Le fouet claqua encore une fois et un cri de douleur envahit la pièce. Debout, face au mur, les mains retenues par des menottes, Andréa avait cessée de compter les coups de fouet qui s'abattaient sans pitié sur son dos nu. Elle ne pouvait pas le voir mais elle imaginait déjà les longues plaies sanglantes qui devaient parcourir maintenant son dos. La douleur était intenable, elle ne cessait de hurler mais ceci ne semblait pas toucher son tortionnaire qui lui lacérait seulement le derrière avec ardeur.
Au bout d'un moment, Alonzo leva la main en signe de «Stop!» et l'homme qui l'a frappait s'arrêta. La jeune femme souffla un coup alors qu'elle transpirait à grosses gouttes et sa respiration était saccadée. Lentement, le vampire aux cheveux châtains s'approcha d'elle et lui écarta les quelq
