LA RICHESSE OU L'AMOUR-PARTIE 02 - RAM

3291 Words
La mère de Jiffy et Nancy était dans la cuisine et Nancy aidait la mère de Jiffy. La mère de Jiffy, regardait Nancy qui travaillait et prit la parole. — Ma fille tu as fais un peu aujourd'hui ? Demanda la mère de Jiffy. — Oui maman j'ai fait un peu et vous ? — Je rend grâce à Dieu ma fille, je pensais que tu n'allais pas venir me voir comme je t'avais demandé. — Mais maman, pourquoi je vais pas venir ? Ou bien vous savez pas que vous êtes ma maman chérie ? Demanda Nancy à la mère de Jiffy avec sourire. — Je sais très bien et toi aussi tu es ma fille chérie, bon tu sais pourquoi j'avais demandé à te voir ? — Non, maman. — OK je veux bien te poser une question, mais soit sérieuse avec moi. OK? — OK maman , c'est compris. — Bon ma fille chérie, Nancy dis moi tu as un petit ami ? Ne me caches rien parce que tu n'es plus une étrangère ici donc parle moi. — OK maman pour être franche avec vous , j'ai pas de petit ami. Répondit Nancy. — Quoi es-tu sérieuse là ma fille? Tu n'as pas un petit ami, c'est vrai ça ? — Oui maman je suis sérieuse, comment je vais vous mentir ? Si je vous dis pas le vérité à qui j'irai dire ça maman? Sur ces mots, Nancy commença à couler des larmes, ce que la mère de Jiffy n'avait pas compris. La mère de Jiffy décida de pousser sa curiosité pour mieux comprendre ce qui n'allait pas avec Nancy. — Ma fille pourquoi pleures-tu ? Quelque chose ne vas pas c'est ça ? Perle moi mon enfant. — Non maman il y'a rien. Répondit Nancy. — Comment ça rien ? Nancy tu n'es plus une petite fille hein? Donc parle moi. — OK maman, quelqu'un a emprisonné mon coeur depuis très longtemps et c'est seulement de ce dernier que je suis amoureuse. Mais.... — Mais quoi ma fille? Parles moi, ce dernier est mort ou bien quoi? Demanda la mère de Jiffy. — Non maman, il est toujours vivant mais il m'aime pas comme moi je l'aime, il ne ressent rien pour moi maman. Mais je l'aime maman, je l'aime de tout mon coeur. — Ma fille fais lui comprendre ça, des fois on doit se battre pour celui qu'on aime. — Oui maman je sais, mais c'est trop tard parce qu'il est déjà avec une autre fille et ce qui me fait mal est que je n'arrive pas à l'enlever de ma tête maman. — Oh ma fille je suis désolé pour toi, comment s'appelle cet garçon si chanceux ? Et il fait quoi dans la vie ma fille ? Nancy faisait que pleurer et n'arrivait même pas à répondre aux questions de la mère de Jiffy. — Mais ma fille parle moi non !? — Maman je parle de Jiffy, maman c'est de Jiffy je suis amoureuse. — Quoi ? Mon enfant ? Nancy secoua la tête pour répondre OUI à la mère de Jiffy. La mère de jiffy l'avait pris dans ses bras et commença à la consoler. — Ma fille mais toi aussi c'est de Jiffy tu parlais comme ça ? Et selon toi tu pense que tu l'a déjà perdu c'est ça ? Nancy ne fit aucun geste et la mère de Jiffy commença à rigoler. Nancy était resté là avec la mère de Jiffy et comme il faisait nuit, elle était retourné. Jiffy voulait aller se coucher lorsque sa mère l'appela.. — Mon garçon viens ici, s'il te plaît, je veux te dire quelques chose. Jiffy était retourné voir sa mère. — Oui maman , je suis là. — Mon garçon tu sais ce que je veux te demander ? — Non maman. Répondit Jiffy. — OK la fille qui était venu ici aujourd'hui, celle que tu appelles petite amie est plus belle que Nancy ? — Maman mais pourquoi vous demandez ça ? — Mon fils je t'avais