CHAPITRE 3
BELGIQUE, LYON
DEVON DERRICK MICKELSON
Je sais que vous avez eu des explications mais pas vraiment claires pour vous, je sais que vous voulez savoir comment j'ai fait pour survivre si le père d'Elvira est arrivé en retard ? Ok je vous explique alors.
[FLASH-BACK]
2 ans plutôt
Après avoir raccroché à l'appel de l'inconnu je voulais retourner dans la maison reprendre mes recherches mais, les explosions ont commencés depuis le grand portail. Alors que je cherchais à m'éloigner de la maison, il était déjà trop tard car ce sont les débris de la maison qui m'ont projetés. J'ai senti mon dos se brûler mais ce n'était pas important il fallait que je me sauve la vie. Après avoir repris connaissance j'ai rampé jusqu'à la piscine et j'ai plongé, je suis allé au fond de la piscine pour me protéger du feu qui parcourt mon domaine. Tout était en feu je commençais à perdre des forces alors j'ai ingurgiter l'eau jusqu'à fermer les yeux. Je me sentais partir c'était vraiment agréable cette sensation, alors je me suis laissé allé jusqu'à perdre connaissance.
Je me suis réveillé dansune chambre d'hôpital, je ne savais pas ce que je faisais là mais j'avais mal. Je ne sais pas ce qui s'est passé encore mais je me suis endormie me retrouvant dans un endroit blanc. Je ne savais pas pourquoi et comment j'étais là, mais ma conscience me disais que je devais me diriger vers la porte en feu. Après chaque pas j'entendais la voix d'une femme, je ne voulais pas me retourner car ma conscience me l'a déconseillée.
....: N'y vas pas mon chéri.
Moi: (septique) euh...vous êtes ?
.....: Ça n'a pas d'importance tout ce que je peux te dire c'est de ne pas passer par cette porte elle ne t'ai pas destinée. Tu as de l'avenir devant toi et une belle vie de bonheur qui t'attend. Tu n'as rien à faire ici alors vas-y, elles t'attendent.
[...]
Je me suis réveillé dans une chambre qui ne ressemblait pas du tout à une chambre d'hôpital. Tout était en blanc quand-même il y'avait une machine près de moi avec une perfusion. J'ai dégagé tout ça de mon bras et je suis descendu du lit, j'ai perdu l'équilibre mais j'avais senti une main forte me tenir. Sans savoir qui c'était je me suis dégagé brutalement et je me suis retrouvé sur le lit. Quand je regarde la personne c'est une femme un peu dans la quarantaine d'années.
Moi: où suis-je ?
Elle: bonsoir Mr Mickelson. Vous vous réveillez enfin ! Vous êtes au Pérou actuellement.
Moi: chez qui ? Et qui êtes vous ?
Elle: je suis l'infirmière qui s'occupe de vous et je ne sais pas chez qui vous êtes vue qu'on m'a payé pour m'occuper de vous.
Moi:
Elle: (examinant mon dos) c'est bon, vous êtes en forme. Et on va dire que c'est un miracle que vous vous êtes réveillé car même votre docteur était désespéré.
Moi:
Elle: (rangeant les machines à côté) je sais que ce n'est pas facile de se réveiller et de pas pourvoir marcher facilement. Mais ne vous inquiétez pas car avec la rééducation que vous allez faire vous serra vraiment bénéfique.
Moi:
Elle: (me regardant) vous pouvez faire confiance au docteur et a Dieu aussi car depuis cela fait des mois que vous êtes dans le coma et que..../
Moi: (fronçant les sourcils) comment ça des mois ? Combien exactement ?
Elle: euh ça fait 1 an 5 mois.
Moi: (sous le choc) que quoi ?
Elle: euh...ça fait 17 mois que vous.../
Moi: sortez de ma chambre.
Elle: je n'ai pas encore.../
Moi: J'AI DIT DE SORTIR D'ICI !!!
Elle est sorti à une vitesse V, je reste assis sur le lit en réfléchissant mais tout est mélangé dans ma tête. Je ne sais pas quoi penser actuellement, j'ai fait plus d'un an dans le coma. Comment ? Et où suis-je ? Moi-même je ne peux répondre. J'essaie de me lever une fois de plus mais en vain, alors j'insiste une de plus. Je suite tombé sur le lit mais j'ai tenu quelques secondes avant ma chute. Je vais y arriver et ça ce n'est pas à discuter c'est de ma santé qu'on parle quand-même.
Des jours après je ne savais toujours pas qui était la personne qui m'a sauvé et soigné. Je suivais des cours de rééducation et je commencerais à marcher petit à petit. Je n'avais pas des nouvelles de mon petit frère, enfin j'ai entendu dire qu'il est mort dans une explosion tout comme la mienne. Je ne crois pas qu'il soit mort en tout cas je le sais et je le sens.
