J'ai rêver de TOI

Je me lève comme toute les autres années depuis mes trois ans, depuis mon entrée à la maternelle, puis à la primaire, puis au collège et enfin au lycée, mais jamais aucune étape ne m'as été aussi difficile que le lycée, j'en ai vu des souffrances et des douleurs, j'en ai vu des vertes et des pas mûres, je me croyais plus protéger, lorsque je serais dans la cours des grands, je pensais que les gens plus ils grandissaient et plus ils mûrissaient dans leurs esprit, je croyais que je serais normal, je n'avais jamais pensée que tout ce qui m'était arrivé l'année dernière allait se produire, et j'espérais aussi que cette année soit plus calme que le cauchemar que j'ai vécu dans mon ancien lycée ne recommence plus, tout cela à cause d'une rumeur, à cause d'un garçon, à cause d'une fille, une rumeur qui m'as tuée et à emmener avec elle mon frère sous terre. Je me souviens de ces coups qui m'ont été porter, parce que je ne ressemblais pas aux autres élèves, parce que je ne prenais pas soin de moi, parce que j'étais faible, parce que j’avais peur, ils m'ont fait du mal, ils m'ont humilié et mon frère avais fini par voir la tristesse quotidienne sur mon visage, il as alors décidé de découvrir ce qui se passait et m'as retiré de ce lycée pour me protéger parce qu'il m'aimais, il m'as défendu et aujourd'hui ces ce qui lui as retiré la vie, je l'ai tuée parce que je me suis tu, parce que je me suis laisser faire, j'ai souffert de sa mort, le reste de ma famille aussi, notre grand frère avait perdu son ami mais aussi son bras droit, ma mère avait perdu un fils, et mon père a perdu sa petit boule de fierté, il était tellement jeune, et moi, moi, OUI MOI, qu'ai-je perdu, j'ai perdu ma raison de vivre, mon soleil, ma joie, j'ai perdu mon deuxième grand frère, j'ai tout perdu, ça fait mal, mal rien que d'y penser, il n'avait rien fait, il m'as juste défendu puis il as été pris pour cible, cible parce qu'il protégeait sa sœur, mort pour moi, aïe la douleur qui arrachait mon cœur rien qu'ne pensant à son visage, au son de sa voix, à ces éclat de rire, j'ai mal, mal en voyant les cernes sous les yeux de ma mère, les rides sur le visage de mon père et la colère sur celui de mon grand frère, une colère qui ne le quitte jamais, jamais elle ne l'as quitter cette colère, depuis l'année dernière, depuis la mort de notre frère. Puis les jours son passée, ont as essayer de nous relever, sa été dure, ont faisaient semblent de l'avoir oublié, je faisais exprès de me concentrer dans mon travail scolaire, ma mère essayait de gérée ces émotions, mais je savais qu'une fois seul dans son lit, plonger dans le noir, les larmes coulaient à flots sur son visage, je savais que chaque soirs ces yeux était trempée à ne plus en finir, et je ressentais sa douleurs, même à travers les murs, sa douleurs nous hantais tous, mon père ne rentrais plus, mon frère sombrait jours après jours, tout c'était cassée en nous, comme un vase en porcelaine, les morceaux ne ce colle plus, les morceaux resteront brisée et peut être à tout jamais, il était partit, ces photos eux étaient encore là poser sur la commodes du salon, des photos qui nous rappelais jours après jours son sourire qui était contagieux, ou ces blagues qui ne faisaient rires que lui, mon cœur ce serre, j'ai mal, j'ai mal. Ma mère: Camilia tu es prête, Moi: Oui, maman Je m'approche d'elle, elle était assise dans le salon, je vais la voir, et m'assis à ces côté, je la prend dans mes bras, pour me soulager, pour ne pas me rappeler, pour être courageuse, pour ne plus avoir peur, tellement de sentiment que j'aimerais éradiquer en prenant ma mère dans mes bras, mais ce geste fut vain, tous ces sentiments ce multipliait à chaque fois que je pense à ou est-ce que je devais allez, j'avais tellement peur de revivre le même cauchemar, de revivre cette horrible cauchemar, j'ai mal rien qu'en pensant à ce que j'allais devoir faire, rien qu'en pensant à ce que je devais oublié et mettre de côté, mais à chaque fois l'image de son corps étendu au sol devant mes yeux m'effrayais de nouveau, son corps, et son visage qui était livide comme un drap blanc, le sol qui s'imprégnais de son sang, et ce trou béant qui ce trouvais au milieu de son cœur, les larmes remontent, je