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Passion dangereuse

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Entre l’élan du cœur et la raison, Alice va devoir choisir.

Alice Molina est une jeune femme de 27 ans, réputée comme l’avocate la plus prometteuse des Etats-Unis malgré un parcours de vie tragique. C’est sans compter sur son frère Aaron, avec qui elle va traverser des étapes très difficiles. Entre l’élan du cœur et la raison, Alice va devoir choisir. Car quand le fils du plus grand mafieux du pays ne jure que par elle, les complications mélangées aux sentiments deviendront ingérables. Une histoire sensuelle, pleine de rebondissements à suivre sans modération.

Découvrez une histoire sensuelle, pleine de rebondissements... A suivre sans modération !

EXTRAIT

Il est 10 h quand nous nous réveillons. Nous sommes samedi donc je ne travaille pas. Je me lève, Tony dort toujours. Je prends une douche, et m’habille. Quand je sors de la salle de bain, Tony n’est plus dans le lit. Je me dirige vers le salon, il a commandé au room-service un petit déjeuner copieux. Je m’assois près de lui, il me dépose un b****r sur l’épaule.

— Je suis tellement heureux de te retrouver ma chérie.

— Moi aussi Tony, plusieurs souvenirs de nous me reviennent, mais je ne comprends pas pourquoi nous nous sommes séparés ? Pourquoi, ne nous sommes-nous pas retrouvés avant ?

À PROPOS DES AUTEURS

Octavie Demanne est une fervente lectrice et adore les romans, surtout la romance sentimentale. C'est une jeune femme de bientôt 30 ans, maman de deux petits garçons. Elle travaille comme aide-soignante dans un centre hospitalier du Nord de la France. Elle a commencé à écrire avec Passion dangereuse et ne compte pas s'arrêter en si bon chemin. Son rêve était de devenir auteur et il est en train de se réaliser.

Lety MT, jeune auteure de vingt-sept ans, écrit depuis octobre 2016. Elle a publié la trilogie Crack & Love au cours de l’année 2017 et prévoit d’écrire encore de quoi faire rêver ses lectrices. Adepte de sensation forte, ses personnages féminins sont toujours de sacrés bouts de femmes aux caractères bien trempés afin de refléter un des traits de sa personnalité. Indéniablement rêveuse et créative, Lety tente de donner le meilleur d’elle-même pour combler son lectorat.

