LA LÉGENDE DU PRINCE ORPHELIN.

*Royaume de Galaad. (Une servante arriva en courant devant le trône du roi David. Elle se courba pour saluer). Servante : longue vie au roi. Roi : qu'y a-t-il, parles je t'écoute ? Servante : mon roi, l'état de la reine s'empire, elle agonise, elle demande à vous parler. (Le roi se leva immédiatement et ses gardes l'accompagnèrent jusqu'à la chambre de la reine. Il entra et s'assit prêt de la reine, il tint sa main pour lui parler). Roi : ma reine, comment te sens-tu ? Reine : ma dernière heure approche mon roi, je crains devoir vous laisser. Roi : non, ne me dit pas ça m'a reine, je ne veux pas te perdre. Sans toi, je ne serais pas capable de diriger ce royaume. Reine : si, je sais que tu y arriveras, tu es un roi à nul autre pareil, tu sauras maintenir la paix dans tous ce royaume comme toujours. Je...je veux que tu me promettes que tu vas prendre soin de notre fils, tu vas l'éduquer et tu vas le former, il deviendra un prince guerrier et te succédera sur le trône. Roi : s'il te plaît, arrêtes, tu ne mourras pas. Reine : promets-le-moi. Roi : je te le promets ma reine, je te le promets. Reine : merci. Je veux que tu saches une chose mon roi. Roi : oui, je t'écoute ma reine. Reine : je t'aime de tout mon cœur. Roi : moi aussi je t'aime de tout mon cœur et je ne veux pas que tu me laisses tout seul, non, je refuse. Je ne veux pas te perdre. (Il l'embrassa sur les lèvres puis il la serra contre lui). Reine : je veux voir notre fils, je veux lui parler. (Le roi envoya rapidement appelé son fils qui arriva aussitôt). Krist : maman, qu'est-ce que tu as ? Reine : mon fils, je suis si fière de toi, je suis sûre que tu deviendras un grand roi. Retiens bien ce que je vais te dire mon fils. Ne sois pas orgueilleux, ne sois pas arrogant, ne sois pas indifférent. Sois plutôt compatissant, sois gentil, sois généreux, et surtout sois humble. Je veux que tu sois différent, que tu sois meilleur que tous les autres princes, je veux que tu excelles en bonnes valeurs et que tu deviennes plus tard un roi sans précédent. Peux-tu être cette personne pour moi mon fils ? Krist : je le serai maman, restes avec moi, je mettrai en pratique tous tes conseils. Reine : merci. Mon amour, prend soin de lui, protège-le. Roi : je le ferai mon amour, je le ferai. Ne nous laisses pas je t'en prie. (Le roi serra sa femme dans ses bras en pleurant. La reine à cet instant même expira. Quand il la posa devant elle, il remarqua que la vie l'avait déjà quitté. Il la serra très fort contre lui et pleura toutes les larmes de son corps. Leur fils pleura aussi amèrement). Roi : non, non, non ne me laisse pas, s'il te plaît réveilles-toi mon amour. Non ne part pas, qu'est-ce que je ferrai sans toi, je ne suis rien sans toi ma reine. Réveilles-toi. Krist : maman réveilles-toi, maman, maman. Roi : qu'est-ce que je ferrai sans toi mon amour, que deviendrai-je sans toi ? Ne pars pas, s'il te plaît réveilles-toi. (Il la serra très fort et pleura encore plus fort. Une partie de lui vient de le quitter. Les servantes de la reine arrivèrent). Servante : votre majesté, laissez-nous prendre soin du corps. Roi : non, laissez-moi, laissez-moi seul. Krist : maman ! Servante : je suis sincèrement désolée mon roi mais elle est partie. Roi : non, elle ne va pas s'en aller, elle dort, elle va se réveiller bientôt. Mon amour, réveille-toi. Krist : Qu'est-ce qui arrive à maman ? Roi : viens mon fils. (Krist va dans les bras de son fils). Krist : papa, maman a quoi ? Roi : maman est au paradis maintenant. Kris(pleure): quoi, maman est morte ? Non, maman réveilles-toi, réveilles-toi