maintenant. Moi:... d'accord. Je la suis jusqu'à une jolie voiture vitre teintée noire on monte derrière elle démarre durant tout le trajet je priais pour que DIEU me vienne en aide. On gare devant un grand hôtel elle nous fait rentré dans une belle et grande chambre avant de sortir en fermant à clé. Quelques minutes plus tard la porte s'ouvre avec fracas sur un...un homme grand de taille il est métissé je crois ils a une arme dans sa main gauche tout de suite je comprends que c'est lui le "l'assassin". Il s'assoit sur une chaise je le supplie de toutes mes forces je ne veux pas laisser ma fille devenir orpheline comme moi et souffrir donc je lui déverse tout ma souffrance je lui raconte tout pour qu'il ait pitié de moi mais ça ne lui fait rien puisqu'il a appelé quelqu'un pour prendre ma fille. C'est cette jeune femme qui l'a supplié de me laisser en vie il l'a finalement écouté j'étais soulagé me disant que c'est on rentre chez nous mais non ça ne faisait que de commercer sans prendre quoique ce soit sans avertir Joyce j'embarque pour les Etats Unis avec ma fille et un dangereux criminel et une gentille fille mais un peu méchante. Quand nous avons pénétrés la maison de cet Monsieur j'étais tellement ébahis que toute la fatigue que je ressentais s'est envolé heureusement que Liya dormait sinon elle allait courir partout. On nous a donné une chambre au rez-de-chaussée ce qui m'arrange bien comme ça je verrai comment je vais fuire avec mon enfant. Quoi ? Vous croyez j'allais rester dans la même maison qu'un assassin ? Même si il est beau, même si il est riche non merci je passe mon tour. Je me suis réveillé tôt ce matin j'ai pris une bonne douche ensuite j'ai porté un t-shirt et un jogging tout en noir même les claquettes, je donne le bain à Liya ensuite on s'assoit pour attendre ce qu'on doit faire. Je regarde autour de nous la chambre est belle le lit est deux places une belle salle de bain rien n'avoir avec nos douches de chez nous hein oui oui pour nous là c'est douche maintenant que je vois une vraie salle de bain. Il y'a une armoire où ranger les habits un écran plasma avec décodeur et tout un mini frigo y est une petite table à manger de deux places une grande chaise et une petite on dirait qu'ils ont apprêtés notre venue ici. Par la fenêtre on peut voir le jardin il y a une grande piscine car je ne peux même pas vois pas les deux extrémités mais de là où je suis pour regarder ce n'est pas petit en tout cas. Tout sent bon ici il y'a des crèmes pour les soins du corps dans la salle de bain même des produits pour cheveux naturels alors là je suis un peu soulagé. Dans la chambre il y a quelques jouets d'enfants je suppose que c'est pas pour Liya puisque c'est encore emballé.
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