Je me suis réveillé dans l’étreinte familière dont je pouvais dire qu’elle appartenait à mon compagnon. Son parfum enivrant nous enveloppait. Je suis surpris de ne pas pouvoir le sentir avant le premier quart de travail. Mes yeux s’ouvrent dans la pièce faiblement éclairée et je lève la main, entrant en contact avec sa chair chaude.
« Amour… », murmure Kaden, et je le regarde. Il faisait trop sombre pour voir mais j’ai repéré ses yeux rouges brûlants. Je bouge lentement seulement pour grimacer de douleur et il me tient immobile, « Ne bouge pas. Tu es blessé… » Sa voix était douce et empreinte d’inquiétude.
Je bouge simplement ma tête pour la poser contre sa poitrine nue. « Comment te sens-tu… ? Je vais bientôt te donner tes analgésiques. Je dois juste attendre encore une heure. », expliq
