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MIDNIGHT ROSA

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Blurb

Melina Ortiz est une femme indépendante d'origine portoricaine, habitant depuis toute petite à Chicago avec pour seule famille son frère Sebastian, sa cousine Maya et sa grand-mère paternelle Sylviane, elle se retrouve confrontée aux règles de la rue depuis l'âge de 6 ans. Ayant son propre son propre gang "La Santa Rosa" et ses propres contacts dans le milieu de la pègre et son passé au Japon qui depuis quelques années la hante après une guerre de gang où elle a failli y laisser la vie, elle verra que ses affaires vont être perturber par une organisation criminelle qu'elle a auparavant déjà côtoyer.

Mais que cache cette arrivée soudaine ?

Aura-t-elle la chance d'affronter son passé ?

Trouvera-t-elle l'amour, le vrai ou l'illusion d'une nuit ?

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CHAPITRE 1
Chicago. Une belle ville, avec beaucoup de facettes sombres. Là où la pitié n'a pas de place, où le pardon n'existe pas. La mort prédomine certaines rues pas très fréquentable de nos jours. Au volant de ma Ferrari 918 Spyder, je regarde le quartier dans lequel j'ai grandi. Je soupire en me concentrant sur la route, il est 6h du matin et je n'ai pas dormi de la nuit, les affaires n'attendent pas comme on dit. En rentrant chez moi, je suis épuisée. J'enlève ma veste, me déchausse et pose mon sac dans l'entrée avant de m'affaler sans retenue sur mon canapé, je me remémore les événements de cette nuit : 6h plus tôt : Après avoir fait quelques deals avec des contacts de longue date, je pars en direction d'un bar où un de mes gars m'a demandé de le rejoindre. Après avoir garé ma caisse, j'entre dans le bar et vois immédiatement le gars qui m'a appelé : Jordan, grand, blond, cicatrice sur le visage, avec la carrure d'un boxeur. C'est mon bras droit dans mon gang, il m'informe des dernières nouvelles. Je m'assois sur la banquette en face de lui qui remarque immédiatement ma présence. Jordan : Tu as été rapide, chefe ! Il sourit légèrement moqueur et je hausse un sourcil en souriant, moqueuse à mon tour. Melina : Tu m'as demandé de venir, je suis là. C'est quoi le problème ? Il ricane légèrement puis il reprend son sérieux. Celui qui me dit qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Je le sonde en silence en attendant qu'il continue. Deux whiskys arrivent sur la table puis Jordan ouvre la bouche : Jordan : Notre informateur, Tim, il est en garde à vue pour avoir tabasser un flic... Je jure lorsqu'il termine sa phrase. Je regarde un instant par la fenêtre qui mène dans la rue principale de Chicago en serrant les dents. Melina : p****n ! Il peut pas rester tranquille ce petit con ! Jordan : Tu le connais. Je me ronge un ongle, sur les nerfs, puis prend mon verre pour le boire cul sec. Melina : On va lui parler, viens avec moi ! Jordan acquiesce puis nous sortons du bar et nous nous dirigeons vers la voiture, je démarre en trombe et ne ralentis pas jusqu'au poste de police. J'entre dans les bureaux de la police tel une furie, ce qui attire le regard de la policière à l'accueil. Policière : Que puis-je faire pour toi, Melina ? Melina : J'ai cru comprendre que Tim était encore là pour... Je fais mine de réfléchir et finis ma phrase. Melina : ... La troisième fois cette semaine ? Je me trompe ? La policière qui a l'habitude de voir Tim sourit. Elle a l'air d'aimer le ton que j'ai pris tellement que ce gamin m'énerve. Policière : Effectivement, suis moi. Je suis la policière qui m'accompagne jusqu'à la cellule de garde à vue où se trouve Tim. Elle hoche la tête pour me saluer et s'en va. Je croise les bras sur ma poitrine et regarde