posé une question et tu me réponds avec une autre? — Non maman, c'est pas ça c'est que... — C'est que quoi mon garçon ? Tu es aveugle mon fils vraiment aveugle, sinon je ne sais pas ce que tu as trouvé chez cette fille Mirabelle. Si c'est la beauté Nancy en a plus qu'elle, si c'est la forme elle en a plus qu'elle, elle a tous plus qu'elle. Mais on dirait que tu ne vois rien toi ou bien es-tu aveugle de vrai ? Ou tu ne sais pas distinguer les bonnes choses parmi les mauvaise ? — Mais maman.... — Oui c'est bien ce que je pense de toi. Tu laisses une fille que tu fréquentes depuis des années, depuis les cours primaires pour te mettre avec une fille qui ne peut rien t'apporter de bien. Nancy vient ici tout les jours, elle vient aider ta mère et aussi tes frère et soeur dans leurs études. Et depuis tu ne n'as rien réalisé, tu sais, mon fils, si tu sais pas faire et si jamais, Nancy trouve autre homme dans sa vie tu regretteras amèrement. C'est moi ta mère qui te le dit. Si tu veux, vas marquer ça quelque part. Jiffy ne comprenait plus rien, il souleva sa tête et prit la parole. — Maman je sais que Nancy a tout ce que une bonne femme doit avoir, mais elle a déjà quelqu'un dans sa vie. Sinon j'aimais Nancy et je voulais bien qu'elle devienne ma petite et pourquoi pas la femme de ma vie la mère de mes enfants dans le futur. Mais... Jiffy commença à couler des larmes. — Mon garçon mais quoi? Parles moi. — Maman, je voulais lui avouer mes sentiments lorsque que j'ai appris qu'elle est en relation avec l'un de nos amis et même le type est dans sa maison, maman. — Quoi ? Mon fils tu es sérieux là avec ce que tu racontes ? As-tu des preuves ? Demanda la mère de Jiffy. — Oui maman je suis sérieux et même le type est dans la même école que moi à l'Université. Il me parle d'elle tout les jours que Dieu fait. — OK , il s'appelle comment cet garçon dont tu parle? — Maman vraiment vous pensez que je mens c'est ça ? OK il s'appelle : *Arnold*. — Quoi ? Arnold quoi ? — Arnold Tchouka. — OK mon garçon c'est compris tu peux aller te couché. Mais saches une chose Mirabelle n'est pas une fille avec qui tu peux avoir une relations quelconque. — Ok, bonne nuit maman. — Bonne nuit mon chéri. Jiffy entra dans sa chambre et sa mère commença à réfléchir concernant les deux conversations qu'elle avait eu avec Nancy et Jiffy. Le lendemain à l'Université... Mirabelle était avec ses copines ( Andy, Anny et Caroline) et elles causaient. —Mirabelle : Les filles vous avez ce qui m'est arrivé hier quand vous étiez parti à la maison? Demanda Mirabelle à ses copines. — NON. Répondirent-elles et Mirabelle continua. — OK je vous avais dit hier que , Jiffy m'avait dit que ses parents voulais me voir non? — (Andy): Oui ma chère tu avais dit ça , ne me dis pas que t'es parti chez lui hein!? — Oui j'étais parti chez lui et vraiment si vous voyez sa maison, on dirait la maison des porcs ( ??). — Es-tu sérieuse là ? Demanda Caroline. — Vraiment ma chérie et je me demande bien comment il fait pour être propre comme ça à l'Université. — Donc si je comprends bien tu es parti voir tes beaux parents ? Demanda Anny à Mirabelle. — Beaux parents mon œil, c'est moi qui t'a dit que je suis fiancé ? Demanda Mirabelle. — Ne dit pas ça ma chérie, car c'était depuis l'année passé que tu es avec cet garçon et tu voulais même pas que nous tes copines s'approchent de lui. Maintenant que veux-tu dire ? Demanda