I finally find you

Salut je suis un commissaire de la police. Je suis marié depuis au moins deux ans avec mon épouse. Ma vie n'est pas de tout repos.  En ce moment,ma femme et moi passant une étape vraiment difficile. Rien ne va comme on le veut. On ce dispute chaque jour. La raison est qu'elle veut un enfant de moi. Je ne suis pas contre mais je ne sais pas pourquoi elle n'arrive pas à tomber enceinte. On a tout essayé mais en vain. Je ne sais plus quoi faire pour la faire plaisir. J'ai toujours fait de mon mieux pour qu'elle ne manque de rien. Mais là j'en ai marre. Je suis à deux doigts de craquer. Elle se dit que je l'aime pas que je me force à le faire. Elle n'a pas tord car si je me suis mariée avec elle c'était juste parce que mon père voulant que je tourne la page. Après que j'avais appris la disparition de l'homme que j'aimais et que je continue à aimer,ma vie avait complètement pris un sacré coup. Je m'étais renfermer sur moi-même. Il m'avait convaincu que je méritait de vivre. Et que la haut ou était parti mon bien aimé n'aurais pas voulu me voir souffrir ainsi. Alors j'avais accepté de tourner la page, mais même après que je l'ai fait je continue à souffrir dans le silence attendant que la mort frappe à ma porte pour enfin retrouvé celui que j'aime. Vous me direz que c'est pathétique tout ceci mais je m'en fou de votre avis car oui il n'y a qu'une personne qui a suis me tenir envie. Qui m'a combler d'amour et d'affection. Il était ma raison de vivre. Il n'est plus là a mes côtés pourquoi continue à vivre ? {...} je revenais de la maison pour me rendre au commissariat, arrivé à celui-ci je me stop à l'entrée a cause de mes officiers. Un d'eux viens près de moi et m'annonça qu'il y avait un jeune homme qu'ils avaient intercepté dans la rue. Il n'avait aucun papier sur lui. Ni carte d'identité nationale,ni passeport rien et il ne se souvenait plus de la où il habitait. - il est où ? Demande je a celui qui m'avait informé. - on lui a placé dans la cellule en attendant que vous venez. Me dit-il . - c'est bon tu peux retourner à tes occupations je vais m'en charger. L'informe je. Je me rendu à mon bureau je dépose les dossiers que j'avais pris ensuite je me laisse tomber sur ma chaise roulante. Je laisse échapper un soupir de soulagement. Ce n'est qu'ici que je suis en paix. Dans ma propre maison je ne me sens plus en paix. Il n'y a pas un jour ou nous manquons de nous engueuler. Il y a toujours un problème. Du coup j'aime passé tout mon temps ici dans mon bureau même si quand il y a rien à faire, je cherche toujours un moyen de rentrer tard pour éviter de la croiser éveillé. Je n'aurais pas dû écouter mon père. Il m'avait poussé à me marier si vite. Soit disant j'allais être heureux et épanoui dans un mariage mais la je  ne suis pas épanoui ni heureux mais je suis dans la dépression et très malheureux. Je ne peux rien faire d'autre que de continuer à faire croire à tout le monde que tout va bien. Mon Junho pourquoi  tu es parti ainsi ? Tu m'avais promis qu'ont seraient ensemble pour toujours. Mais tu es parti sans me laisser le temps de te dire que je t'aimais et que sans toi ma vie n'aurais plus de sens. J'espère que tu es heureux là où tu es.  J'espère très bientôt je pourrais enfin te retrouver la haut pour l'éternité. Les rayons de soleil caressaient mon visage me faisant grimacer et couvrir ce dernier a l'aide de ma main. Je m'étire en me redressant. Je regarde à ma gauche,la place de ma femme étant vide. Elle ne se trouvait ni dans la pièce ni dans la douche car la chambre était vraiment silencieuse. Un soupir de soulagement sorti de ma bouche. Je regarde l'heure sur la table de chevet qui se trouvait à droite, il était neuf heures vingt cinq minutes.  Ah c'est super ! Je vais être en retard au boulot. Bon pas vraiment en retard plus que c'est moi le chef. Je descends du lit et je vais dans la salle de bain pour prendre une douche. Chose faite,je sors de cette dernière après m'être habiller bien évidemment. Je récupère mon sac et prends mon ordi portable et je sors. Arrivé au salon, je vois la table bien dressée. Eh bien aujourd'hui je dois avoir la chance. Elle a pensé à moi, c'est étonnant. Mais c'est dommage j'ai pas le temps. Je trouverais Quelques chose au bureau.  