Arrivés au Armani Hotel Dubai, la Rolls-Royce s’immobilisa doucement sous l’auvent illuminé. Accueillis avec un protocole cinq étoiles, ils traversèrent le hall dans une ambiance feutrée et luxueuse. Zaynab avançait comme une reine, suivie de Mourad, silencieux mais captivé par sa démarche, son aura, son pouvoir.
En entrant dans leur suite nuptiale, une vue spectaculaire sur Dubaï s’offrait à eux. Lit circulaire couvert de pétales, coffrets en or, parfums rares, ambiance romantique parfaitement maîtrisée.
Mourad se tourna vers elle, le regard perçant.
— Prépare-toi, demain on décolle pour les Maldives, ensuite Bali, et on finira en France. J’ai tout réservé.
Zaynab, esquissa un sourire. Elle allait profiter du luxe, des plages paradisiaques, des hôtels exclusifs… même si au fond, ce n’était pas avec Mourad qu’elle rêvait de vivre ces moments. Mais son compte en banque et son train de vie, eux, n’avaient pas besoin d’amour pour être comblés.
— Tu m'a épousé pour mon argent, avoue-le, lâcha Mourad, soudain grave.
Zaynab leva les yeux vers lui.
— Oui. Et alors ? répondit-elle calmement, sans détour.
Il resta figé, comme frappé par l’honnêteté crue de sa réponse. Mais au lieu de reculer, son désir pour elle s’enflamma encore plus.
Puis elle sourit, sans répondre, et tourna les talons vers la terrasse.
Il resta un instant immobile, puis il la rejoignit, l’attrapa doucement par la taille, posa ses lèvres contre sa nuque.
Elle frissonna.
— Laisse-moi tranquille, Mourad. murmura-t-elle en sentant sa présence derrière elle.
Mais il ne l’écouta pas. Il s’approcha, posa ses mains sur ses hanches, sa bouche contre sa nuque. Zaynab tenta de le repousser doucement, mais ses gestes manquaient de force, comme si elle ne savait plus vraiment si elle voulait qu’il arrête.
— On devrait se reposer… on profitera aux Maldives… ou à Bali… souffla-t-elle, cherchant à gagner du temps.
Mais Mourad savait. Il avait compris. Elle disait cela pour maintenir un contrôle illusoire. Elle jouait encore.
Il continua. Elle résista… un instant. Puis céda.
Parce qu’au fond, elle aussi le voulait.
La température est brutalement montée en flèche et le corps tout entier de zaynab s'est mis à vibrer.
Sur la peau de Zaynab, Mourad a posé ses mains et lui a caressé le dos. Chaque fois que ses doigts touchaient sa peau, Zaynab ressentait un incendie se propager dans sa chair.
Ensuite, la bouche de Mourad s'est enfoncée dans son cou, et cela l'a rendue folle. Zaynab a senti sa mouille inonder l'intérieur de ses cuisses.
Zaynab dit :
— Tu ne penses qu'au s**e. Tu m'as choisi juste pour me f***********r quand tu le souhaites.
Mourad esquisse un sourire et répond :
— Pas du tout.
Zaynab était surprise. Ensuite, Mourad ajoute :
— Je ne veux pas te f***********r. Je veux te b****r. Et je te le prouve dès maintenant.
Zaynab a été choquée, elle était totalement déconcertée. Elle trouve Mourad grossier.
Mourad l'emmena jusqu'à la chambre. Ensuite, Mourad se dévêt devant Zaynab, ce qui la choque encore plus. Zaynab, troublée, se dirige vers la salle de bain, mais il l'arrête brusquement.
Zaynab, agacée, a exprimé son mécontentement en disant :
— Mais lâche-moi.
Mourad sortit son membre viril, vraiment tendu, avec un g***d complètement décalotté.
— Regarde. C'est pour toi. s**e-moi.
Il dit ça juste pour la mettre mal à l'aise. Mourad prend part au jeu de Zaynab et cherche à la provoquer.
Zaynab, contrariée, lui dit :
— Tu m'as pris pour ta p**e ?
Mourad, avec un sourire, rétorque :
— Non, tu l'es vraiment.
Zaynab ne cesse d'être choquée par le comportement grossir de Mourad.
Mourad a commencé à déshabiller Zaynab de manière très lente, en lui lançant des regards très excités. Zaynab était toujours vêtue de sa robe de soirée.
Il lui retira sa robe et découvrit une vision de rêve. Mourad n'en pouvait plus. Il fallait qu'il la b***e, il bandait.
Mourad s'est approché d'elle et a commencé à lui donner un b****r. Il s'est collé à elle pour qu'elle sente bien l'effet qu'elle lui faisait. Il a retiré son string et son soutien-gorge. Zaynab sait qu'il craque à chaque fois, mais pas cette fois.