Caroline à Mirabelle. — Ma chérie tu n'as pas menti, mais c'était juste mes mises en scènes tu vois? je ressens rien pour Jiffy. C'était juste pour profiter de lui tu vois dans notre salle c'est lui le garçon le plus beau et aussi le plus brillant vous voyez ? Être avec lui, est le rêve de plusieurs filles dans notre salle, même vous aussi mes copines et je sais très bien. —( Caroline) OK je vois, mais qu'est-ce que tes parents t'ont dit lorsque tu était parti là-bas ? — Ils avaient commencé leurs discours et autres non et m'avaient demandé si je voulais vraiment sortir avec leur enfant. — Et qu'es-ce que tu as répondu ? Demanda Andy. — Rien non les filles , je les avais dit que je vais réfléchir d'abord. Répondit Mirabelle. — ( Caroline) OK je vois maintenant j'espère bien que tu as déjà prise ta décision hein? Quelle sera ta réponse ? Demanda Caroline à Mirabelle. — Mes chéries mais vous me connaissez bien non ? La réponse c'est très simple et c'est N-O-N , NON. Je dis bien NON. Ce que Mirabelle ne savait pas, Jiffy était dans la salle et entendait tout ce qu'elle disait à ses copines. Les copines de Mirabelle le savaient très bien. Mais ces dernières l'avaient pas mise au courant et elle avait tout dit dans les oreilles de Jiffy sans le savoir. Elle finit de parler et une fois qu'elle tourna la tête, elle vit Jiffy qui était assis à sa place. Elle savait plus quoi faire, elle s'était levé et partit chez Jiffy. Elle s'approcha de Jiffy et recommença avec ses même choses. — Bonjour chéri, tu es déjà venu ? — Oui. Répondit Jiffy avec une mine de guerre. — OK c'est bon alors bonne journée à toi. — Bonne journée à toi aussi. Mirabelle était retourné chez ses amies et commença à les insulter. Jiffy s'était plongé dans ses pensées et ne savait plus quoi faire. Il se sentait humilié et décida de rentrer chez lui. Il n'avait plus l'envie de faire le cours après tous ce qu'il venait d'entendre de la bouche de Mirabelle. Il prit ses affaires et voulait sortir de la salle lorsque Arnold l'avait appelé. — Bonjour Jiffy comment vas tu? — Bien frère et ce matin ? Demanda Jiffy. — Ça va bien mon grand, tu veux aller où le professeur est déjà là hein? — Arnold je me sens pas bien, donc je veux rentrer chez moi. — Oh non moi qui pensait que tu vas m'aider à finir l'exercice qu'on avaient commencé hier avant l'arrivé du professeur. — Arnold , je suis désolé je dois rentrer, tu vois je me sens pas du tout bien. Mais tu connais chez moi non? — Oui je connais chez toi. Répondit Arnold. — OK si tu es libre ce soir viens chez moi à la maison nous allons finir avec ça. — OK cool tu me verras chez toi ce soir mon grand et n'oublies pas de prendre des médocs. — OK mon frère c'est compris à tout à l'heure. Ils voulaient se séparer lorsque Jiffy se souvint de quelques chose et rappela Arnold. Ce dernier s'était retourné. — Oui Jiffy tu veux me dis quelque chose ? — Oui mon grand je voulais te poser une question. — D'accord. — Tu es toujours avec Nancy ? Demanda Jiffy à Arnold. — Oui mon grand comment je vais laisser cette belle fille? Vraiment elle est cool nous sommes toujours ensemble. Y a-t-il un problème ? Demanda Arnold. — Non rien mon frère , oublies bon on se dit à ce soir. — OK mon grand. Jiffy était sur le chemin pour se rendre chez lui. Il était plongé dans ses pensées et ne faisait attention à rien. Nancy voulait acheter au bord de la voie et l'avait vu venir