Tim d'un oeil mauvais. Il soupire en se passant une main sur le visage. Melina : Si tu veux que j'investisse dans une cellule, fais moi signe, t'as l'air d'aimer passé ton temps ici. Ma remarque le fait rire sans joie, ce qui tombe plutôt bien, je ne suis pas d'humeur à vouloir me marrer en ce moment même. Tim : C'est lui qui à commencé ! Melina : Fais pas ton gamin ! Combien de fois je t'ai dit de ne pas te faire remarquer, hein ?! Mais ta tête de petit con sans cervelle ne veut rien comprendre, on dirait ! Tim baisse la tête pris au dépourvu. Je soupire en décroisant les bras et le fixe sans détourner le regard. Tim : Ok ! J'ai merdé encore une fois et quoi ! Ces enfoirés de flics ont tiré sur mon père et je dois rien faire ! Melina : Ce n'est pas une raison ! Je t'ai dit de te tenir tranquille jusqu'à ce que je trouve l'assassin de ton père ! Tu crois que c'est pourquoi que tu travailles pour moi ?! J'ai haussé le ton et je ne m'en cache pas. Tim ne parle plus et je me calme peu à peu en inspirant profondément. Tim : Tu as eu des infos ? Il parle d'une voix basse comme un murmure. Je me mords la lèvre et secoue la tête de gauche à droite, sentant le regard de Tim sur moi je me tourne vers lui. Melina : Je t'ai promis que je trouverai le tueur de ton père mais... Bordel, Tim, c'est pas compliqué ce que je te demande... T'as juste à éviter de te mettre en danger, p****n ! Je soupire de nouveau et lui dit que je ne peux pas laisser passer et que je le sortirai de garde à vue demain matin pour qu'il apprenne de ses erreurs. Accompagné de Jordan, je quitte le commissariat. Arrivé sur le trottoir, mon téléphone se met à sonner, je le prends dans ma poche de jean et regarde l'écran. C'est Maria, ma meilleure amie, la femme la plus innocente que je connaisse dans cette ville. Je décroche. Melina : Salut ma belle ! C'est rare que tu m'appelle à cette heure-ci. Quelque chose ne va pas ? Maria : Melina ! Rapplique à la course ! Je ne comprends pas immédiatement, donc je lui demande de répéter plus calmement et surtout moins vite. Melina : Du calme l'artiste ! Je n'ai rien compris, tu peux répéter si tu veux bien ? Maria : Ton frère à eu un accident avec sa caisse à la course ! Ramène ton cul maintenant ! Quoi ?! Je raccroche en jurant tous les noms d'oiseaux que je connaisse et Jordan s'en rend compte. Jordan : Quelque chose ne va pas, chefe ? Melina : Mon frère a eu un accident à la course de rue de ce soir, monte ! Il monte en voiture et en 10 minutes on est déjà à la course où les ambulances sont déjà sur place. Seigneur, faîtes que les flics ne rapplique pas. Je sors de la voiture et me dirige vers Maria : une petite rouquine aux yeux vert, cheveux mi-long et frisés avec une tenue décontracté mais chic. Elle me remarque et me bloque le passage. Melina : Qu'est ce qu'il s'est passé ? Comment ça se fait que tu es là ? Maria : Je te rappelle que Josh vient souvent ici, il m'a appelé dès que l'accident s'est produit. Elle pointe discrètement du doigt Josh qui est au téléphone, il me salue d'un signe de la main tandis que je hoche la tête et me tourne ensuite vers Maria qui me regarde, compatissante. Je vois derrière elle que les ambulanciers ont mis Sebastian sur un brancard et ils le monte dans l'ambulance, il n'a pas l'air conscient et ça me bouffe au possible. Maria : Hé ! Ça va aller, on peut aller le voir après si tu veux, mais d'abord Josh voudrait te parler, c'est urgent. Je la serre contre moi un instant en la remerciant et lui dit de rentrer chez elle, puis je me dirige vers Josh qui est appuyé contre sa Porsche, je le rejoint, me cale à côté de lui et allume une cigarette, stressé au possible. Josh : J'ai vu ce qui s'est passé, ce n'est pas un problème