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Couverture-1
Romance Éditions « Arts En Mots » Illustration graphique : © Tinkerbell Design Chapitre 1 * Commise d’office * Alice Je me présente Alice Molina, jeune demoiselle complètement banale. Avec tout de même une singularité : j’ai les yeux vairons. Je tiens cela de mon père, enfin, c’est ce que maman me disait. Un œil bleu, un œil vert, comme les deux facettes de ma personnalité : l’une simple et sage, l’autre brillante et pleine de caractère. C’est d’ailleurs grâce à cet œil que je suis devenue la plus grande avocate des États-Unis. Je suis réputée dans mon travail, célèbre même. Mais de retour à la maison, je suis moi, Alice, n’ayant personne, à part Filou mon chat noir, à retrouver. Je me sens insignifiante et sans importance. Sûrement une des conséquences de la vie. J’ai perdu mes parents très tôt et la seule famille qu’il me reste c’est mon frère aîné, Aaron. Il a cinq ans de plus que moi, ce qui le rend très protecteur, un peu trop même. C’est l’homme de ma vie si on peut dire. Je n’ai que lui, il n’a que moi. Nous nous complétons. DRING DRING  ! Super ! Le téléphone qui sonne me ramène à la réalité. Il est déjà plus de 9 h. — Alice Molina, j’écoute. — Alice, bonjour, tu es attendue en tant qu’avocate commise d’office, dans une heure… — OK, le nom du bénéficiaire s’il te plaît, que je puisse me procurer des informations ? — Je ne peux pas te le dire... on ne peut pas parler en ligne... viens vite. Quand j’arrive au tribunal pour rencontrer mon client, j’étais loin de me douter de ce qui allait arriver. Un brun ténébreux aux yeux noir intense qui doit mesurer au moins un mètre quatre-vingt-dix avec un teint hâlé, un charisme grandiose et un sourire qui me transperce le cœur m’attend patiemment. J’ai l’impression que ma démarche si sûre d’habitude est en train de vaciller. Je m’approche et ce que je découvre me refroidit instantanément. Ce magnifique spécimen n’est autre que Tony Galvano, le fils du très célèbre Roberto Galvano, un des plus grands cracs de la Mafia italienne. Et apparemment, c’est lui mon nouveau client. p****n ! Il pose son regard sur moi et je me sens me liquéfier sur place. Comment vais-je faire ? Le fils de l’homme le plus horrible des États-Unis me fait un effet incroyable et je dois le défendre. Il me fixe avec un regard si fiévreux, qu’il me déstabilise complètement. — C’est bon Tony, elle est là, maintenant tu parles. Articule méchamment un policier. Attendez, quoi ? C’est lui qui m’a demandé ? Il continue à me regarder et un petit sourire se dessine sur sa bouche charnue qui appelle au désir. Il se met alors à parler d’une voix grave et sensuelle, chaque mot qui sort de sa bouche est comme une délicieuse caresse. — Bonjour, Alice. Sa façon de prononcer mon prénom se répand en frisson de désir le long de ma colonne, jusque dans la pointe de mes seins. Merci mon dieu, j’ai mis un soutif rembourré. J’essaie de me montrer indifférente et professionnelle, mais c’est peine perdue, ce mec me rend dingue. — Bonjour Mr Galvano, j’aimerais à l’avenir que vous m’appeliez par mon nom et que vous me disiez la raison de votre présence ici. Nous n’avons pas gardé les cochons ensemble. Je prends cet air supérieur qui me donne l’apparence d’une vraie connasse. Mais je suis obligée d’enclencher mon mécanisme de défense parce que je n’ai qu’une envie, c’est qu’il me plaque sur cette table maintenant et tout de suite. Non, mais je pète les plombs ou quoi ? Je secoue la tête pour chasser ces pensées. Bon fini les fantasmes. L’agent de police sort de la pièce et je reprends : — Monsieur Galvano, dois-je me répéter afin que vous me répondiez ? Insisté-je. — Non, Mademoiselle, ce ne sera pas nécessaire... me dit-il en me fixant droit dans les yeux. C’est quoi ce délire, j’ai des frissons partout rien qu’au son de sa voix. Je n’imaginais pas que me retrouver seule avec lui dans une petite pièce confinée aggraverait les choses. Bon, il faut vraiment que je me ressaisisse. Maintenant, il me faut savoir pourquoi il est ici, ce qu’il a bien pu faire. Oh mon dieu, j’espère qu’il n’a tué personne ? Imaginez un peu Alice Molina, troublée par un tueur, non, non et non. — Mademoiselle Molina, je n’ai tué