XVII

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XVIIÀ bord, les préparatifs du départ traînèrent comme toujours. À dix heures seulement, on alluma les feux. Mais le Téméraire était consigné, la communication défendue avec la terre ; et je regardais de loin le rivage, le hameau de Baozich, d’où venaient à la dernière heure des barques chargées de provisions pour la route ; les gens du pays y avaient entassé des fruits, des légumes, des oiseaux, des poissons, tout ce qui pouvait s*******e aux marins du bord. Il était près de midi. Une barque que je crus reconnaître pour celle de Giovanni quitta la plage, se dirigeant vers nous. – Elle amenait, celle-ci, une femme assise : – Pasquala, conduite par son frère !… Que me voulaient-ils tous deux ?… Je les regardais venir, ne comprenant plus. Ils arrivaient, ils étaient tout près maintenant,

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