Chapitre 4

1143 Mots
Emma En attendant qu'elle réponde, je joue avec les ciseaux et j'imagine comment lui percer le visage et apaiser ce sentiment qu'elle a le béguin pour mon homme. - S'il vous plaît, Miss Franco, rappelez-vous, je suis le patron. - Déclare-t-il d'un ton sérieux et je pousse un soupir de soulagement en voyant qu'il l'a remise à sa place. Et je respire mieux et j'essaie de me contrôler et je remarque que ma pression se normalise. Et je n'aime toujours pas la façon dont elle le regarde. -Mes excuses. - La s****e répond maladroitement. Personne ne remarque qu'elle n'aimait pas être attirée par l'attention et je souris. Je mets les ciseaux à côté de moi et j'attends qu'il parle et une chose que je peux dire, c'est que peut-être que ce qu'il va dire ne me plaira pas. -Eh bien, revenons au sujet du rendez-vous que j'ai demandé à Miss Franco de programmer. Et nous approchons de Noël et comme chaque année il y a des gens qui ne peuvent pas venir ici au siège... - il s'arrête et nous regarde et je sens un frisson me parcourir quand j'imagine qu'il me regarde. -Monsieur Mathias, tout va bien ? - Demande la s****e. Ugh, je n'aime pas cette femme, elle est très occupée. Ah, j'ai envie de dire "Ferme cette p****n de gueule, s****e !" -Oui... Pardonne-moi. - Demande-t-il en regardant toujours l'écran fixement et je suis assis là à attendre qu'il parle pendant que je rêve de lui. Et dans ce rêve, Enzo me regarde. - Eh bien, comme vous le savez, les personnes qui n'ont pas pu ou non être présentes l'année dernière devront désormais y assister. - Il déclare et je regarde sa fenêtre et je suis choqué. - p****n de merde...- Je dis, je ne veux pas y assister, parce que si je vais vers lui, je sais que je ne pourrai pas le faire à cause de mes actes et que je finirai certainement dans une camisole de force. Parce qu'avouons-le, je suis folle de lui. -Emma ? -J'entends ta voix rauque m'appeler et mon nom prononcé sur tes belles lèvres me fait devenir toute douce. - Monsieur? - Je réponds et remarque que ses yeux brillent et me regarde avec une telle ferveur que je sais que je vais devoir me m*******r rien qu'en me souvenant de ces beaux yeux et en l'entendant m'appeler. "p****n de merde, j'ai oublié de l'enregistrer en train de prononcer mon nom." Je pleure presque de tristesse. - As-tu dit quelque chose ? - demande-t-il et je remarque qu'elle est curieuse. - C'est obligatoire... - Je demande et je remarque que ma voix est rauque. Et je remarque qu'Emma s'assoit mieux sur la chaise et se penche davantage vers l'écran et en regardant l'écran je remarque qu'il cligne des yeux. C'était si rapide que je me demande si j'ai rêvé qu'il m'a fait un clin d'œil. Comme j'aurais aimé l'enregistrer juste pour le revoir et voir si je rêvais ou non. - Emma, ​​​​c'est obligatoire... - répond-il et mon sourire meurt et je connaissais déjà la réponse. Mais je devais essayer. Je savais que je ne pouvais pas être dans le même environnement que lui. Parce que je me connaissais et que je le suivrais certainement comme ces petits chiens amoureux de leur maître. - Profitons-en et donnons-nous un nouveau cahier en personne, pour que tu n'aies plus à t'inquiéter d'avoir l'écran éteint... - La s****e s'immisce et je lève les yeux au ciel. Et elle ne parle à aucune fille avec ironie. - Toute personne non présente recevra une lettre de licenciement et ne recevra pas de prime de Noël. - Il déclare. - Monsieur? - appelle quelqu'un et je vois que c'est Carina. Je pense que c'est son nom. - Oui? - il répond et détourne le regard vers un autre écran et ses yeux sur moi me manquent. Comment est-il possible pour moi d’avoir ce genre de sentiment d’appartenance ? - Pouvons-nous emmener un compagnon ? - elle demande et il répond. - Bien sûr! C'est bon pour nous de rencontrer vos compagnons. - Déclare-t-il et ses yeux reviennent à nouveau sur mon écran. - Merci, Seigneur ! - déclare-t-elle et je la regarde pour voir si je remarque un intérêt de sa part pour mon homme. Et je pousse un soupir de soulagement à l'idée que je devrai tuer une personne de moins. - De rien, mademoiselle. - Il répond et s'arrête et reste silencieux pendant un moment. Et ses yeux baissent et je ne sais pas ce qu'il faisait et j'étais curieux de savoir. - Monsieur, ça va ? - demande la s****e d'Amanda. - Oui... Oui ! Je m'excuse les gars. Comme certains d'entre vous habitent loin, je réserverai un hôtel à proximité et une voiture pour vous emmener à l'hôtel... - il est interrompu par des gens qui le remercient. - Poursuivant, je vous demande d'envoyer le nom de votre conjoint pour réserver la chambre d'hôtel. - Oui les gars, j'ai déjà une liste de vos noms et je vous demande de rester plus, dès la fin de la réunion, pour qu'on puisse discuter. - Amanda déclare et intervient à nouveau. - Je te laisse avec Miss Franco et je t'attends dans une semaine et j'aurai envie de rencontrer tout le monde en personne et ça vaut pour toi aussi, Emma. - déclare-t-il et en entendant cela, j'ai le sentiment qu'il voudra plus que se rencontrer. -D'ACCORD! - C'est ce que je réponds car je ne sais pas quoi dire. Car d’autant que je n’ai pas envie d’y aller, de peur d’être enfermé dans une camisole de force. Je ne pouvais pas perdre mon emploi et ne pas le voir. "Maintenant, pense-y de cette façon, Emma, ​​au moins tu sauras à quoi il sent. Comment il marche." Et priez pour que je ne sois pas hospitalisé lorsque le viens, parce que je suis sûr que ça va être difficile de ne pas pouvoir être près de lui. - J'ai hâte de vous rencontrer ! - déclare-t-il d'une voix rauque et je sens qu'à ce moment-là je suis mort rien qu'en entendant qu'il veut me rencontrer. - Je veux dire vous tous que je ne connais pas encore, bien sûr, maintenant je dois y aller, bonne après-midi à tous. - Il réagit rapidement et se déconnecte et l'envie de savoir ce qu'il faisait dès qu'il s'est déconnecté. Autant j'étais un peu contrarié d'entendre qu'il voulait rencontrer d'autres personnes. Je ne peux m'empêcher de penser qu'il a dit cela uniquement pour ne offenser personne. - Et bien maintenant, dis-moi qu'est-ce que tu vas apporter ? - Demande Amanda et je fais taire mon micro et je reste là à regarder l'écran noir comme le mien en imaginant où il se trouve.
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