ne pouvais pas rester à côté de ma mère je devais partir me vider ailleurs, je ne devais pas lui montrer que j'étais encore plus faible que ce que j'étais avant, je leur avaient promis d'être solide, que ce qui c'était passer ne devais pas me gâcher la vie, et je leur ai promis que je ne pleurerais pas mais, il était impossible pour moi de me contenir, la douleur était toujours plus forte, et chaque jours elle reprenais le dessus, Moi: Maman j'y vais je ne veux pas être en retard, je préfère arriver à l'heure est me poser Elle me regarde avec tellement de tristesse dans son regard, elle repensait à lui, je le sais, je le vois, ont avait dit que l'ont devaient l'oubliée, que c'était le destin qui en avait décidé ainsi mais cette excuse ne nous aidais pas, ce n'était pas le destin qui en avait décider ainsi, mais l'homme, ce monstre qui nous l'as enlevé, pourquoi ? pour un rien, de la jalousie, ou un mensonge, il n'avait pas le droit de nous le retiré de cette façon. Je fais un bisous à ma mère et m'en vais, je n'y arrivais pas, je n'arrivais plus à faire semblant, je me suis dépêcher d'aller dans la cage d'escalier et je m'y suis assise, seul dans le froid, je me suis caché et j'ai pleuré, j'ai vider toute les larmes de mon corps, toutes les souffrances et douleurs, tout ce mal qui me grignotais de l'intérieur, j'aimerais le revoir, le toucher, lui dire que je l'aime, le voir sourire, revoir la vie dans le regard de ma mère, revoir un sourire sur le visage de mon père, et revoir mon grand frère discuter avec nous, tout était finis, tout, tout le monde était seul, chacun de nous était seul dans notre tristesse. Je sentis mon téléphone vibrer, je regarde l'écran et vis le numéro de Shirine s'afficher, ma seule meilleure amie, la seul qui est resté pour moi, la seule personne de ce monde sur qui je peux compter, elle aussi elle as décider de quitter notre ancien lycée, pour me suivre, dans le nouveau, pour être près de moi, pour me soutenir mais aussi pour me protéger, elle savais que j'étais encore faible, elle était la seul à le savoir, je versais mes larmes en sa présence, sans avoir peur d'être jugée, sans avoir peur d'avoir trahi ma promesse, mais cette fois si je voulais être seule, pleurer seule, alors je repose mon téléphone dans la poche de mon survêtement et je continue de pleurer les larmes de mon corps; ???: sava, tu vas bien, tu as besoin d'aide Je lève ma tête, pour voir de qui s'agit-il, qui avait demander si j'avais besoin d'aide, de l'aide, pourquoi faire, personne ne pouvais m'aider. Mais ce visage je ne le connaissait pas, et je ne l'avais jamais vu dans notre immeuble, je ne l'avais jamais vu dans la cité non plus, un garçon d'as peu près mon âge, beaucoup plus grand et plus costaud que moi, yeux bleu, châtain, habillé d'un sweet à capuche est d'un jean avec une égratignure surement faite exprès pour donner du style et son cartable noir sur le dos, il était penchée sur moi, et je regardais, il cligna des yeux deux fois puis s'accroupie face à moi, ????: Je m'appelle Haron tu as besoin d'aide, tu veux que je t'appel quelqu'un Je le regarde une nouvelle fois, je fus choquer, il était beau mais en plus gentil, soit cela cachait quelque chose de bien horrible soit cet être n'était que le fruit de mon imagination, je le regarde de nouveau, beau, oh que oui, il était tellement beau et moi assise au sol, les yeux rouges à cause du l****s de larmes, mes cils ont dû tous s'envolée avec la douleur, et mon nez, ah mon nez lui il devait sûrement coulée à flot, j'essaye de me lever, sans lui répondre, j'e n’avais rien à lui dire à près tout, il ne pouvait pas m'aider de toute façon, alors autant fuir, mais soudain il me tendit un mouchoir, je le regarde perplexe, peut être que le mouchoir était empoisonnée, oui, j'étais devenu très parano, Haron: Tient essuie ton visage, je vais être en retard, je vais devoir te laissé mais j'espère qu'on se reverra Je prends le mouchoir de ces mains et je le remercie, avoir répondu lui fit un choc, il c'est peut être dit que j'étais sourde et muette, il s'incline face à moi et s'en va ensuite, je me dépêche de nettoyer mon nez et je fil à mon tours au lycée, avec en tête de ne plus jamais rencontrer ce jeune homme........ A SUIVRE