Trois mois après je suis toujours dans cette maison barricadée et remplie de garde du corps. Je ne peux pas sortir alors je passe mon temps dans la salle de sport et dans la salle de shut. Je sais tirer mais je veux tirer de loin comme les sniper Russes. Je passe aussi mon temps à monter un plan pour éliminer ce Sandro, cette fois il n'aura pas de chance de s'en sortir car c'est moi-même qui me chargera de sa mort que lui-même me la demandera.
Oui je pense souvent à elle je me demande si elle est encore en vie, pour la petite et Rose je sais que Sonia les protège. Elvira me manque j'avoue, la demoiselle avec sa peur qui essaie de jouer aux durs me manque...un tout petit peu ne croyez pas. Son corps me manque ses grosses fesses et ses seins parfaitement pointus me manques. Surtout la chaleur de son vagin, quand elle jouit est un bon délice...PUTAIN !
Je suis entrain de b****r juste en pensant à elle, qu'est-ce qu'elle me manque.
C'est la dernière phrase que je dis la concernant avant de plonger dans l'eau. Cela me permet de descendre la tension et de m'aider à réfléchir c'est comme ça. J'étais entrain de faire mes longueurs quand la domestique vient m'annoncer que j'ai de la visite. Je sors de la piscine et pars dans ma chambre pour me changer, après je sors et retrouve cette personne dans le salon. De loin la silhouette de la personne me disait quelque chose et au fur et à mesure que je m'approche je le reconnais. Jorden.
Moi: (souriant) enfoiré tu ne pouvais pas venir plus tôt ?
Jorden: (heureux) salop tu as trop duré dans le coma.
Moi: (lui serrant la main et cogne nos épaules) je me suis réveillé il y'a déjà des mois mais impossible de sortir d'ici.
Lui: ouais tout comme moi jusqu'à aujourd'hui.
Moi: qu'est-ce qui s'est passé ?
Lui: (s'asseyant après moi) l'enfoiré m'a tendu un piège et a fait explosé ma caisse.
Moi:
Lui: et j'étais dans le coma pendant 10 mois mais je ne pouvais pas me montrer d'après ce que les gardes m'ont dit.
Moi: moi pareil ils ne me laissent pas aller dehors, c'est comme si la personne qui me détient ici ne veut pas me voir dehors.
Jorden: ouais.
Moi: tu as des nouvelles des filles ?
Lui: non. Même pas de Sonia.
Moi:
Lui: j'espère que cet enfoiré ne lui a pas fait de mal.
Moi: sinon il risque d'augmenter sa peine.
Jorden Curtis Michelson
Je suis avec Devon dans le jardin entrain de parler des plans que nous avions montés chacun de son côté. C'est à peu près les mêmes idées juste que la manière de mourir change et à vrai dire je préfère celle de Devon, elle est plus cruelle. Mon grand frère a prit des muscles, ses barbes et cheveux ont poussés. Sa mâchoire toujours serrée il est trop nerveux mais je suis plus nerveux que lui actuellement. Je veux la peau de Sandro Lucio mais c'est impossible de sortir d'ici, je ne sais pas ce que cette personne nous veut.
Mais d'abord je vais vous expliquer comment je suis encore ici vivant à vous parler et à chercher comment tuer cet enfoiré de Sandro Lucio.
1 an 9 mois plutôt
Quand les hommes de Sandro Lucio ont lancés la bombe en ma direction j'ai fait un dérapage vers le ravin. J'ai ouvert la portière pour sortir avant que la voiture n'explose, cela m'a projeté encore plus bas du ravin. Je ressentais des douleurs au dos mais je n'étais pas évanoui alors j'entendais tout ce qui se passait là-haut.
.....: il est mort on y va les gars le patron sera content.
.....: Oui c'est vrai on y va faudrait pas qu'on nous trouve là.
Après les bruits de moteurs plus rien pendant des minutes, j'ai essayé de bouger mais j'avais mal au bras et au genou alors je ne bougeais pas. Je savais pas ce que j'attendais mais j'attendais qu'on me sorte de là. Bon je ne sais pas pendant combien de temps je suis là mais mon mal se fait ressentir encore plus, alors que je commence à sombrer. Même pas 20 minutes j'entends des bruits de pneus s'approcher des voies et des cris. Je commence à fermer les yeux que quand je me sens porté.
[...]
Je me suis réveillé dans une chambre d'hôpital enfin c'est ce que je pensais. J'avais mal partout comme si on m'avait tabassé, il y avait des machines et tout je n'ai pas calculé. Je me suis levé pour sortir de là, dans ma tête je me disait que je devais sauver Carmel et Elvira. Mes pieds étaient un peu enflés j'avais mal quand je marchais et j'avais des picotements dans le genou mais je na pas calculé. Dès que je voulais sortir de la chambre elle s'est ouverte sur le docteur je crois car il partait une blouse blanche.
