28. Peur sur la ville Centre-ville – Grenoble Mazzini avait bien pataugé, ayant cru d’abord que c’était l’un des chefs des autres quartiers qui avait zigouillé son lieutenant, histoire de l’affaiblir. Ceux-là nièrent y être pour quoi que ce soit. Un autre élément avait plaidé en leur faveur. Mazzini pensait que même s’il n’y avait plus de valeurs en ce bas monde, l’affaire aurait été réglée à coups de Kalachnikov et pas à coups de machette, comme la presse avait fini par le rapporter. De plus, tout le monde avait à gagner à une entente entre les gangs, cela favorisait l’économie souterraine et évitait que la police ne mette trop son nez dans leurs affaires. Chacun gardait son pré carré et y trouvait finalement son compte. D’ailleurs, il était lui-même allé voir les jeunes de son quartier


