J’observai Isabella dormir, la respiration régulière. Je l’avais ramenée chez moi pour une meilleure surveillance et mon médecin personnel était venu l’examiner en plus de panser ses blessures.
Je me sentais tellement coupable, tellement qu’une rage envers moi-même m’animait. J’avais indirectement mis en danger la femme que j’aimais. Si je ne l’avais pas fait surveiller, je n’osais imaginer ce qu’il serait advenu d’elle. Mais tout ça allait changer dès maintenant. J’allais régler cette affaire le plus rapidement possible.
Je plaquai une mèche de ses cheveux derrière son oreille et je l’embrassai sur le front. Je me levai ensuite du lit et me dirigeai vers ma garde-robe. Je l’ouvris et me saisis d’un polo noir ainsi qu’un pantalon. J’enfilai le tout puis je me glissai discrètement hors d