maman. (Krist secoua sa mère pour qu'elle se réveille. Son père le prit dans ses bras). Roi : viens mon fils, viens. (Il le serra contre lui). Roi : ne pleure pas mon fils, maman est au paradis maintenant, elle est en paix. (Le roi prit son fils dans ses bras et sortit de la chambre de la reine. Les servantes s'occupèrent du corps. Elles se chargèrent de le baigner, de l'embaumer et de le couvrir. Le roi ne voulut pas qu'on enterra le corps de sa femme alors le corps fut placé dans une chambre froide. Tous les jours, le roi passa voir sa femme. Des jours et des mois passèrent mais le roi ne voulait toujours pas qu'on enterra sa femme. Il refusa d'admettre qu'elle l'eut quitté. Pourtant, les anciens et les conseillers ne furent pas de cet avis. Mais le roi s'en foutait. Pour honorer la promesse qu'il avait faite à sa chère épouse, le roi demanda à son meilleur guerrier et le plus proche de lui, le général Francis, de former son fils à devenir un guerrier). Roi : Francis ! Francis : mon roi. Roi : tu es le plus puissant des guerriers de ce royaume et tu es mon plus proche compagnon. Francis : j'en suis honoré mon roi. Roi : c'est pourquoi je voudrais te confier une mission de la plus haute importance. Francis : je ferrai votre volonté mon roi. Quelle est la mission ? Roi : je veux que tu formes mon fils à devenir un guerrier, le plus puissant guerrier, invaincu de tous les royaumes. Francis : mon roi, il n'a que 10 ans. Roi : oui, et pour faire de lui ce guerrier, il va falloir que tu le forme dès l'instant même. Les enfants apprennent beaucoup plus vite. Francis : d'accord mon roi, je le formerai. Roi : je veux que tu le formes à toutes les techniques de combat, l'épée, l'arc, la lance, la chasse, bref, tout. Francis : je ferrai votre volonté mon roi. À vos ordres. Roi : merci. Tu peux disposer. (Francis se retira et se rendit dans l'armurerie. Il prend son épée et l'aiguisa. Il se retourna et vit le jeune prince derrière lui). Francis : mon prince, que fais-tu ici ? Krist : quand je serai grand, je veux être comme vous. Je vais être un grand guerrier aussi. Francis : pourquoi tu veux être guerrier ? Krist : pour défendre et protéger mon père et notre royaume. Francis : tu as des intentions nobles mon prince. Va t'amuser, je fais t'enseigner un jour. Krist : vraiment ? Francis : oui, je vais te chercher des armes et je vais te former. Krist : génial. (Krist rejoignit son père en joie). Krist : papa, Francis va me former et je vais être comme lui. Roi : c'est très bien mon fils, c'est bien. (Krist alla s'amuser à lancer des oiseaux avec une lance pierre. Francis se rendit en brousse et coupa un bois pour en faire une épée à la taille de Krist. Une semaine après, il commença à l'entraîner. Le roi alla observer son fils s'entraîner des fois. Francis commença d'abord par des entraînements de base notamment la course, les sauts. Le premier véritable entraînement du petit prince fut le combat à mains nues ensuite le maniement de l'épée). UN AN PLUS TARD. (Dans la forêt, Francis avait planté plusieurs bois morts sous forme d'un cercle et le prince resta au milieu pour s'entraîner à combattre ses bois à l'épée et le plus rapidement possible, ensuite, il combattit des bois alignés en deux rangs et lui étant au milieu. Il commença du début jusqu'à la fin où il abouti devant Francis). Francis : bravo, bravo mon prince, tu t'améliores vraiment de façon exceptionnelle. En seulement un an et tu maîtrises presque l'épée, je suis impressionné. Krist : merci. Quand est-ce que je pourrais vous affronter ? Francis : tu n'es pas encore à mesure de m'affronter. Krist : alors ça veut dire que je suis nul. Francis : non, ne dit pas ça, tu n'es pas nul, tu es excellent. Tu ne peux pas m'affronter parce que je suis plus grand que toi. Tu n'as que 11 ans alors que moi j'en ai 30. Krist : alors, comment je fais pour affronter un ennemi plus grand que moi ? Francis : chaque chose en son temps mon prince, allons pas à pas. Krist : d'accord. Francis : c'est bon pour aujourd'hui. Viens on rentre. (Ainsi, le jeune prince et le général Francis rentrèrent à la maison. Entre temps, les conseillers Georges et Gédéon discutèrent avec le roi). Georges : mon roi, cela fait déjà un an et quelques mois que la reine est morte, pourquoi conservez-vous encore sa dépouille. Roi : parce qu'elle est ma femme et que je l'aime. Elle restera toujours avec moi jusqu'à la fin de mes jours et on sera enterré ensemble. Gédéon : je comprends votre douleur et votre chagrin mon roi mais vous devez l'enterrer et tourner la page. Ce qui est important pour le moment, c'est le royaume et ce dernier ne peut pas être dirigé sans une reine. Roi : où voulez-vous en venir ? Georges : mon roi, même si cela est difficile pour vous d'oublier votre femme, vous devez prendre une autre femme pour le bien de notre royaume. Les enfants de ce royaume ont besoin d'une mère, d'une reine. Roi : je vois, j'y penserai. (Krist arriva avec la joie au cœur). Krist : papa. (Le roi se leva pour prendre son fils dans ses bras). Roi : on en a terminé. (Les conseillers le laissèrent). Roi : alors, comment a été ton entraînement aujourd'hui ? Krist : c'était très bien papa, Francis dit que je progresse très vite. Roi : je suis fier de toi mon garçon. Un jour, quand je ne serai pas là, c'est toi qui va gouverner ce royaume à ma place. Krist : le pourrais-je papa ? Roi : bien sûr mon fils, quand tu seras grand, tu le pourras. Krist : d'accord. Papa, est-ce que je pourrais participer aux tournois des enfants de cette année ? Roi : si Francis suppose que tu peux y participer alors tu peux. Krist : merci papa. Roi : aller, maintenant va manger. (Krist s'en alla et le roi se rendit dans la chambre froide pour parler à sa femme). Roi : bonjour mon amour, tu me manques tellement. Les conseillers voudrais que je prenne une autre femme mais je ne peux pas. Je t'aime tellement, je ne te trahirai pas. Aucune femme ne peut t'égaler mon amour et aucune ne pourra prendre ta place. Je t'aimerai toujours jusqu'à la fin de mes jours. Notre fils est là pour me redonner le sourire car il est issu de tes entrailles. Quoi qu'il se passe, tu seras toujours avec moi, je te vois à travers notre fils. Ah, il est tellement beau. Je crois qu'il tient sa beauté de toi. Il est vraiment habile et intelligent. Si tu le voyais aujourd'hui, tu seras étonnée, il est presque comme un guerrier. Je suis si fière de lui. Un jour je te rejoindrai et il prendra ma place. Je suis sûr qu'il sera un excellent roi, plus meilleur que moi. Je t'aime tellement mon amour, au-revoir. (Le roi lui donna un baisé sur le front et sortit. Quant au prince, il alla trouver Francis). Krist : Francis ! Francis : mon prince ! Krist : papa est d'accord pour que je participe au tournoi des enfants. Francis : tu en es sûr ? Krist : oui, on peut aller lui demander si tu veux ? Francis : non ça ira. Dans ce cas vaut mieux commencer l'entraînement maintenant parce que le tournoi, c'est dans une semaine. Krist : je suis prêt. Francis : c'est très bien. Dès demain, on commence. (Ainsi, Francis commença à former le jeune prince qui devient vainqueur du tournoi et remporta le trophée à son royaume. Ce fut une grande fierté pour son père le roi).