Épisodes 6

2685 Mots
Pdv de externe  Un père et une mère sont nos premiers amis, ils sont les mortels à qui nous devons le plus, l'amour des parents descend et ne remonte pas, On n'est pas toujours obligé d'avoir ses parents pour amis, mais il est décent de vivre avec eux comme s'ils l'étaient, et de cacher aux gens trop curieux les éventuelles discordes au sein de la famille. Sans manquer de respect aux parents, mais certains ont tendance à conduire leurs enfants dans la gueule du loup, il pense tout le temps bien faire alors que non, regardez où l'entêtement du père de Sadiya là emmené ? Sadiya ne voit plus le mal dans ce qu'elle compte faire, totalement aveuglé par l'amour qu'elle porte pour Khalil là rendue complètement paro, son père, sans le savoir là rendue plus confiante et plus sûr d'elle comme on dis souvent " qui dit adolescence, dit rébellion " Du côté de la famille D'Alioune ( pdv externe)  Depuis 10 heures du matin, Alioune avait rassemblé toutes la famille en ce jour de dimanche pour les faire-part de sa décision de prendre une deuxième femme seule sa mère était au courant, Maïmouna assise dans son coin comme d'habitude ne disait rien sachant déjà ce qui se cachent derrière la tête de son mari.... Alioune: bon vue que tout le monde est présent je vais pouvoir commencer, vous-même vous savez que ça fait des années que je suis marié avec Maïmouna masha'allah c'est une femme hors pair, gentille, douce et exemplaire, tout ce que tu peux penser avoir d'une bonne femme, elle est soumise, dévouée et tout ce qui vas avec, mais il  ya quelques choses qui nous manquent dans ce mariage, ont est mariée depuis fort longtemps mais pas l'ombre d'un enfant en vue je mettais dit au début que je patienterais puisque l'enfant est un don de Dieu mais malheureusement je me fais de plus en plus vieux, je suis donc obligé de prendre une deuxième femme pour combler ce vide d'où cette réunion... Ils se sont mises à parler en chuchotant et en félicitant Alioune en même temps, ils étaient heureux pour lui, Maïmouna était comme déconnectée, elle aime énormément Alioune et le fait qu'il prend une deuxième épouse là fait souffrir beaucoup, le penser même de partager son homme lui met dans tout les états pas possibles, elle commence à pleurer à chaude larmes à l'issue de tout le monde mais pas à l'issue de sa belle-mère... Mère Djouma: heéhé faut pas pleurnicher ici dèh humhum tu as eu ce que tu mérite c'est tout, si tu avais enfanté comme ont le voulait tous, rien de tout ça n'allait arriver mais hélas madame refuse de nous en donner alors dommage pour toi ma grande, pour ma part j'ai vraiment hâte de recevoir ma nouvelle belle-fille dans cette maison... Alioune assiste à la scène mais ne daigne pas une seule seconde à aider sa femme face à sa mère, c'est vraiment désolant franchement, pourtant il sait que sa mère l'attaque injustement, Maïmouna sans un mot part se réfugier dans sa chambre et fait son passe temps favoris c'est à dire pleurer encore et encore.... Pendant que les autres étaient occupées à causé au salon sira (la domestique de la maison) était en train de vomir tous ce qu'elle avait mangé dernièrement, elle ne comprenait plus, ces temps ci elle ne se sentait pas du tout bien elle avait tout le temps des vertiges, des crampes, des vomissements etc.... au fond d'elle, elle savait exactement ce que ça signifiait mais refusait de voir la réalité en face... Comme elle n'avait pas d'argent sur elle, elle se prépare donc à partir voir une vieille dame qui est dans le même quartier qu'eux et qui s'y connais beaucoup en femme... Arrivé là-bas elle frappe à la porte de la dame qui contenait qu'une petite chambre avec un matelas, elle vivait seule depuis le décès de son mari, elle n'a pas eu la chance d'avoir un