Je me suis rappelé qu'hier je devais m'occuper d'un clandestin que mes officiers avait intercepté. Mais je ne l'avais pas fait j'étais trop occupé. Je sors de ma maison, je vais dans notre garage,je prend ma voiture. Avant de démarrer je constate que celle de ma femme n'y était plus. elle a dû aller au travail je croyais qu'elle allait arrêter, Tant mieux moins de rencontre. Je démarre la voiture direction le commissariat. Arrivé, je gars m'a voiture et je me dirige a l'entrée. Je salue tout le monde ensuite je vais directement dans mon bureau. A peine que je ferme la porte,quelqu'un toqua a celle-ci. Je dis un "rentré" tout faible et la personne rentra. - dis tae-woon je croyais que tu devais t'en occuper du gamin qu'on avait intercepté hier ? Ce n'est pas juste de le gardé ici s'il n'a rien fait en plus je crois qu'il ne doit pas être un étranger c'est un coréen. Fit remarquer mon adjoint et ami. - où sont passés tes bonnes manières jin ? Je le taquine en gloussant. - à la fenêtre ! N'oublie pas que je suis ton hyung. Dit il avec sarcasme. - et moi ton patron. Fit je en gloussant. Je sais je vais aller le réglée tout à l'heure j'ai encore deux ou trois trucs à faire. Je lui avoue. - d'accord..bon je te laisser te poser tranquille. Dit il en sortant. - attends.. dit comment vas Jackson hyung ? Demande je. La dernière fois il m'avait dit qu'il était dans la dépression. Eux aussi veulent avoir un enfant. Mais c'est difficile de l'avoir étant donné qu'ils étaient a la recherche d'une mère porteuse. - eh bien je peux dire que ça va mieux maintenant. Surtout depuis que je lui ai proposé de faire une adoption. Il est redevenu souriant a l'idée d'avoir notre propre enfant bientôt ce n'est pas génial ça?. Dit il tout joyeux.  - si c'est génial, je suis content pour vous. Bon c'était tout tu peux partir. dis je ne voulons pas qu'il commence à me faire des propositions pareil. Ce n'est pas que je suis contre l'adoption mais je ne me vois pas aller faire une adoption. Parce que je n'aime pas ça.  Je n'ai pas de raison particulière. je n'aime pas ça et c'est tout. - d'accord je m'en vais et n'oublie pas le gamin ! Fit il après avoir compris que je ne voulais pas m'éterniser sur le sujet. Et il sorti de mon bureau. J'acquiesce et vais m'installer sur ma chaise. Bon je termine avec ses documents ensuite je vais m'occuper de se fameux gamin. Il était maintenant 4h de l'après-midi. J'avais fini  ce que j'avais à faire pour aujourd'hui, et j'avais demandé à ce que on emmène le gamin dans la salle d'interrogation. Je voulais en finir avec tous ça aujourd'hui. Car Demain je serais vraiment occupé avec la formation des nouveaux recrutés...donc je n'aurai pas le temps de souffler. Je me lève de ma chaise et fait craquer mon dos et laissa échapper un soupir de bien n'être. J'ai été trop assis. Je contourna mon bureau et alla me servir une tasse de thé pour me détendre un peu. Je bu le dernier gorgé ,je déposa ma tasse sur la table et sorti de mon bureau pour aller à la salle d'interrogation. Arrivé devant celui-ci, je fais signe a un de mes officiers qui était à l'intérieur de la salle de sortir à fin que je sois seul avec lui. On le voyant de dos il avait leur très jeune. Donc il n'est pas un danger pour moi je serais me défendre s'il venait à cherché à me faire du mal. Mon officier hocha la tête et se leva et partir. Dès qu'il se leva, le jeune garçon se retourna.  L'oxygène me manqua soudainement. Je posa ma main droite sur mon coeur et le serra très fort comme pour contrôler les battements frénétique de mon coeur. Je sentis mon corps tremblotant et le coeur serré avec une douleur insupportable. Les mots de mon officier me paru si lointain que je voyais sa bouche bouger sans pour autant entendre ce qu'il disait. Non ce n'est pas possible, ça ne peut pas être lui. Non c'est impossible je dois être entrain de rêver. Sinon je ne peux pas croire ce que je vois. Mais quand ce dernier ouvrir la bouche et prononça mon prénom. - tae hyung .. Je sentis le sol trembler sous mes pieds. Et je perdit l'équilibre et tomba au sol. Mon officier se précipita sur moi et me rattrapa. Je n'arrivais pas à me mettre debout. Je n'avais plus de force. Et quand je le vis s'approcher de moi, je tomba et ferma les yeux et plus rien. {...} J'ouvre les yeux, je constate que j'étais allongé sur le canapé de mon bureau. Je fonçait les sourcils. Qu'est-ce que je vais allongé ici? Ensuite je me redressa et resta en position assis. J'avais mal à la tête. Et soudain je me rappelais de la scène de tout a l'heure. Je me lève d'un bond et me précipita vers la porte mais quelqu'un m'interpella et je me stoppa et tourna la tête vers cette voix. C'était jin debout les bras croisés contre le mur. Je ne l'avais pas remarqué en me réveillant. - où est ce que tu vas comme ça ? Me demande t'il. - je dois retourner dans la salle d'interrogation. Je lui réponds - tu n'es pas sérieux ? Regarde toi tu es tout pâle en dirais que tu avais vu un fantôme. Dit il en gloussant. C'est exactement ça. Ce que j'ai vu tout a l'heure. Je ne peux pas croire je dois d'abord lui