22.Simon se montra imperturbable aux yeux de son « compagnon », bien qu’il ressente quelque chose s’approchant à l’amitié pour le géant russe. Mais à l’intérieur, il était assez secoué ; jamais il n’aurait imaginé pareille vie chez un membre de « troisième zone » de la Confrérie… Néanmoins, il ne ménagea pas ses efforts pour n’en rien faire paraître, et continuait à mastiquer sa maigre pitance pour donner le change. Dès leur semblant de repas terminé, Simon reprit la surveillance, et Piotr prit la direction du bâtiment administratif. Simon se demandait encore comment Jean avait pu rencontrer un personnage aussi singulier que l’ancien Spetnaz… Au fond, un tel homme ne se trouvait pas sous le sabot d’un cheval. Mais alors où… ? Il en était encore à ses tergiversations lorsqu’il réalisa qu


