Deux fois il s’était présenté chez elle, dans le but de bien se rendre compte des motifs réels, mais inavoués, selon lui, de la résistance qu’elle lui opposait, et il se montra dans ses visites non le sauvage et impérieux boyard, mais un cavalier parfait de convenance, presque le grand seigneur des beaux temps de la France de qualité, passionné, mais circonspect et modeste dans ses victoires d’amour, résigné, poli et généreux dans ses défaites. Goloubskoff mit le comble à ses bonnes façons, aux yeux de Bérésine, en cessant, non seulement de la voir, mais en interrompant toute assiduité même indirecte. Ainsi naissaient chaque jour pour Féodorwitz de nouvelles satisfactions, et une sécurité d’avenir qui se trouvait enfin au niveau de ses plus ardentes ambitions. Cependant il balançait s’il
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