demander si lui aussi il avait Vu se que j'ai vu ou bien c'est la fatigue qui me joue des tours. - Jin hyung est ce que tu avais vu le clandestin ? Je lui demande curieux de sa réponse. S'il avait vu il me l'aurait dit plus tôt je ne pense pas. - tu veux parler du gamin? Me questionna t'il . - oui du gamin. - ah non c'est ton boulot..on m'a juste dit qu'il était encore gamin c'est tout. Dit il en haussant les épaules. -Alors je pense que tu devrais venir avec moi. Dis je en sortant du bureau. Jin râlait que ce n'était pas son travail et que je devais me reposé mais moi je ne l'écoutait plus je parti a grand pas à la salle. Arrivé devant celui-ci, je me stoppa pendant quelque seconde et respirait avant d'ouvrir la porte. La porte ouverte, je fit un signe a Jin de me suivre c'est ce qu'il fit. Dès qu'il vu ce que j'avais vu il laissa échapper un cris de stupéfiants et dit - oh p****n c'est qui s'est! On resta crispé Jin et moi,par l'homme qui était en face de nous. Surtout Jin ne bougeait plus d'un poil.  Au départ j'avais cru rêvé mais on voyant le visage de jin crispé ainsi j'ai compris que je ne rêvais pas. C'était vraiment réel. Il était belle et bien là devant nous. Lui également me paraissait ne pas comprendre au vu des ses yeux ronds grand ouvert.  Je me dirigeait vers lui a pas hésitant et le coeur battant. Jin voulu m'arrêter mais il n'insista pas plus en constatant que j'étais bien déterminé à m'approcher de lui. Je m'arrêtai a une distance raisonnable,et je mis à l'observe de tout angle. Je le reconnaître entre mille. C'est bien lui comme c'est possible qu'il se trouve devant moi? Comment c'est possible ? Non je n'arrive pas à m'y faire, ni a songé c'est bonnement impossible. Il ne peut être devant. Il.. il était m~..non je ferma les yeux histoire de reprendre mes esprits. Pourquoi je me pose autant de questions alors que depuis toujours je rêvais lui rejoindre.  De lui serré très fort dans mes bras afin qu'il ne puisse plus disparaître de mon vu. De lui dire que je regrettait que je ne soit pas là pour lui quand il avait vraiment besoin de moi. De lui chouchouter combien je l'aime et combien il me manquait.  De lui dire qu'il est et restera mon âme sœur De lui dire combien la vie n'avais plus de sens sans lui. Oui j'ai tellement des choses à lui dire. J'ouvris mes yeux et brisa le peu d'écart qui nous séparait et lui sera très fort dans mes bras. Lui étant d'abord réticent à mon étreinte ensuite il enroulait ses bras sur moi aussi en enfouissant sa tête dans mon cou.  Sur les regard abasourdi de jin.  Il avait commencé a sangloter dans mes bras. Je n'arrivais pas toujours a croire qu'il soit là dans mes bras. C'était vraiment imaginables même dans mes pires rêve. J'avais fini par abandonné de lui revoir un jour mais là tout d'un coup tout changeait. On resta ainsi pendant un long moment. Je ne voulais pas le lâcher. Non j'avais peur qu'il m'échappe encore une fois. Je ne comptait pas le laisser partir d'aussi tôt. Non plus jamais, peut importe le prix que je devais payer. En se sépara a contre cœur par le raclement de gorge de mon aîné. Il s'approcha de notre niveau pour s'assurer qu'il n'était pas entrain de rêver. Après qu'il soit en face du blond,il l'observa et ensuite essaya de posé sa main sur l'épaule de mon blond, ce dernier eu peur et se recula en allant se cacher derrière moi. Alors j'essayais de lui rassurée qu'il n'était pas en danger, que c'était un ami qui ne lui voulait pas du mal. Je trouve son comportement un peu bizarre. Comment il ne peut reconnaître son hyung préféré. Les deux la ils étaient inséparables. Jusqu'à ce jour si horrible et malheureux qui nous a heurté le cœur, Surtout le mien. D'ailleurs je ne comprends pas tout cette histoire. On nous avait annoncé leur disparition et on n'avait vu la voiture du violet dans ce ravin il y a deux ans de cela. Comment c'est possible qu'il apparaît du jour au lendemain comme ça ?  Et moi pourquoi je me pose autant de questions Au lieu de profiter de la seconde chance que les dieux m'ont accordé ?  Je n'arrêtait pas de penser à lui et a vouloir que je le retrouve la haut dans le ciel. Dieu seul sait combien de fois j'ai souhaité ma mort pour enfin retrouvé l'homme que j'aime et que j'aimerais toujours. Et aujourd'hui il se présente devant moi je me pose encore des questions. Au diable tout ses doutes et ses raisonnements. Je vais penser à profiter de ses retrouvailles avec l'homme de ma vie,et rien d'autre. Oui rien qu'à mon Junho que j'aime autant et je m'en fou du reste. Je m'en fou de ce que les autres pourrais pensé de moi. Ni de ma femme rien n'avait plus d'importance à mes yeux que cet homme que j'ai autant chercher.