mécanique ou quoi. Melina : Comment tu peux en être sûr ? Il se tourne vers moi et me fixe, il est très sérieux, d'habitude Josh est du genre à faire des blagues pourries à longueur de journée mais là, c'est différent. Il sort son téléphone de sa poche, pianote quelques instants dessus et finit par me montrer l'écran. Une vidéo de la course de Sebastian. Tout se passe bien jusqu'à ce que son adversaire en McLaren le percute sur le côté pour lui faire perdre le contrôle de la voiture et fasse plusieurs tonneaux puis s'arrête laissant derrière elle des bouts de carrosserie et la vidéo s'arrête. Encore sous le choc, je secoue la tête en maudissant le conducteur de la McLaren. Josh : Ton frère s'est chercher des embrouilles ces derniers temps ? Melina : Non, pas à ma connaissance en tout cas et je ne connais personne avec ce type de voiture non plus. Je ne suis pas étonné qu'il me demande ça. Sebastian est du genre à se foutre dans des embrouilles sans nom qui n'ont ni queue, ni tête. Mais ces derniers temps, il n'a causé du tort à personne, sinon j'en aurais entendu parler. Je tire une dernière fois sur ma cigarette et l'écrase dans un cendrier improvisé. Je regarde le vide en me remémorant la vidéo. Josh : Qu'est ce que tu vas faire maintenant ? Je hausse les épaules sans le regarder et je lui réponds : Melina : Le plus logique serait que je lui demande moi-même. Merci pour ton aide, je t'en dois une Josh comme toujours. Je le salue puis rejoins ma voiture, j'ai demandé à Jordan de rester sur place au cas où. Dans le hall des urgences, je communique le nom de mon frère à la secrétaire qui me donne son numéro de chambre. Je toque à la porte et j'ai la surprise de le voir réveillé. Ouf ! J'ai imaginé le pire, heureusement c'est n'est pas le cas. Sebastian me remarque et me sourit en me faisant signe de rentrer. Il me serre contre lui un court instant puis je m'assois à côté de lui. Melina : Ça va toi ? Tu m'as fait une peur bleue ! Sebastian : Ça va Mel, t'en fais pas, par contre, si je retrouve cet enfoiré, je lui fais la peau ! Je sourit légèrement, au moins il a encore sa légendaire impulsivité c'est déjà bien ! Melina : Tu as vu son visage ? Sebastian : Non et ça me met hors de moi ! Je te jure frangine que je ne me suis pas attiré d'ennuis, je ne sais pas pourquoi ils veulent me buté ! À ces paroles, mon cerveau carbure à cent à l'heure. Je ne sais pas non plus qui ça peut être mais il a frappé à la mauvaise porte c'est certain ! Melina : Ok cowboy je te crois, en attendant tu as besoin de repos, je reviendrais demain. Maintenant... Je soupire encore et décide d'aller me reposer quelques heures avant d'entamer une nouvelle journée. Je me réveille 4h plus tard, stressé comme je ne l'ai jamais été. D'abord, mon informateur en garde à vue et ensuite mon frère à l'hôpital, génial ! Je sors de la douche déjà épuisé. Je met un petit haut confortable, un jean clair auquel j'ajoute une ceinture noir. Je rajoute un bracelet en or et des boucles d'oreilles créole en argent. Pour le maquillage, un peu de fond de teint, du crayon pour les yeux, un trait d'eyeliner et du mascara. Je brosse mes cheveux quand mon téléphone vibre, je décroche. Melina : Ortiz. Maria : Mel, alors comment va ton frère ? Je serre les dents lorsque je réalise que je n'est pas rappeler Maria. Melina : Hum... Désolé de ne pas t'avoir rappeler je suis rentré très tard mais il va bien. Maria : Ouf ! Tant mieux ! Je ne voulais pas qu'on le mette dans le coma ! Toujours dans la franchise ! Je ricane. Maria : Il y a quoi de drôle ? Melina : Oh rien.Tu viens tout juste de dire tout haut ce que je pensais tout bas ! Elle rigole, soulagée. Je me dirige à la cuisine pendant que nous discutions encore un peu