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2031 Mots
Histoire ordinaire d'un couple adultère Il est trois heures du matin et je ne dors plus. Je reste allongé sur le dos, à fixer le plafond de l’hôtel, en ressassant mes pensées. Elle est allongée à côté de moi, et dort d’un sommeil paisible, je ne veux pas la réveiller, même si j’en crève d’envie. Elle est belle, dans une chemise de nuit ornée de dentelles. Je l’imagine très bien dans un simple T-shirt bien trop grand pour elle qui a vécu des jours meilleurs, et je suis persuadé qu’elle serait aussi sexy que maintenant. Elle est parfaite. Je sais que nous avons mis les doigts dans un engrenage que nous ne maîtrisons pas, et je ne sais pas où cela va nous mener, mais là, maintenant, je dois avouer que je m’en fous un peu. Elle commence à s’agiter un peu, et je retiens mon souffle. Je ne sais pas si elle va se rendormir ou non. Finalement, elle ouvre un œil, me regarde, et passe un bras sur mon torse, et vient se coller à moi. J’avais déjà envie d’elle, et là c’est encore pire. Bien entendu, je ne peux pas retenir une érection, et elle s’en aperçoit dans son demi sommeil. Elle esquisse quelques mots en murmurant : — Hmmm… déjà en forme en pleine nuit ? — Je n’y peux rien si tu me fais cet effet là. Alors elle vient poser un b****r au creux de mon épaule, et ses mains se font baladeuses. Du coup, les miennes aussi, pas de raisons… Et nous faisons l’amour, simplement, comme un couple qui connaît le corps de l’autre par cœur, alors que nos premières étreintes ne datent que d’il y a quelques heures. Nos corps s’imbriquent de nouveau, et nous cherchons le plus de contact possible. Ma peau appelle sa peau, et je cherche à toucher chaque centimètre carré de ce corps de déesse. Nos sens sont exacerbés, et nous profitons de l’instant, bien trop conscients que le matin va nous rattraper. Que ce moment magique ne durera que cette nuit, et qu’après ça, tout va s’évaporer et le quotidien va nous retomber dessus comme une chape de plomb. Alors, chaque instant de nos caresses doit être apprécié à fond. Notre o*****e est encore synchrone, et nous tremblons tous les deux du plaisir intense qui vient de nous submerger. Il va être difficile de dormir maintenant… Le petit matin apporte sa lumière, et nous savons tous les deux ce que cela signifie. On est samedi, il va falloir rentrer, et attendre de très longues heures avant de pouvoir se retrouver. Il va falloir cacher à notre famille ce qui vient de se passer, pour combien de temps ? Sans surprises, le week-end se passe comme je l’avais imaginé. Terne, long comme un jour sans elle. Tout est gris, jusqu’à ce mail du dimanche soir. Son nom qui s’affiche fait déjà bondir mon coeur dans ma poitrine "Coucou rapide. Coucou, je pense à toi sans arrêt, je n’en plus déjà plus d’attendre qu’on se revoie. Il me reste quelques jours de congés, je pensais poser la journée de mercredi. J’ai trouvé un hôtel qu’on peut louer à la journée. Tiens moi au courant. Je t’embrasse PS : j’avais fait un petit lapsus, j’avais écrit " je t’embrase" <3" Mercredi… dans trois jours. A cette lecture, tout s’éclaire de nouveau, on se revoit dans trois jours et on va passer la journée ensemble… [ … trois jours plus tard … ] J’arrive quelques minutes après elle dans cet hôtel de proche banlieue. Ils louent des chambres à la journée "pour permettre aux personnes qui le souhaitent d’avoir un environnement calme". Mon oeil oui, tout le monde sait ce que cherchent les gens qui prennent ce genre de prestations. La même chose que nous aujourd’hui. Elle m’a envoyé le numéro de chambre par texto, et j’arrive devant la porte, le cœur qui bat la chamade. Je b***e déjà rien que d’imaginer ce qui va se passer. Je frappe doucement à la porte, et sa voix me répond immédiatement — C’est toi ? — Oui, c’est bien moi. — Tu es seul dans le couloir ? — Oui, c’est bon. Alors la porte s’ouvre, et je la vois dans sa splendeur. Elle porte une guêpière noire et des bas tenus par des porte-jarretelles. Elle est magnifique, et ultra sexy. Encore une fois mon menton tombe sur ma poitrine. En une seconde elle m’attrape par le T-shirt, me fait rentrer dans la pièce et referme la porte. Elle s’éloigne un peu de moi, pour que je puisse la regarder et profiter du spectacle. C’est une bombe. Ses formes sont mises en valeur d’une façon spectaculaire, et je défie n’importe qui de ne pas être attiré par elle à ce moment. — Alors, tu aimes ? — C’est… splendide. — Ah oui, je vois bien que ça te plait, dit-elle en regardant la bosse qui déforme mon jean. Elle vient se coller à moi, je la prends par les hanches. Nos bouches se rejoignent et ses mains passent derrière ma tête. Nous restons ainsi de longues minutes, juste à apprécier notre b****r. Puis elle me dit : — Déshabille-toi et et allonge-toi sur le lit, et ferme les yeux. — Mais je veux te regarder… — D’une, tu auras l’occasion de me regarder toute la journée, de deux, fais ce que je te dis sans discuter ! Alors, je m’exécute. Au bout de quelques instants, je la sens se rapprocher de moi. Et je sens sa langue toucher mon sexe. Elle parcourt la longueur de ma bite, et s’attarde sur mon g***d, en fait le tour tout doucement. Elle prend tout son temps, et joue avec mon impatience. Parfois elle me prend en main, me caresse une deux fois, puis me relâche. Une fois qu’elle l’a exploré longuement ma queue, elle s’éloigne de quelques centimètres et souffle doucement dessus, provoquant un doux frisson. Puis sans prévenir elle me gobe tout entier. Elle garde mon sexe profondément enfoncé dans sa bouche quelques secondes, puis commence à faire des va-et vient, lentement. Elle s’arrête juste un instant pour dire : — N’ouvre pas encore les yeux… Et reprend sa manœuvre. Je reste là, immobile, et je me laisse faire. Je sens bien qu’elle est experte en ce domaine. Au bout de quelques minutes, elle s’arrête, et je sens qu’elle positionne ses jambes de chaque côté de ma tête. — Ca y est, tu peux ouvrir les yeux. Elle est au-dessus de moi, ses mains écartent ses lèvres et elle me présente l’atoll de corail, là, à quelques centimètres de ma langue. Je n’hésite pas une seconde et fais ce qu’elle attend de moi. Elle est trempée, et son odeur m’enivre. Je profite de ma position pour glisser une main entre ses cuisses, et pendant que ma langue joue avec son clito, j’enfonce lentement un doigt. Je fais quelques allers retours lents, puis mon doigt humide va chercher son petit orifice, et je commence à l’y enfoncer. Lentement. Je la sens qui réagit, et pendant que je continue à avancer mon majeur dans son cul, elle prend ma tête et la colle encore plus sur sa chatte. Je la goûte avec avidité, et je fais des allers retours avec mon doigt. Il ne lui faut que quelques instants pour jouir ainsi. Je sens ses fesses se contracter autour de mon majeur pendant qu’elle exprime bruyamment son o*****e. Elle repousse ma tête, et s’allonge (s’affale ?) sur le lit, sur le côté, les jambes à demi repliées vers elle. — Oh p****n, c’était intense… me dit-elle en reprenant sa respiration. J’enfile un préservatif, et je viens en elle. Elle est tellement mouillée que mon sexe rentre sans aucune résistance. Je lui tiens les jambes sur le côté, et mon autre main lui tient la hanche. Je suis tellement excité que je me sers de son corps pour me faire du bien, sans même tenir compte de ses réactions. A mon tour de jouir sans chercher à ne pas faire de bruit. Je m’effondre moi aussi sur le lit, sur le dos, et elle vient immédiatement se coller à moi. Malgré mon é*********n toute récente, je ne peux pas m’empêcher de me