enfant, tous ses enfants sont morts née... Sira: bonjour mère Sophia  Mère Sophia: bonjour mon enfant comment va tu ? Sira: je rend grâce à Dieu maman... Après les salutations de routine mère Sophia lui demande la raison de sa présence... Sira: ben enfaîte je suis confuse et anxieuse, ça fait des jours que je me sent morose, j'ai des vertiges et des vomissements en à plus finir d'où ma visite maman Sophia... Mère Sophia: es-tu vierge ma fille ? Sira: je....je....quoi? Mère Sophia ricane en secouant la tête de gauche à droite tel elle était choquée de cette nouvelle génération qui ne pensaient qu'aux sexes sans penser aux conséquences de leurs actes... Mère Sophia: d'accord je répète ma question alors, es-tu vierge ma fille ? Sira, honteuse baisse la tête en titillant ses doigts... Sira: n....non.. Mère Sophia: bien tu as la réponse de tes dernières agissements, mais tu refuse seulement de voir la réalité en face.. Sira: tu veux dire que je peux peut-être être enceinte ? Mère Sophia : pas que je doute mais j'en suis sûre tu es enceinte jeune fille, vous les jeunes d'aujourd'hui je ne vous comprend plus, vôtre générations est complètement pourrie soubhanallah je suis choquée par une telle éducation, toi Sira tu viens en ville pour travailler pour subvenir aux besoins de ta famille, au lieu de travailler tu te donne aux hommes, c'est ce que ta mère a voulu ? Non toutes mères veux que leurs filles leurs face honneur en serrant bien les jambes, préserver leurs dignité, rester chaste en leurs rendant fières... Sira(en pleure): pourtant....je me suis donné qu'à un seul homme mère Sophia je te le jure, sniff je suis f****e qu'est-ce que je vais dire au village ? Sniff je vais faire honte à famille de les avoir déshonoré... Mère Sophia: il fallait penser à ça avant d'ouvrir les jambes tchippp et je peux savoir c'est qui le père ? Sira(avec hésitation): c...c'est Issiaka... Mère Sophia(rire): attends de quel Issiaka tu me parle là ? Votre gardien ? Sira: sniffff....oui Mère Sophia: il ne manquait plus que ça, Issiaka est le plus grand menteur de ce quartier, il te promet mont et merveille alors qu'il n'en ai rien, combien de fille à dit ici que Issiaka est le père de leurs enfants et qu'il nie toujours ? Ma fille quoiqu'il arrive garde cet enfant je ne veux en aucun cas entendre que tu as avorté, me suis-je bien fait comprendre ? Sira: sniff d'accord... Mère Sophia: maintenant vas annoncé la nouvelle à cet imbécile même si je sais qu'il niera encore une fois de plus... Sira sort de chez mère Sophia complètement anéantie et brisée de l'intérieur, elle avait surtout peur de la réaction de Issiaka, depuis les dires de mère Sophia, elle doute et pensé qu'il est ce genre d'homme lui laisse sans voix mais elle vas quand même essayer... Arrivé à la maison elle se dirige directement vers Issiaka qui était assis dans la cour près du garage à faire du thé comme d'habitude...Issiaka en là voyant lui sourit de toutes ses dents ne s'attendant pas à se qu'elle compte lui dire... Issiaka: ahhh ma chérie, mon soleil de minuit, ma lune, seule ton sourire fait briller les étoiles dans le ciel ahhhh ma Sira toi seule fait vibrer mon coeur... Sira sourit amèrement ces mots doux ne l'atteigne guère vue qu'il raconte ça à tout ce qui portent une jupe... Sira: je suis enceinte Issiaka, balance Sira à la figure d'Issiaka  Issiaka: qu....quoi? Tu es quoi ? Sira: hummm Issiaka tu m'a très bien entendu, Issiaka je suis enceinte et c'est toi le père par ce que je me suis donné qu'à toi...tu dois assumer je ne peux pas retourner à mon village dans cet état... Issiaka: hahaha tu es vraiment une comique ma Sira, bravo tu sais vraiment jouer à la comédie, c'est vrai qu'on a couché ensemble mais qu'est-ce qui me prouve que tu n'as pas couché avec