Deux semaines plus tard, je me tenais devant le miroir en pied, les yeux fixés sur le collier de diamants qu'Alessandro m'avait offert.
Le poids froid du collier contre ma peau me fit frissonner.
Les diamants étaient exquis, chacun étincelant comme s'il avait une vie propre.
La chaîne délicate reposait parfaitement sur ma clavicule, la lumière capturant chaque diamant, et je ne pouvais m'empêcher de me sentir comme si je portais quelque chose de bien plus qu'un simple cadeau.
Cela ressemblait à un geste intime, quelque chose de bien plus significatif que n'importe quel bijou que j'avais jamais reçu.
J'ai touché le collier doucement, mes doigts effleurant les pierres lisses et fraîches. La sensation était presque aussi enivrante que le souvenir du toucher d'Alessandro, lorsqu'il l'avai