de l'Université. Nancy n'était pas allé en cours. Elle regardait Jiffy et ce dernier traversait la route sans même regarder si la route était libre ou pas. Nancy regardait la scène et commença à crier en appelant le nom de Jiffy. Ces cris firent que ce dernier reprit son esprit. Moins un, il allait être ramasser par une voiture. Il traversa la route et vint vers Nancy. — Merci beaucoup Nancy ,vraiment j'avais ma tête ailleurs vraiment merci. — Quoi ? Tu me parles de quoi? tu es un problème ou quoi ? Comment tu peux avoir ta tête ailleurs alors que tu veux traverser la route ? Jiffy excuse moi de la manière dont je te parle mais c'est pas bon ce que tu viens de faire. Ou bien tu penses pas à ceux qui t'aiment ? Demanda Nancy. — S'il te plaît Nancy excuses moi je vais plus.... Jiffy n'avait pas fini sa phrace avant que des larmes commencèrent à jaillir de ses yeux. Il s'assit sur la terrasse de la maison devant laquelle ils étaient. Nancy le trouva vraiment triste et décida de lui demander ce qui n'allait pas. — Jiffy tu as quoi ? Parles moi , qu'est-ce qui ne va pas ? — Rien Nancy t'inquiètes. Jiffy se leva et prit le chemin. Nancy le suivit jusqu'à la maison parce que c'était la mère de Jiffy qui l'avait commandé. Une fois dans la maison, Jiffy après avoir salué ses parents, il entra dans sa chambre et s'enferma à l'intérieur. Nancy était parti voir la mère de Jiffy. — Maman Jiffy ne va pas bien. — Il y a un problème ? Sinon il n'était pas souffrant avant de quitter cette maison ce matin hein. — Maman je ne sais pas trop, mais s'il vous plaît. Je veux que ... — Que je pars le voir, c'est ça non? — Oui maman s'il vous plaît. — D'accord.. La mère de Jiffy était parti voir son garçon, mais une fois devant la porte de la chambre de ce dernier, elle avait constaté que Jiffy avait fermé la porte à clef. La mère de Jiffy avait frappé à la porte mais Jiffy n'était pas venu l'ouvrir. Elle décida alors de le laisser tranquille et continua son travail. Parce qu'elle connaissait très bien ses enfants. Elle fit comprendre à Nancy que Jiffy ouvrira la porte lorsqu'il se sentira mieux. Elle commença à parler avec Nancy, mais cette dernière avait toujours les yeux vers la porte de la chambre de Jiffy. — Ma fille faut pas avoir peur , Jiffy va ouvrir la porte une fois que ce qu'il a va lui passer. Donc t'inquiètes. Je peux te poser une question ? — Oui maman. Répondit Nancy, avec ses yeux toujours fixé sur la porte de Jiffy. — Ma fille tu connais Arnold Tchouka ? — Oui maman c'est le fils d'un de nos locataires à la maison et aussi l'ami de Jiffy et moi. Pourquoi vous demandez ça maman ? — Donc ce dernier est juste ton ami c'est ça ? — Oui maman et rien de plus. Répondit Nancy. — OK mais pourquoi ce dernier avait dit à mon fils que tu es sa petite amie ? — Quoi maman ? Moi, petite amie de qui ? De Arnold ? C'est pas vrai maman. C'est vrai qu'il me dérangeait depuis deux ans déjà. Il veut avoir de relation amoureuse avec moi. Mais j'ai jamais accepté ses demandes. Nancy commença à couler des larmes et demanda à la mère de Jiffy. — Maman c'est Jiffy qui vous a dit ça ? — Oui c'était hier nuit lorsque tu es parti qu'il m'avait dit que tu as un petit ami et m'avait donné le nom. Il m'a aussi dit qu'il avait appris que tu es an relation avec Arnold le même jour qu'il voulait t'avouer ses sentiments. Nancy voulait se lever pour se rendre chez elle et la mère de Jiffy