puis nous raccrochons. Quelques minutes plus tard, je suis au commissariat en train de faire sortir Tim de garde à vue puis je le ramène chez lui en le prévenant que je ne serais pas aussi conciliante la prochaine fois avec lui, il a approuvé et je suis partie voir Sebastian à l'hôpital. Sebastian : Sérieusement ? Vous allez me garder pendant 1 semaine ? Oh la poisse ! Melina : Arrête de faire ton gamin c'est pour ta santé. Infirmière : Je suis désolé, mais nous devons faire encore énormément d'examens pour voir s'il n'y a pas d'affections, de cailloux ou une éventuelle opération a prévoir suite à votre accident. Mon frère soupire en croisant les bras comme un enfant qui fait du boudin ça pourrais me faire rire dans d'autres circonstances. Melina : Sebastian, tu vas écouter les médecins et arrêté ton jeu d'enfant battu si tu dois faire un petit séjour ici, tu le feras point barre. Je regarde l'infirmière d'un air entendu auquel elle me renvoie l'appareil puis elle quitte la chambre. Je me tourne vers mon frère qui est soudain pensif. Sebastian : Je ne peux pas rester ici ! Si ces hommes veulent me buté, ils le feront sans problème si je pars pas d'ici ! Melina : Sauf si un de mes gars est dans le coin. Avant même qu'il lève la tête vers moi, je suis déjà en train d'envoyer un message à Roberto pour qu'il vienne surveiller discrètement la chambre de mon frère pendant son séjour. Sebastian : Et je peux savoir qui t'envoie ? Je lève les yeux de mon portable et le range dans ma poche en fixant Sebastian un petit sourire en coin. Melina : Roberto. Il viendra surveillé durant ton séjour ici, personne ne t'approchera, ne t'inquiète pas. Il hoche la tête pour confirmer, je décide de manger avec lui avant de repartir dans le flot de la circulation. Je m'arrête vite fait dans l'épicerie du coin dont Ken Kill, un grand ami est le propriétaire et le mec le plus nonchalant, mais aussi le plus dragueur de cette ville. Grand, mince, bien taillé, brun aux yeux bleu et un sacré caractère aussi ! Je me dirige vers lui et il me sourit de toutes ses dents lorsqu'il me voit arrivé. Ken : Salut Mel ! Je pensais que tu voulais plus me voir ! Ce mec est le roi de l'ironie. Je hausse un sourcil tout en le défiant du regard. Melina : C'est vrai, tiens, je me demande encore pourquoi je suis venue ici ! Il me sort son sourire 100% craquant et part ensuite dans l'arrière boutique et en reviens avec un sac rempli d'argent. Melina : Eh bien, tu as sacrément bien vendu cette semaine. Ken : Qu'est ce que tu crois ma belle ? Je ne suis pas du genre à faire les choses à moitié ! Je rigole de son air d'abruti sans cervelle, mais derrière cette facette de dragueur se cache un ami loyal. Melina : T'es le meilleur, Ken ! Nous nous faisons une accolade et je repars jusqu'à ma voiture en planquant le sac sous le siège quand mon téléphone sonne. C'est ma grand-mère, je m'en veux de ne pas être aller la voir. J'inspire profondément puis décroche. Melina : Allô ? Sylviane : Hola chiquita, ya no vienes a verme, todo va bien ? (Bonjour ma petite, tu ne viens plus me voir, tout va bien ?) J'allais me douter qu'elle m'appeler pour ça, je me sens bête d'un seul coup. Melina : Lo siento abuela, no tuve mucho tiempo pero prometo que lo compensaré. (Désolé mamie, je n'ai pas eu beaucoup de temps mais je te promets que je me rattraperai.) Ma grand-mère laisse planer un petit silence avant de répondre : Sylviane : Eso espero, mi grande, te extraño mucho a ti y tu hermano. (J'espère bien ma grande, vous me manquez beaucoup ton frère et toi.) Je plisse les lèvres de toutes mes forces pour ne pas éclaté en sanglot. Je m'en veux tellement de ne pas être là, alors qu'elle était près de moi lorsque j'ai frôlé mort