d'autres hommes ? Par ce que je t'ai eu facilement dans mon lit quand même, donc je te conseille d'aller chercher le père de ton bâtards là ailleurs et me foutre la paix... Sira: espèce d'enfoiré tu m'as fait croire le contraire, tu m'a dit que tu m'aimais snifff.. Issiaka: héy ferme ta gueule espèce de p**e, si j'entends que tu m'as dénoncé je te tue dit-il sans scrupule... Sira part dans un coin de la cour et pleure tout les larmes de son corps, elle avait mal au coeur, elle a bafoué sa dignité aux profil des beaux yeux d'Issiaka... "Comment as-tu pu... ? Tu es la honte de notre famille ! A partir d’aujourd’hui, tu n’es plus ma fille ! Sors de chez moi, fille indigne !" Nombreux sont les parents qui ont plus au moins tenu ces propos. Nombreuses ont été également, hélas, les oreilles de jeunes filles qui les ont entendus, la tête basse et les yeux embués de larmes. Tout cela parce que leur ventre porte une vie, c’est-à-dire qu’elles sont enceintes. C’est vrai que dans nos coutumes africaines, une fille qui tombe enceinte hors mariage et dans la cour de son père est mal perçue, et son acte est considéré comme une atteinte à l’honneur de la famille. C'était ce qui se passait en boucle dans la tête de Sira, par ce que ces genre de cas étaient tendance chez eux au village... Maïmouna qui n'était pas très loin à été témoin de toutes la scène, elle s'approche tout doucement de Sira... Maïmouna: donc tu es enceinte ? Sira sursauta de peur et pleure de plus belle.. Sira: s'il vous plaît madame ne le dites à personne snifff je ne veux pas perdre mon travail s'il vous plaît... Maïmouna( pensive): d'accord ne t'inquiète pas je ne vais pas te dénoncer mais à condition que tu face quelques choses pour moi également.... Sira(confuse): quoi donc madame ? Je ferais tout ce que vous voulez... Maïmouna: je veux qu'après ton accouchement tu me donne ton bébé comme étant le mien... Sira: ma....mais madame vous n'êtes pas enceinte... Maïmouna: je veux que tu garde le secret, je veux faire croire aux autres que je suis enceinte, toi tu trouve un mensonge comme quoi tu part au village pour une urgence, j'ai une copine qui vas bien prendre soin de toi pendant ta grossesse et lorsque tu accouche, tu me met aux courant je saurai quoi faire par la suite... Sira: je.....suis d'accord madame... Pdv de Sadiya  Ce matin c'était un peu différent, mon humeur avait changé, même ma mère l'avait sentie, je vais profiter de ma liberté avant ce mariage à la con, ils croivent tous avoir réussi mais ce qu'ils ne savent pas c'est que la petite Sadiya n'est plus sainte que ça... Je fais ma routine comme d'habitude puis part trouver mon père au jardin... Moi: bonjour père bien dormit ? Papa: oui Al-hamdoulillah j'espère de même pour toi? Moi: alhamdoulillah, je voudrais te dire qu'on a une colonie de vacances avec notre école papa je voudrais te demander la permission pour aller... Papa(en me coupant): bien sûr ma fille tu peux, après ce que tu as fait pour nous, je te dois bien ça.. Moi(en lui faisant la bise): merci papounet je t'aime fort.. Il sourit, je le laisse puis part le dire à maman qui ne suit que les recommandations de papa comme d'habitude donc c'était facile.. Vous croyez vraiment que je vais à une colonie ? Mais non les amis, bien sûr que non bien évidemment, les parents sont des bleus en ce qui concerne parfois notre scolarité, ce n'est même pas les vacances lol oui je sais je suis très intelligente.. Khalil a acheter un appartement un peu éloigné dans un quartier chic et calme, nous l'avons visité ensemble et je l'ai de suite aimé masha'allah, je prépare mes habits dans un sac de voyage, je l'avais bourré de tenue sexy hhhhh, Khalil tiens toi près hein ont vas bien s'amuser humm... Quelques heures plus tard  J'étais dans la voiture