Docteur: bonjour Mr Mickelson, vous vous réveillez enfin. Je savais que c'était une bonne idée de vous envoyer ici.
Moi: je n'en ai rien à foutre de tout ça, je dois y aller je dois la sauver sinon il risque de la tuer.
Docteur: Mr Mickelson, vous devriez faire des examens d'abord avant de vous laisser partir surtout que votre p.../
Moi: (énervé) J'AI DIT QUE JE N'EN AI RIEN À CIRER DE VOTRE DISCOURS DE CHINOIS LÀ !! JE VEUX JUSTE SORTIR D'ICI.
Docteur: vous ne pouvez pas sortir comme ça Mr Mickelson, vous devriez vous reposer car sortir d'un coma de 10 mois demande des examens et un bilan alors vous.../
Moi: vas-y vite j'ai pas le temps.
Il s'en va et je vais m'asseoir sur le lit, j'ai même oublié que j'ai encore la tenue d'hôpital. Je vais dans la salle de bain et regarde aussi dans le placard mais il n'y a rien. m***e ! Je ne sais pas pourquoi je suis....attendez il a dit combien de mois je suis là déjà ?
10 mois ? Non non non non c'est impossible que j'ai perdu du temps comme ça dans cet p****n d'hôpital. Carmel ?? Où Est-elle actuellement ? Non je ne veux même pas penser qu'elle soit peut-être...non.
Docteur: (entrant dans la chambre) voilà c'est bon on peut.../
Moi: cela fait combien de temps que je suis là ?
Docteur: vous êtes là depuis 10 mois maintenant.
Moi: p****n ! p****n !! m***e !!!
Je suis incontrôlable je casse tout ce que je vois sur mon passage. Les infirmiers essayent de m'attraper mais je les bouscule avec la force qui me reste. Petit à petit je me sens faible j'ai senti une aiguille sur mon épaule....
Je me suis réveillé une fois de plus mais dans une chambre sombre, je regarda par la fenêtre le soleil va se lever. Je me suis rendu dans la salle de bain et je ressors de là je vois une femme faire mon lit. Je lui demande comment je me retrouve là elle non-plus ne sait rien. Cette histoire est bizarre je descends dans le salon il n'y a personne mais les portes sont fermées avec des gardes baraqués.
Je me mit au sport et je concoctais une surprise pour Sandro Lucio, il va me le payer cet homme. Il va regretter d'avoir touché aux cheveux des membres de ma famille. Je ne sais même pas si Devon est encore en vie actuellement, ni les filles d'ailleurs. Je soupire en déposant le poids que j'avais dans la main droite. Je vous passe des mois de concentration sur mes plans et je ne sais toujours pas qui est le propriétaire de cette maison mais le message qu'il m'a laissé est que je n'ai pas le droit de me montrer pour ma famille. Il m'a aussi rassuré que ma mère va bien mais pense que je suis mort, j'ai un pincement au cœur mais c'est mieux ainsi.
J'ai enfin eu la permission de sortir après que j'ai apprit que mon grand frère soit vivant et réveillé. On me conduit dans la maison où il se trouve on se voit et parle ensemble. On a le même plan d'attaque mais c'est la fin qui change et je préfère nettement cette méthode. Bref je vous passe nos retrouvailles, je reste avec lui dans cette maison sans savoir ce qui nous attend dans quelques mois.
[FIN DU FLASH-BACK]
Henriké: (me regardant dans les yeux) tu es vraiment prêt à entendre cette vérité ?
Jorden: oui.
Henriké: ok. Elles sont dans un pays dont je tairais le nom et elles ont des enfants sans compter qu'elles sont en couple.
Nous:
Lui: alors oubliez les, pour elles vous êtes morts alors restez des morts pour pouvoir affronter votre ennemi.
Nous:
Lui: Sandro Lucio est dangereux mais pas plus que vous deux réunis.
Devon: c'est impossible. Elvira ne peut pas aimer un autre homme que moi.
Moi: Carmel n'est pas capable, elle ne risquera pas sa vie en se mettant en couple avec quelqu'un.
Devon: elle n'a même pas ce cœur là. Je la connais.
Henriké: ok. Mais moi je vous ai dit la vérité maintenant passez à autre chose.
Je reste figé sur place je ne sais pas quoi faire tellement je suis désorienté, entre la découverte de mon père et découvrir que ma meuf couche avec un autre homme me donne des nausées. Je regarde Devon qui est arrêté devant la bais vitrée il a les mains dans les poches je sais qu'il est énervé comme moi. Notre père est allé dans son bureau moi je reste assis à la même place.
Moi: (passant ma main sur mon visage nerveusement) m***e !