personne. Si c’est ce que vous pensez. Putain ! En plus il lit dans mes pensées. Il cherche à me regarder dans les yeux, je fais mine de tenter de retrouver un document dans ma pochette. — OK, mais pourquoi sommes-nous ici ? — Je suis innocent. — Il va falloir être un peu plus précis Tony. Toutes les personnes que je rencontre dans mon métier sont innocentes, avoué-je sur un ton sarcastique. — Vous m’appelez par mon prénom, mais moi je ne peux pas le faire ? Il rit. p****n de connard arrogant ! Je jette un œil vers lui, le vert pour être précise, mon côté flamboyant. Et je lui réponds d’une voix blanche : — Monsieur Galvano, vous avez fait appel à moi. Si vous ne pouvez pas être plus précis quant à votre présence ici et à la mienne de surcroît, je pense que nous allons en rester là. J’ai d’autres choses à faire que de jouer au chat et à la souris avec vous. — Si seulement je pouvais t’attraper. Choqué d’avoir dit ça à voix haute, il se ferme et prend une allure que je ne lui avais pas encore vue. — Je suis innocent. J’étais au mauvais endroit au mauvais moment. Rien de plus. Bon OK c’est parti... C’est le moment où on va commencer à s’amuser. — Mr Galvano, allons discuter dans mon bureau et vous me raconterez tout cela là-bas. — Bien Mademoiselle Molina. Sa réponse me fait l’effet d’une douche froide, notre jeu est fini. Je ne me comprends plus, je viens de lui dire d’arrêter et maintenant tout mon corps en redemande ! Nous traversons les couloirs, le personnel de ma boîte nous observe. Les filles sourient et murmurent entre elles. Mon client est sexy c’est vrai, mais c’est un criminel. Il ne faut pas l’oublier. Nous entrons dans ma zone de travail. Un bureau à mon image, clair, lumineux et blanc. Le blanc me parle, car il exprime l’honnêteté, mais aussi la sensibilité, il peut facilement être taché ou sali par des personnes mauvaises. Je m’assois derrière mon bureau et lui fais signe de prendre place. Il y a dans la pièce une sorte de petit sofa noir à la disposition de mes clients. Cela crée une sorte d’intimité qui les met en confiance. C’est important pour une meilleure défense. Je me munis d’un calepin et de mon stylo et me prépare à dactylographier les évènements qu’il s’apprête à me rapporter. — Bon, allons-y, racontez-moi, où étiez-vous et qu’avez-vous fait ? Enfin qu’est-ce que l’on vous reproche ? — Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai envie de le croire, ou est-ce que je le désire tellement, que je veux me convaincre qu’il le soit ? Reprends-toi Alice, reprends-toi grrr ! — Avec la réputation de mon père, tout le monde pense que je suis comme lui. Mais ce n’est pas le cas. J’étais devant un bar au coin de la 38e et de la 59e, un homme est venu nous aborder mon amie et moi. Il s’est montré odieux avec elle. Je l’ai donc cogné. La police est arrivée. Le gars avait des sachets de cocaïne sur lui. Ils m’ont embarqué pensant que je lui avais fourni, et qu’il me devait de l’argent. D’où l’altercation. Fin de l’histoire. Mais ce n’est pas ce qu’il s’est passé. Attend, attend il vient de dire « elle » ! p****n c’est qui ? Respire, il n’est pas à toi. Puis pourquoi suis-je jalouse d’une femme en compagnie d’un homme que je connais depuis quoi ? Quinze minutes ? — Très bien, donnez-moi plus de détails, qui était avec vous ? Y avait-il des témoins ? Pourquoi cet homme s’est-il adressé à vous ? Que vous a-t-il dit pour que vous le frappiez ? — La personne qui m’accompagnait est une amie comme je vous l’ai expliqué. Son identité n’est pas nécessaire à notre affaire. Pas de témoin à ma connaissance. L’homme en question l’a interpellé en lui disant, je cite : « Je baiserais bien ton petit cul s****e ». Je lui ai demandé de retirer ce qu’il avait dit et de présenter des excuses, mais il a alors répondu « Quoi tête de nœud, tu ne veux pas partager ta p**e ? ». Je l’ai cogné, les flics sont arrivés à ce moment-là et à cause de mon nom, ils ont cru que la drogue venait du cartel de mon père. Voilà, ai-je été suffisamment clair ou vous faut-il plus de détails, Alice ? dit-il en braquant son regard droit dans le mien. Et voilà, il recommence avec ses Alice de sa voix si magnifique qui me fait vibrer. Cependant, je me demande pourquoi il ne me donne pas