au Japon après cette guerre de gangs. Je me ressaisis et lui répond : Melina : Iremos a verte, te lo prometo abuela. Cuidate, te queremos. (On viendra te voir je te le promets mamie. Prends soin de toi, on t'aime.) Je raccroche en calmant mes émotions, quand du coin de l'oeil j'aperçois un cortège d'hommes escorté quelqu'un que je n'arrive pas à distinguer. Les hommes autour de lui sont en tenue décontracté mais l'homme en question n'a pas l'air banal. Je plisse les yeux pour tenter de voir depuis là où je suis sans succès. Melina : C'est quoi ce foutoir ? Comme si Jordan lisait dans mes pensées, il m'appelle pile au même moment, je décroche. Melina : Oui ? Jordan : Tu ne devineras jamais qui vient tout juste d'arriver en ville. Melina : Non, mais tu vas me le dire. Il ricane dans le combiné avant de reprendre avec plus de sérieux. Jordan : Takumi Fugita et toute sa clique, tu t'en souviens ? Je déglutis difficilement en entendant le nom. Mon coeur se met à palpiter comme un fou dans ma cage thoracique. Takumi Fugita, tu parles que je m'en souviens ! Je faisais affaire avec lui au Japon et c'est pile à ce moment qu'il y a eu le règlement de compte avec le gang rival, ce fameux jour où il avait pris la fuite comme un lâche et m'a laissé pour morte. Heureusement pour moi à ce moment là, je m'étais mis les Yakuza dans la poche et ils m'ont sauvés la vie. Depuis ce jour, Takumi ne m'a plus jamais appelé. Après la mort de mes parents, je le voyais comme un père quand je travaillais pour lui. Mais cet abandon m'a donné un peu de haine envers lui. D'ailleurs si je me rappelle bien, il a un fils biologique, Naoki , un grand blond toujours bien coiffé, bien habillé avec des yeux vert gris, le stéréotype même d'une diva capricieuse. Il me semble qu'il a écrit pas mal de romans érotique qui ont bien marcher au Japon, tu parles d'un héritier, toi ! Ça l'a fout mal pour une organisation criminelle comme eux. Mais je dois dire qu'il est touchant. Il a aussi un fils adoptif, Tora, lui c'est complètement différent de Naoki. Grand, musclé, peau légèrement mate, cheveux longs noir, des yeux de couleur ambre et une musculature tel un Dieu grec. Ce mec est un fantasme à lui tout seul, il m'a intriguée plusieurs fois. C'est le meilleur homme de main de Takumi aussi performant et intelligent que sexy, une bombe sur patte ! Pendant que je rêvasse, Jordan me sort de mes pensées idiotes. Jordan : Chefe ? T'es toujours là ? Je me ressaisi illico ! Melina : Oui... Oui ! Je suis là ! Et ? Jordan : Il risque d'y avoir un gros deal et nos affaires risquent d'en pâtir pendant quelques temps... Melina : Quoi ?!! Il en ai hors de question, tu m'entends ?!! Je déverse ma bile en criant dans le combiné, j'imagine bien Jordan en train d'écouter ce que je dis à au moins une vingtaine de mètres de son oreille tellement que je hurle ! Jordan : Wow ! Du calme ! Je comprends plus ce que tu me dis, tu parles trop vite ! Je me calme et répète, je déteste me répétée mais je dois avouer que je suis en tort pour le coup. Melina : Je disais que ce n'est pas parce que Takumi vient d'arriver en ville qu'on doit tout mettre en stand by et c'est non négociable ! On fait comme d'habitude, point barre ! Jordan : Très bien. Je te tiens au courant pour la suite. Je raccroche tendu comme un string. Je marmonne les choses les plus incompréhensibles que je n'ai jamais dit de ma vie puis je pars comme une tarée en attisant la curiosité des quelques passants dans la rue. Depuis quand je suis obligé de dire amen pour un con comme Takumi ? C'est mal me connaître ! S'ils croivent que je vais bien sagement me laissait faire, ils se sont lourdement trompés les gars !!

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