sentir émoustillé par le contact de ses dentelles contre moi. Nous profitons quelques instants, avant que j’aille à la salle d’eau enlever le préservatif. Lorsque je reviens, elle est allongée sur le ventre et joue avec la télécommande de la minuscule télé. — Tu ne comptes quand même pas regarder la télé toute la journée ? lui dis-je en souriant. — Non, je voulais juste m’assurer que les programmes étaient tous aussi nuls que d’habitude. Là, allongée sur le ventre, le peu de tissu qui la recouvre ne laisse finalement apparaître que peu de peau. Elle a les épaules (merveilleuses) nues, ainsi que ses fesses. Son dos (magnifique) est couvert par sa guêpière, et ses jambes (superbes) par ses bas. Ma main est tout de suite attirée par son postérieur, et je ne peux pas m’empêcher de les caresser, tout doucement. Je mets une main sur chacune de ses fesses, et je les éloigne avec délicatesse, me laissant ainsi voir son sexe et son cul. Elle écarte les jambes, m’invitant à continuer. Alors, je continue, et ma langue vient passer lentement le long de sa raie, pendant que mes doigts commencent à caresser son clito. Je me régale à lui lécher le cul pendant que je la m******e, et j’adore sentir son corps bouger sous ma langue. Cela me remet en forme presque immédiatement, et mon autre main parcourt lentement mon sexe durci. Je lui prodigue ces soins attentionnés pendant un moment, et elle gémit doucement en saisissant les draps dans ses poings. Puis, je me redresse, et pose mon g***d sur son anus, avant de pousser avec précaution. J’ai une vue exquise, et sans rien dire, je regarde mon sexe doucement happé, comme gobé par son cul. J’apprécie son petit hoquet au moment où mon g***d passe la barrière. Je regarde ses fesses, ses mains qui serrent le drap, et ma bite qui continue à s’enfoncer lentement entre ses reins, et je n’en perds pas une miette. Quand mon pubis atteint enfin ses fesses, je reste là, un moment, puis je commence à aller et venir, d’abord très lentement, puis de plus en plus vite au fur et à mesure que l’excitation augmente. C’est la première fois que je la pénètre aussi longuement sans préservatif, mais là où je suis, il y a peu de chances qu’elle tombe enceinte, alors je profite pleinement du moment. Tellement que je prends conscience qu’il faut que je me contrôle, sinon, je vais é******r en quelques secondes. Alors, pour que nous soyons deux à apprécier, je me penche un peu en avant, prend sa main droite, et la guide tout doucement vers son entrejambe, et je fais en sorte que ses doigts atteignent sa fente. Entre me dit dans un souffle : — Si je fais ça…. je vais jouir… — Justement, c’est le but. — mais je vais… jouir… rapidement… — Alors vas-y. Alors elle relève un tout petit peu ses fesses, et se caresse pendant que je prends son cul. Il ne nous faut que quelques secondes pour arriver à l’extase. Elle est encore plus bruyante que la fois précédente, si c’est possible. Quant à moi, j’ai l’impression de lui remplir les entrailles de sperme. Nous nous écroulons tous les deux, vaincus, terrassés par la force de l’o*****e qui vient de nous arriver, un sourire béat éclaire notre visage. Nous sommes dans un hôtel sans joie, sans personnalité, à quelques kilomètres à peine d’une vie devenue trop terne, alors que nous nageons dans un océan de bonheur. [ Epilogue ] C’était il y a dix ans. Des histoires comme ça ne durent pas. Il est impossible de maintenir un tel niveau de désir et de passion pendant longtemps, tout en gardant une famille officielle. Certains amants se séparent, et c’est ce qui a failli nous arriver, plusieurs fois. D’autres couples d’amants deviennent officiels, au détriment de leur couple, et c’est ainsi que Stéphanie et moi vivons ensemble maintenant.
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