Je m'endors contre la vitre alors que le jour vient à peine de se lever, c'est une blague.
Quelqu'un me secoue fortement l'épaule droite de façon répétitive et cela jusqu'à mon avant-bras ce qui me fit sursauter j'essaie d'ouvrir les yeux, temps bien que mal mais le faite d'avoir été réveiller de la sorte m'empêche de les ouvrir convenablement je vois une très grande ombre il ne s'agit juste du mec qui est censé me livrer il hurle :
- on est arrivé, lève toi, ont a 30 minutes de retard, je vais me faire tuer par ton propriétaire !
Je descends de la voiture et regarde la grande maison qui se présente devant moi.
Je m'étouffe et ma conscience dit :
Une maison et un mot vite fait
Car il s'agit d'une villa avec un immense jardin à l'avant et à l'arrière cette maison et parfaite pour élever des enfants
Ma conscience continue son monologue :
Laura, tu ne le connais même pas.
Le conducteur arrive en courant et dit :
- ce n'est pas à vous de faire cela madame casamento !
Je me retourne vers lui d'une vitesse improbable et je lui dis :
- mon nom de famille n'est pas casamento, mais sotiles
- désolé monsieur casamento nous a dit de vous appeler comme ça
Je marche vers la grande villa ornée de lierre incroyablement long et de toute forme ce qui me donne envie d'aller à l'intérieur. J'entends un rap espagnol :
- c'est une blague, je vais devoir me marier avec un espèce de crétin qui se croit latino.
Le mec me dit :
- ferme ta gueule Laura, tu pourrais te faire tuer en un coup de fusil ! La villa est sécurisée regarde sur les toits.
Je lève la tête et constate des tireurs d'élite sur le toit de la villa es aussitôt, je regrette mes paroles la chanson change, je n'entends que de l'instrumental jusqu'à pouvoir entendre les paroles qui me sont incompréhensibles à mon oreille, car je ne suis pas une latino.
A ella le gusta todo lo que le doy yo (le doy yo)
Empezamos haciéndolo en el sillón (en el sillón)
Rápido nos fuimos a la habitación (uh yeah)
Pa' poder continuar la situación
Le livreur toc à la porte telle un livreur de colis sss, il répète son geste à la porte plus d'une fois, il finit par ouvrir la porte agacé d'attendre sur le palier comme des clochards ou des chats qui veulent rentrer à la maison. car personne ne répond et lorsqu'on ouvre la porte il rentre et la musique se fait entendre d'avantage, on rentre dans la maison lentement et sur nos gardes car j'ai peur de me faire tirer dessus je vois une fille en bikini très serré au niveau des partie intime je tourne la tête dans le sens opposé elle dit :
C'est toi Laura ?
- oui ...
- suis moi.
Je la suis de très près suivi de très près par le livreur qui lui s'attarde sur le cul de la blonde qui passe juste à côté de nous pour aller dans la même direction on arrive devant une pièce très sécurisé qui et barricader d'abord d'une grille noir en métal qui comporte un cadenas suivi d'une serrure anti-intrusion et puis après une grosse porte capitonnée blanche je regarde et dit :
- ça se voit qu'il fait partie de la mafia lui le mystère et résolu car qui de nos jours a une telle sécurité devant une pièce, car pourquoi mettre une si grosse porte blindée, car ça ne lui serre pas tant donner les tireurs d'élite au-dessus sur le toit.
Le livreur me donne un coup de coude ce qui me dit grimacer et se qui me redresse davantage une autre fille brune assez grande et qui à une démarche assurée ainsi que démarquée ouvre d'abord la grande grille noir et puis suivi de la grande porte blanche blindé nous rentrons tout les deux l'un derrière l'autre c'est à dire d'abord le livreur et puis moi juste derrière nous pénétrons davantage dans la grande pièce et mes yeux se braque sur un siège noir dos à nous et dans ce siège il se trouve un homme dont nous pouvons juste voir la silhouette temps donner le contraste avec le soleil. Nous pouvons juste constater une silhouette et cette silhouette se démarque davantage, car je constate une fille à croupie devant lui, je chuchote :
- ça commence bien ...
Je décide de racler de la gorge pour lui signaler notre présence, celui-ci ne se retourne même pas, il dit d'une voix masculine qui me fit frissonner :
- continue Émilie...
Je croise mes bras et la même fille brune en bikini qui nous à ouvert la grille noir passe à côté de moi me regarde d'hôte en bas et dit :
- ça peut durer des heures, tu perds ton temps à rester ici crois-moi.
Je m'avance pour pouvoir récupérer deux chaises de bureau une pour celui qui m'a conduit ici ainsi que pour moi, on se place à l'entrée du bureau et l'on s'installe sur les chaises l'homme et décontracté tant dis que moi je croise les jambes ainsi que les bras ainsi que mes jambes croisées je me gratte l'arrière de la nuque il commence à avoir un o*****e à tenir les rebords de son siège de bureau noir en cuir il se mets à hurler de plaisir et moi je suis à deux doigt de vomir de dégoût on a attendu pratiquement 30 minutes je suis horrifiée le mec qui m'a livré et déjà parti car il en avais marre d'attendre, il n'a pas jugé utile de rester le garçon se retourne et la fille se relève et s'essuie lentement et de façon sensuelle le contour de la bouche le garçon nous regarde et pose c'est yeux sur moi aussitôt les trois filles que j'ai vue se mettent débout à côté de moi et une d'entre me chuchote :
- lève-toi !
Je m'affale davantage sur mon siège le mec continu de me fixer.
Ma conscience ne peut s'empêcher de me dire :
Bordel, il est sexy avec tout ces tatouages.
Je me pince la jambe et espère qu'une des filles ne le remarque pas ce qui ne ce passe éventuellement pas comme prévu car l'une d'entre elle qui possède des cheveux de jais et qui porte des talons aiguilles dit :
- génial, on est avec une folle.
Le jeune homme me regarde avec un sourire provocateur et dit :
- salut, tu dois être Laura ...
Je prie le ciel pour ne pas avoir un filet de bave, il est certes arrogant, sûrement infidèle de ce que j'ai plus constaté car il possède trois filles à sa merci, il est aussi irrespectueux, mais il est aussi irrévocablement sexy.