Il l'a fait allongée, il s'est mis sur elle et l'a regardée dans les yeux.
— Amirati, je vais te b****r si fort. Il prononce ces mots avec une voix grave
Zaynab frissonne en entendant sa voix. Elle lui lance un regard noir, même si elle est émue.
Mourad a écarté ses jambes pour la pénétrer. Il commence ses va-et-vient, il prend de la vitesse et de l'élan. Il a saisi ses seins et les a caressés tout en la pénétrant intensément.
Mourad (entre deux respirations, la regardant droit dans les yeux, voix grave) :
— Alors… et tu m’as épousé pour l’argent, hein ?
Zaynab détourna le regard, le souffle court, mordant sa lèvre inférieure pour retenir un gémissement.
Mourad (plus insistant, ralentissant volontairement ses gestes) :
— Réponds, Zaynab.
Elle ferma les yeux, comme pour échapper à la question, mais son corps trahissait le plaisir.
Mourad (haletant, la tenant fermement) :
— Dis-le. Dis-le que tu m’as pris pour mon nom… pour mes voitures… pour ma fortune.
Zaynab (dans un murmure brisé, entre deux gémissements) :
— Hhmm… Oui.
Ce simple mot, craché dans un souffle presque douloureux, sembla électriser Mourad. Il accéléra, comme si cette réponse l’avait libéré, ou au contraire excité davantage.
Zaynab, à bout, céda complètement. Les gémissements étouffés devinrent plus francs, plus brûlants.
Après un certain temps, il a prononcé ces mots :
— Je vais jouir en toi, Habibti!
Zaynab ressentait son o*****e monter, et avec une autre poussée, elle a eu un o*****e. Ensuite, Mourad a enfoncé sa semence en elle.
Ils ont gémi en même temps. Puis, il s'est retiré.
Le silence retomba dans la chambre, ponctué seulement par leurs respirations encore lourdes. Mourad, allongé à côté d’elle, jeta un dernier regard vers elle.
Zaynab reprend son souffle et lui dit de se protéger la prochaine fois.
Et mourad lui dit :
— Tu penses déjà à une prochaine fois ?
Zaynab agacé se lève du lit et alla dans la salle de bain pour prendre une douche.
Ils finirent par s’endormir, comme deux inconnus brûlés par la même flamme, mais liés par rien d’autre qu’un mariage où l’amour n’était qu’un luxe en option.
Le lendemain matin, après une nuit tendue et silencieuse, Zaynab s’était réveillée tôt. Elle s’était levée sans faire de bruit, avait enfilé un peignoir blanc posé près du lit et s’était assise devant le miroir de la coiffeuse, le regard vide. Mourad dormait encore, la main posée de son côté du lit, détendu comme si la veille n’avait laissé aucune trace.
Un styliste apporte des vêtements dans leur suite, et Zaynab fait ses choix pour le reste de son séjour.
Un peu plus tard, une assistante de l’hôtel les avertit que leur jet privé était prêt à décoller.
Dans la Rolls-Royce décorée, direction l’aéroport privé, Zaynab gardait les yeux rivés sur son téléphone, postant encore quelques clichés de la soirée. Mourad, en costume clair et lunettes de soleil, avait l'air imperturbable. Il ne disait rien, mais son regard ne la quittait pas.
Ils montèrent à bord du jet Gulfstream G700 luxueusement aménagé. Canapés crème, boiseries en noyer, champagne déjà en place. L'équipage les salua avec courtoisie. Zaynab s’installa sans un mot, jambes croisées, lunettes noires sur le nez.
Mourad (penché vers elle, les yeux dans les siens) :
— Tu ne m’aimes pas… mais tu profiteras de tout, n’est-ce pas ?
Elle tourna la tête vers le hublot.
— Exactement.
Il la fixa quelques secondes, avant de s’adosser à son fauteuil, un sourire à peine visible sur ses lèvres. Il avait compris à qui il avait affaire. Et pourtant, ça ne le freinait pas.
Le jet décolla dans un grondement feutré. Direction l’archipel des Maldives. Le début d’une pré-lune de miel où les non-dits seraient masqués par le luxe, la mer turquoise et les apparences.
Pendant le vol, l’ambiance dans le jet était feutrée, presque irréelle. Zaynab s’était changée dans la petite cabine privée pour enfiler un ensemble de voyage griffé Dior : pantalon ample en soie beige, débardeur ivoire et une chemise légère nouée à la taille. Elle portait des lunettes de soleil oversize et des sandales Hermès. Elle se sentait dans son élément.
Mourad, lui, sirotait un café noir, concentré sur son téléphone, lisant les commentaires et photos du mariage qui faisaient déjà le tour des réseaux. Il voyait Zaynab apparaître en boucle, parée de ses trois robes, entourée de ses demoiselles, acclamée comme une icône. Tout le monde parlait d’elle.
A suivre