l'avait demandé de se calmer. La mère de Jiffy la calmait lorsqu'elle entendit quelqu'un frappé à leur porte. Elle était sorti pour voir la personne et s'était Arnold Tchouka, le soit disant petit ami de Nancy. La mère de Jiffy ne le connaissait pas, mais une fois que Arnold avait vu la mère de Jiffy, il demanda d'après ce dernier. — Bonsoir maman. Dit Arnold. — Bonsoir mon garçon comment vas tu?Demanda la mère de Jiffy. — Je vais bien maman. — OK tu cherches quelqu'un ? — Oui maman je cherche Jiffy. — OK je vois tu es son ami ? Ou bien y a-t-il un problème ? — Oui maman je suis son ami, non il n'y a aucun problème. Nous sommes dans la même école à l'Université. — D'accord c'est bien ça, faut t'asseoir, j'irai l'appeler pour toi. Comment tu t'appelles ? — Maman je m'appelle Arnold. Lorsque la mère de jiffy avait entendu le prénom que Arnold avait prononcé, elle s'était arrêté pour redemander à Arnold et ce dernier confirma. La mère de Jiffy était parti appeler Jiffy, Jiffy était toujours enfermé dans sa chambre. La mère de Jiffy frappa à la porte et Jiffy était venu ouvrir. En ce moment Nancy était à la cuisine. — Bonsoir maman. Dit Jiffy. — Bonsoir mon garçon je vois que tu as retrouvé ton esprit. Si tu veux que je sache ce qui ne va pas avec toi, je suis là pour t'écouter. Mais dans le cas contraire saches comment te comporter. Parce que tu nous rends mal à l'aise avec ces comportements. Bon il y'a l'un de tes amis qui t'attends au dehors. Il dit qu'il s'appelle Arnold. J'espère que c'est pas Arnold dont tu m'avais parlé hier? Demanda la mère de Jiffy. — Oui maman c'est lui. Répondit Jiffy. Jiffy était sorti voir Arnold au dehors. — Arnold ,comment passes tu la soirée ? — Cool mon grand et la santé ? — Ça va , bon attends pour que je te donne au moins de l'eau avant qu'on commence. Jiffy était retourné dans la chambre , une fois à la cuisine il prit le verre et voulait prendre de l'eau lorsqu'il vit Nancy entrain de cuisinier. Il décida de la taquiner un peu. — Oh madame tu es entrain de cuisinier ? Demanda Jiffy à Nancy. — Oui ou bien tu veux pas que je prépare ? — Bien-sûre que je veux bien madame. — OK compris , j'espère que tu te sens bien maintenant ? Demanda Nancy. — Oui Nancy et merci beaucoup si c'est pas à cause de toi ....... — Arrêtes avec ça, bon dis moi, tu as décidé aujourd'hui de venir rester dans la cuisine avec moi ? Demanda Nancy. — Non même pas je voulais juste te taquiner un peu, sinon j'ai un visiteur à qui je voulais donner de l'eau. — Ok je vois, laisses je vais vous apporter ça. — D'accord!!!! La seconde dame de cette maison. — Tu es sérieux là ? — Sérieux plus que jamais. — Ok !!! Jiffy avait laissé le verre à Nancy et rejoignit son ami au dehors. Il disposait le tableau et autres lorsque Nancy était venu avec le verre d'eau. Une fois que cette dernière avait posé les yeux sur Arnold, son sang commençait à bouillonner. Elle garda son calme jusqu'a ce qu'elle remit le verre à Jiffy. Ce que ce dernier avait pris et donna à Arnold. Arnold regardait bizarrement Nancy et cette dernière aussi le regardait. Jiffy avait remarqué que quelque chose n'allait pas et décida de dire quelque chose. — Arnold tu es ici pour travailler et non pour regarder ta ... Jiffy n'avait même pas terminé sa phrase lorsque Nancy explosa de colère. À suivre... RICHY PLUME-RAM GOD'S INSPIRATION
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