avec Khalil qui roulait ça fait quelques minutes déjà mais personne ne parlait, de mon côté j'avais peur, peur de ce qui vas se passer dans peu de temps, il s'arrête devant l'appart puis éteins le contact, il tourne la tête vers moi... Khalil: Sadiya est-ce que tu es vraiment sûr de toi ? Par ce que je te préviens dès maintenant si ont traverse la porte de cet appart je ne pourrais plus me contrôler... Je tremblais de peur mais je fais quand même la fille forte et sûr de d'elle  Moi: oui Khalil je...suis prête  Khalil : bien descendons alors.. Nous descendons de la voiture avec nos affaires, il verrouille la voiture puis nous nous dirigeons vers l'appart... Dès qu'on pénètre dans la chambre Khalil me plaque contre le mur et m'embrasse à pleine bouche, il respirait comme un ogre affamé, il me porte et me pose délicatement sur le lit puis se met sur moi... Khalil: putin depuis le temps que j'attendais ce moment... Il enlève mon haut, vue que je ne porte jamais de soutien gorge mes seins étaient à sa merci, il prend mon sein droit entre ses lèvres me faisant lâcher des gémissements qui ressemblent plutôt à des couinements, après avoir finis avec mes seins il enlève mon pantalon avec ma petite culotte en dentelle par la même occasion... Il me fixait avec tellement de désir que s'en était troublant, il enlève ses habits avec sensualité en me fixant tel un prédateur près à attaquer, dorénavant il était complètement nu devant moi je baisse les yeux de gêne, je n'ai jamais vue un pe****s et voir le sien aussi gros et musclé me fait penser que ce truc énorme ne pourra jamais entrer en moi vue ma petite silhouette... Khalil(en se mettant au dessus de moi): touche moi... Moi: te....toucher..comment ? Il ne dit rien et prend directement ma main et la pose sur son membre bien dressé .. Moi: Khalil...je peux pas...snif j'ai peuuuuuur dis_je en pleurant comme une gamine  Khalil: chuttt bébé calme toi s'il te plaît, tu veux qu'on arrête ? Moi: n...non faisons le s'il te plaît... Je l'ai dis sur un coup de tête, je voyais très bien qu'il en avait vraiment envie... Il prend un capote puis l'enfile  en me regardant et se remet sur moi.. Khalil: tu es prête ? Moi(en avalant difficilement): o...oui.. Il me pénètre délicatement en forçant l'hymen par la même occasion... Moi(en criant): hannnn sniff ça fait mal...je Khalillllll merde... Khalil: détends toi bébé, si tu te crispe ça te fera encore plus mal, ouvre tes jambes... J'ouvris doucement les jambes en tremblant, j'avais super mal wallah, mes larmes perlent sur mes joues il les essuie avec sa langue puis m'embrasse langoureusement me faisant moins ressentir la douleur, il commence à faire des vas et viens en douceur, après un moment de douleur, petit à petit je commence à y prendre goût, il noue nos doigts ensemble et met mes pieds sur ses épaules pour qu'il puisse aller profondément,.. Khalil : ahhh putin tu...es si bonne merde tu veux me tuer ? Argggg.. Moi: ahhh....oui...khalil plus...vite s'il te plaît... Il me pilonne sans merci, je ne faisais que hurler de plaisir... Moi: oh...mon Dieu....ahhhhhh. Je ne voyais plus rien à cause des tremblements que l'o*****e me donnait comme sensation, j'étais dans un autre monde je ne me suis jamais sentie aussi bien putinn  Khalil : oh....putin...je viens... Il accélère la cadence de ses coups de reins puis d'un coup il tremble de tout son corps en s'écroulant sur moi essoufflé... Je ne regrette pas du tout de ce qui vient de se passer non non, je suis même fière de moi, par ce que je viens de me donner pour la première fois à l'amour de ma vie... Ahhh Sadiya, tu as vraiment déconner mais bon c'est l'amour, elle peut nous mener à faire n'importent quoi, que ça soit risqué où pas...
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