l’identité de sa mystérieuse amie. — Mr Galvano, c’est important de savoir qui vous accompagnait au moment des faits. Cette amie pourrait témoigner en votre faveur. — Je vous dis qu’il n’est pas nécessaire de l’importuner avec ça. Son ton change et devient protecteur. Pourquoi veut-il autant la protéger ? Que cache-t-il ? — Mais ça pourrait vous innocenter, vous comprenez ça ? Vous risquez vingt ans de prison ! Vingt ans enfermés ! Bordel, vous êtes sérieux ? me mis-je à crier. Mais que m’arrive-t-il, je ne le connais pas et pourtant l’idée de ne plus le voir m’effraie au plus haut point. Je me tourne face à ma fenêtre qui donne sur Central Park le temps de reprendre mon calme. Mon cœur tape violemment dans mes oreilles. Tout à coup, je sens un frisson me parcourir, son odeur plus proche de moi, puis sa main se poser sur ma hanche. Je n’ose pas me retourner. Pourquoi fait-il cela ? Je ne peux pas, je ne veux pas Chapitre 2 * Passé effacé * Tony Elle est là devant la fenêtre de son bureau qui surplombe le plus beau parc de ville des États-Unis. Elle est foutrement belle. Son parfum est le meilleur que j’ai senti dans ma vie. Un mélange de violette et de bonbon au goût sucré dont ma langue se languit de retrouver la saveur. Elle est énervée et ça m’excite davantage. Je trouve tellement étrange qu’elle ne se souvienne plus de moi, mais ça remonte à si longtemps. Je suis sûr que mon père a su faire jouer ses connaissances afin que toute sa famille et elle, m’oublient, nous oublient. Je m’approche d’elle et je ne peux m’empêcher de la toucher. Je voudrais lui dire pourquoi je ne peux pas parler de mon amie, mais il y a bien trop d’enjeux. Je caresse sa hanche, elle frissonne de désir, j’espère qu’elle pourra reconnaître cette connexion qu’il y a toujours eu entre nous. J’approche ma bouche de son cou, son souffle devient court, mon envie est telle que j’en ai les mains moites. La toucher après toutes ces années, c’est… Je n’ai pas de mots. Je pose un doux b****r sur sa nuque, elle se retourne brusquement et... — Aïe ! J’aurais dû m’y attendre. J’ai pris une bonne gifle, mais ça ne fait pas dégonfler ce qu’il y a dans mon pantalon. — Vous êtes mon client ! Qu’est-ce qu’il vous prend ? Elle est super énervée, j’adore. Pour la peine, je vais devenir le plus gros des cons. J’aime voir la flamme, la défiance qui jaillit de son regard magnifique. J’ai toujours l’impression que selon les moments, selon ses émotions, l’un de ses yeux est plus intense. Comme si chacun des deux avait sa mission. Le bleu, réagit à tout ce qui l’agace, la tourmente. Et le vert est incontestablement celui que je préfère, il révèle sa profondeur, son désir, son envie de moi. Revenons-en à nos moutons, car elle va finir par voir que je suis en analyse devant elle. Le con passe à l’action. J’espère que je réussirai à la mener où je veux. — Oui votre client, vous prenez les pots-de-vin ? Parce que j’ai envie de vous prendre maintenant sur votre bureau. — Je la vois qui devient rouge de rage et il me semble que son œil bleu, qui d’habitude est le moins lumineux des deux brûle tout à coup. Elle est tellement sexy. — Sortez ! Sortez de mon bureau tout de suite et demandez un autre avocat, il est hors de question que je vous défende ! s’égosille-t-elle. Je sens bien qu’au fond d’elle, elle ne veut pas que je parte. Cela voudrait dire que nous ne nous reverrions pas et à en juger par la réaction de son corps à ma proximité, elle désire la même chose que moi. Peut-être que c’est ça son problème, elle me désire autant que je la veux, nue contre moi. Je vais lui laisser un peu d’air. — Je vais sortir Alice, mais ce sera vous mon avocate et personne d’autre que ça vous plaise ou non. J’utilise un ton ferme et sans appel. J’arrive à hauteur de la porte pour sortir. — Tony ! Attendez ! Elle pousse un profond soupir. Son souffle en dit long. Elle me regarde avec intensité, c’est son œil bleu qui a pris le dessus, elle garde son calme. Elle tente de se maîtriser. Il faut que je la récupère. Elle prend une grande inspiration : — Je veux bien vous défendre, à une condition ! Tout le temps que durera ce procès, pas de gestes, de paroles, d’attitudes déplacés ?

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